Bientôt la remise du trophée de l'utilitaire de l'année du journal L'Argus

C'est le 7 décembre que le journal L'argus remettra les Trophées de l'année 2017 (VP et VU). A l'occasion de cette soirée annuelle, le journal décernera notamment le prix de l'Utilitaire de l'année de L'argus 2017. La semaine dernière, les membres du jury (dont fait partie la rédaction de notre site) se sont réunis dans la région parisienne pour élire l'utilitaire qui remportera le titre très envié. Nous n'allons bien sûr pas vendre la mèche avant l'heure... Huit véhicules étaient en compétition pour le titre de "l'Utilitaire de l'année 2017": 4 fourgons et 4 pick-up. Se mesuraient les fourgons: Citroën Jumpy, Fiat Talento, Peugeot Expert, Toyota ProAce, et les pic-up Fiat Fullback, Nissan NP300, Toyota Hilux et Volkswagen Amarok. On remarquera que dans les nominés ne figurent ni le Crafter de VW ni le TGE (son clone chez Man). L'un comme l'autre n'ayant été ni essayé ni commercialisé, ils ne peuvent pas concourir cette année. On remarquera que par ce choix, les jurés du Trophée de L'argus ont fait preuve de rigueur. Cette position ne fut ni celle du jury du Diesel de l'année qui, il y a 3 ans, avait couronnée le moteur Cursor 16 alors que personne ne l'avait vu, pas même les jurés italiens. Il en va de même pour le Van de l'année qui, cette année, a couronné le Crafter avant qu'il soit officiellement présenté.-


GRUAU lance la benne Keroch

Le carrossier de Laval lance son modèle de benne Kerock, pour véhicules utilitaires. Cette petite dernière de Gruau est fabriquée en tôle acier galvanisé à haute limite élastique. Elle pèse 610 kg et peut supporter jusqu'à 4,5 t de charge uniformément répartie, sans se déformer. Sa protection anticorrosion repose à la fois à l'acier galvanisé et à une double couche de peinture à poudre. Par ailleurs, la sécurité des utilisateurs est assurée par un jonc de protection fixé sur la ridelle, une barre anti-encastrement remorquante, ainsi que plusieurs barres de protection latérales... Cet équipement est disponible en quatre longueurs utiles : 2,6 m, 3,08 m et 3,5 m.

La Kerock porte le nombre de combinaisons de bennes Gruau à plus de 300, avec les autres modèles acier galvanisé, aluminium ou mixte, en fonction des besoins des utilisateurs. Ses capacités - ainsi que celle de certains utilitaires sur lesquels elle peut être montée - lui permettent d'être montée sur des véhicules dépassant les 3,5 t de PTAC (conduits par les détenteurs de permis C et C1).


Une casquette de soudeur chez Förch

La weldcap® RC 3 / 9 – 12 ainsi est nommée la nouvelle casquette de soudeur que vient de commercialiser Förch. Légère (420 g) elle est très confortable notamment au niveau de la nuque, grâce à l’association du plastique et du textile. Egalement adaptable de manière universelle à chaque taille de tête, elle assure une protection optimale du visage, du cou et des oreilles. Équipée d’une cassette anti-éblouissement avec découpe nasale pour un champ de vision élargi, elle est réglable en continu sur les plages de protection DIN 9 – 12. Le temps de permutation du clair au foncé, est de 0,160 ms à température ambiante 0,110 ms à 55 °C. La permutation inverse, du foncé à clair, est de 0,3 ms. La weldcap RC 3/9-12, répond aux Normes EN : 166, 175, 379 Certificats : CE, ECS, ANSI, AS / NZS, GOST-R. Elle est commercialisée 291€ HT.  


Constructeurs et équipementiers proposent la création d'une plateforme d'accès aux données du véhicule pour les tiers

Les représentants des constructeurs et des équipementiers européens, l’Acea et le Clepa, ont annoncé hier qu’ils souhaitaient travailler à une solution "alternative" à l’accès direct aux données du véhicule par des acteurs tiers. Ils proposent la création d’une plateforme externe dédiée.

Avec l’émergence du véhicule connecté, l’accès aux données du véhicule devient un enjeu de premier plan pour les différents acteurs du marché automobile y compris les assureurs, les financeurs, les opérateurs d’infrastructures et les fournisseurs de services. La réglementation de cet accès, pour qu’il soit sécurisé et sans risque de piratage pour les automobilistes, est actuellement en discussion au niveau européen mais également à l’échelle nationale.

