TROUILLET Rent se lance dans la location de Vul et camions
En plus de son activité de carrossier, le groupe familial Trouillet, qui fêtera cette année ses 60 ans, avait déjà une entité de location de semi-remorques depuis 1997. Aujourd'hui, pour s'adapter au marché, cette entité Trouillet Rent ajoute une corde à son arc en louant en outre des véhicules moteurs, des Vul fourgons aux porteurs frigorifiques en passant par les bennes notamment. L'objectif pour Trouillet est de faire de la location un des fers de lance de son développement à l'horizon 3-5 ans.
L'employeur idéal du futur selon les moins de 25 ans
Les interviewés se sont montrés particulièrement attentifs à trois valeurs. dans l’ordre, le sens, l’équité et la transparence. Sur le sens, beaucoup placent l’ambiance au travail comme premier critère d’excellence d’un employeur. Cette majorité induit aussi dans l’idée de sens la notion de bien-être qui en découle mais aspire conjointement à un équilibre permettant de concilier le temps d’expression des compétences avec celui dédié aux centres d’intérêts personnels. Concernant l’équité, les moins de 25 ans se sont montrés plutôt critiques à l’égard des organisations verticales, préférant des relations plus directes et plus partenariales avec la hiérarchie. Ils se disent prêts à donner mais à condition de recevoir du droit à la parole, de la reconnaissance et de l’écoute. Au sujet de la transparence, les interviewés veulent très sensiblement être informés voire impliqués à leur niveau dans la stratégie de l’entreprise, son fonctionnement et ses résultats en contrepartie de quoi ils seront plus volontiers prêts à se remettre en question et accepter les critiques si celles-ci sont perçues comme constructives.
En résumé, ces potentiels nouveaux entrants ont montré l’envie de nouer une relation basée sur la confiance avec leur manager de proximité, ils le considèrent comme le premier acteur de leur évolution et espèrent avec lui des échanges fréquents et de qualité. Les conditions de travail et avantages en nature sont au cœur du débat et les questions sur la présence sur le lieu de travail d’espaces de détente, de commodités et de socialisation ont dépassé les interrogations sur les tickets restaurant et la mutuelle peut être estimés tous deux comme acquis. Conscients du fait que l’environnement économique est en constante évolution, une moitié des répondants estiment que la formation doit être permanente et prodiguée tout au long de l’année. Ils souhaitent ainsi maintenir une polyvalence pour s’adapter en développant constamment leurs compétences et leur expertise. Enfin un nombre significatif d’interviewés perçoivent les dirigeants comme plutôt éloignés de la réalité des collaborateurs et souhaiteraient les voir faire évoluer leurs postures en se rapprochant du terrain et en adoptant des rôles modèles plus accessibles. Enfin, ces jeunes plaident en grand nombre pour une organisation du travail souple et un droit à l’erreur dans l’apprentissage du métier.
Responsabiliser chaque service
A 53 ans, François Libner n'est pas encore prêt à quitter la scène professionnelle. Il faudra encore jongler avec les emplois du temps, adapter sa vie familiale à ses activités personnelles et responsabilités de président du directoire d'un groupe de 300 salariés, présent notamment en Pologne. « J'ai réorganisé la société afin de rendre autonome et responsabiliser chaque service », dit-il, gérant souvent à distance, secondé localement par son propre père Joseph, président du conseil de surveillance, tandis que cinq des représentants de la troisième génération Libner, fils et neveux âgés de 21 à 27 ans, occupent déjà des postes à responsabilité au sein de la société. Une méthode collaborative qui porte ses fruits : l'entreprise poursuit sa croissance à deux chiffres (+10 %), se développe à l'export, principal relais de croissance (notamment en Allemagne et aux États-Unis), pour un chiffre d'affaires de 40 M€. « L'entreprise a atteint des niveaux de profitabilité. » François Libner vient aussi de signer un accord d'intéressement. Et ne lui parlez pas de « crise ».
Bien être au travail et EPI sont liés
78 % des personnes interrogées dans une étude de l'équipementier 3M pensent que le port d'équipement de protection individuel (EPI) améliorent leur bien être au travail. En revanche, seulement 38 % des répondants estiment que le « le sentiment d'évoluer dans un environnement sécurisé » contribue au bien-être des salariés. A contrario, pour les 19,6 % qui estiment que les EPI n'améliorent pas le bien-être au travail, il apparaît que ces derniers sont encore perçus comme contraignants et peu confortables, raison pour laquelle des solutions de protection collective leur sont préférées. Pour la majorité des personnes interrogée, c'est d'abord « l'ambiance au sein de l'entreprise » (à 77 %), « l'équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle » (à 66%) et « l'intérêt pour la mission » (61%) qui favorisent le bien-être des salariés.
88 % des cadres et dirigeants du secteur de l'industrie s'estiment matures sur les thématiques liées à la protection individuelle. Toutefois, 60% des entreprises interrogées se sont réellement et sérieusement engagées dans la mise en place d'une politique de sécurité envers leurs salariés. Par ailleurs, 10 % des sociétés interrogées n'ont pas encore mis en place de formation (alors que la loi l'exige). En revanche, 79,7% des répondants voient la réglementation en matière de sécurité au travail comme une opportunité (améliorant la sécurité, l'efficacité, la productivité et la performance) plutôt qu'une contrainte... Même si les mentalités évoluent peu à peu dans le bon sens, de sérieux progrès restent encore à réaliser en la matière ! Ce sondage a été réalisé en juillet 2016, en partenariat avec l'Usine nouvelle, auprès de 153 personnes (personnels HSE, de production et de direction).
Sécurité des véhicules : la Commission européenne veut renforcer le nombre d'équipements de série
La Commission européenne a publié un rapport préliminaire à la révision du règlement relatif à la sécurité des véhicules dans lequel elle propose de rendre obligatoires plus d’une dizaine d’équipements supplémentaires.
En matière de sécurité active, l’exécutif propose de rendre obligatoires le freinage automatique d’urgence, l’adaptation intelligente de la vitesse, l’aide au maintien de la trajectoire ainsi que le contrôle de la somnolence du conducteur.
Concernant les équipements de sécurité passive, la Commission souhaite intégrer au règlement : l’affichage du freinage d’urgence (feux stop clignotants), le signal de rappel du port des ceintures de sécurité pour tous les passagers, l’enregistrement des données en cas de collision et le contrôle de la pression des pneumatiques.
Pour protéger les piétons, la Commission prévoit l’introduction de dispositifs de détection des piétons et des cyclistes en liaison avec les systèmes automatiques de freinage d’urgence, la protection de la tête en cas de choc sur les montants du pare-brise et sur le pare-brise, ainsi que la détection des personnes situées derrière le véhicule.
Les mesures envisagées pour le renforcement de la sécurité des poids lourds et des autobus consistent "en l’introduction ou en l’amélioration" de la conception de l’avant des véhicules et de la vision directe, de la protection latérale et arrière anti-encastrement et de la protection contre les incendies pour les autobus.
"Les mesures sélectionnées semblent viables et rentables, mais devraient néanmoins faire l’objet de nouvelles études", écrit la Commission dans son rapport. Ce dernier devra donc fait l’objet d’une étude d’impact contenant une analyse coûts/bénéfices de ces mesures qui sera soumise à la consultation des différents acteurs du marché. La Commission bâtira ensuite sa proposition de révision du règlement à partir des résultats de son étude et de la consultation.
Le financement d'équipement de garage : mode d'acquisition en vogue
En ouverture de la cérémonie des Prix de l’Equipement 2017, le magazine Décision Atelier avait invité le vice-président du spécialiste de financement Leasia, Patrice de Poix, à venir évoquer ce mode d’acquisition de matériel de garage très à la mode depuis de récentes années.
PRE : vers un marché multiplié par 2 ?
Dans le cadre d’une table ronde organisée par l’Association de Journalistes Techniques et Economiques (AJTE) sur le thème de la pièce de réemploi (PRE), les perspectives de progression du marché ont été abordées avec l’imminente entrée en application de l’article de la loi sur la Transition Energétique…
L'UTAC CERAM développe ses activités de certification au Royaume-Uni
Le groupe Utac Ceram a fait l’acquisition de la branche certification des systèmes de management du Ministère des Transports britannique.
Le groupe Utac Ceram emploie 380 personnes qui exercent leurs missions sur ses deux centres d’essais de Linas-Montlhéry (Essonne) et de Mortefontaine (Oise), mais également au sein de ses filiales au Royaume-Uni, aux Etats-Unis, en Russie et en Chine. Le groupe réalise un chiffre d’affaires annuel de près de 52 millions d’euros, dont 20 % à l’international.
(*) Management de la qualité (certification ISO 9001), management de la qualité dans l'industrie automobile (IATF 16949), management de l’environnement (ISO 14001), management de l’énergie (ISO 50001), management de la santé et de la sécurité au travail (OHSAS 18001).
Un record pour le centre de formation PPG
L’année 2016 restera dans les annales du leader mondial des produits de peinture automobile, dont le centre de formation a atteint un niveau record avec deux fois plus de stagiaires.
Toujours volontaire pour assurer un haut niveau de technicité à ses clients distributeurs et fournisseurs, PPG se félicite d’un exercice 2016 remarquable de ce point de vue.
Situé à Gennevilliers (92), au siège France de l’activité carrosserie de la société, le centre de formation du groupe PPG a réalisé une année record et, s’il se refuse à communiquer le moindre chiffre en la matière, explique avoir vu son nombre de stagiaires doubler.
« Notre rôle et notre responsabilité en tant que fabricant est de maintenir un haut niveau de connaissance et de maîtrise de nos produits par nos clients distributeurs qui les commercialisent, et nos clients carrossiers qui les utilisent au quotidien dans leurs ateliers », déclare Bernard Lanne, Directeur France de PPG.
Pas peu fier de ce résultat, le leader mondial des produits de peinture automobile entend désormais élargir son champ d’intervention en développant des formations en région qui permettront de mieux s’adapter aux contraintes, notamment géographiques, des clients. La société s’appuiera ainsi sur le concours de centres de formations professionnels implantés partout en France.
Un record pour le centre de formation PPG
L’année 2016 restera dans les annales du leader mondial des produits de peinture automobile, dont le centre de formation a atteint un niveau record avec deux fois plus de stagiaires.
Toujours volontaire pour assurer un haut niveau de technicité à ses clients distributeurs et fournisseurs, PPG se félicite d’un exercice 2016 remarquable de ce point de vue.
Situé à Gennevilliers (92), au siège France de l’activité carrosserie de la société, le centre de formation du groupe PPG a réalisé une année record et, s’il se refuse à communiquer le moindre chiffre en la matière, explique avoir vu son nombre de stagiaires doubler.
« Notre rôle et notre responsabilité en tant que fabricant est de maintenir un haut niveau de connaissance et de maîtrise de nos produits par nos clients distributeurs qui les commercialisent, et nos clients carrossiers qui les utilisent au quotidien dans leurs ateliers », déclare Bernard Lanne, Directeur France de PPG.
Pas peu fier de ce résultat, le leader mondial des produits de peinture automobile entend désormais élargir son champ d’intervention en développant des formations en région qui permettront de mieux s’adapter aux contraintes, notamment géographiques, des clients. La société s’appuiera ainsi sur le concours de centres de formations professionnels implantés partout en France.