"Les constructeurs automobiles sont fondamentalement disposés à partager avec des tiers des données pertinentes des véhicules, à condition que cela se fasse strictement dans le but d’améliorer la sécurité des routes et des produits, et dans un cadre de sécurisation des données", explique le secrétaire général de l'Acea, Erik Jonnaert.
L’Acea et le Clepa, représentant les équipementiers européens, ont donc décidé de créer une alternative à un accès direct aux données du véhicule par des tiers (toutes les entreprises, en dehors du constructeur). Ils travaillent actuellement à la création d’une plateforme externe, sur laquelle les constructeurs communiqueraient les données "de fonctionnement" de leurs véhicules, qui  excluent les données importées par les automobilistes (telles que les listes de contacts des téléphones mobiles et les destinations sélectionnées pour la navigation) et les données reçues de sources externes (comme les informations transmises par les autres véhicules). Sur le même principe que la plateforme Oasis pour les données de réparation du véhicule, cette plateforme serait accessible aux tiers. Mais leur exploitation ne pourrait être que limitée à des fins statistiques pour par exemple faciliter la gestion du trafic et du stationnement ou améliorer la sécurité routière. Elle ne pourra donc pas satisfaire ceux qui souhaitent exploiter ces données à des fins commerciales. 
L’Acea et le Clepa vont soumettre cette proposition à la Commission européenne, nous a-t-on expliqué au Clepa. Mais les représentants des constructeurs et des équipementiers ont annoncé qu’ils allaient quoi qu’il en soit continuer de "travailler ensemble sur les détails techniques", ainsi que sur un "proof of concept", c'est-à-dire sur une réalisation expérimentale de leur projet pour en démontrer la faisabilité.


Le salon de la réparation automobile ce week-end à Bordeaux

Organisé par la FFC Réparateurs Gironde, le Salon Eurecar se déroulera ce samedi 3 décembre au Palais des Congrès de Bordeaux. 

Les professionnels de la réparation automobile sont invités ce samedi 3 décembre au Palais des Congrès de Bordeaux pour s’informer sur leur métier (formation, marketing, juridique...) et découvrir de nouveaux outillages, comme la mallette de réparation de pare-brise Terminator de VBSA ou, pour les dépanneurs, le Pégase de Gaubert avec ses 2,4 t de charge utile.
Plus de 60 exposants seront présents, dont 20 nouveaux, comme l’application “My Car Care” que le réparateur offre à ses clients pour l’alerter des futurs opérations d’entretien à réaliser.
Le Salon Eurocar a été créé en  2010, à l’initiative de la FFC Réparateurs Gironde. Il a lieu tous les deux ans, en décalé avec Equipauto (du 17 au 21 octobre 2017 à la Porte de Versailles).

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La FFC EXPERTS À VOS CÔTÉS

Depuis deux ans, les entreprises sont obligées de proposer des couvertures en matière de frais de santé (mutuelle ANI, contrats responsables etc), il apparait que le législateur augmentera ses contrôles sur ce thème dans les 36 prochains mois.

Fort de son succès, le service FFC Experts souhaite vous accompagner sur ce sujet majeur afin d’anticiper ces contentieux potentiels. Dans cette perspective, Marie, la voix de FFC Experts, contacte tous les adhérents aujourd’hui et encore tout le mois de décembre, et vous propose les services d’un expert afin d’évoquer les conditions réglementaires de mise en place et de suivi de ces solutions d’assurance.

Les retours et la grande satisfaction des adhérents interrogés démontrent l’efficacité du service et la nécessité de poursuivre ces actions et ces initiatives.


BASF lance officiellement le Club R-M Premium Partners

Pour conquérir, fidéliser et assurer ses parts de marché, la marque de peinture R-M lance le Club Premium Partners. Ce réseau, non commercial, a pour objectif de fédérer les meilleurs clients de la marque pour assurer de la croissance par le bais d’échanges et d’accompagnements.
Le fabricant de peinture R-M vient d’annoncer officiellement le lancement de son Club R-M Premium Partners.
Construit dans la logique d’un cercle communautaire, et non pas d’une enseigne commerciale, ce club a vocation d’accompagner avec proximité les carrossiers clients de la marque de peinture avec un programme de coaching (R-M Productivity Program), la mise en place d’outils de gestion, de la formation, d’un programme de veille sur les évolutions du marché de la réparation collision et d’échanges de bonnes pratiques. Les adhérents au Club peuvent de plus bénéficier d’une assistance d’experts portant sur tous les aspects de l’activité. Coût d l’adhésion : 45 euros par mois.

Au centre de R-M Premium Partners, une plate-forme internet spécifique et une dizaine d’hommes terrain dédiés à son animation et à l’observation du fonctionnement des ateliers.

65 adhérents depuis janvier

R-M Premium Partners s’adresse à tous les carrossiers travaillant avec de la peinture R-M, déjà en réseau ou pas, mais avec la volonté commune d’être proactifs et acteurs de l’évolution de leur affaire comme celle de la profession. Ils doivent d’une part jouer un rôle dynamique dans l’action du club mais aussi être motivés pour considérer les services de conseils apportés par l’industriel pour poindre le plus simplement possible vers l’excellence sur un marché complexe, en baisse et de plus en plus sélectif.

Déjà opérationnel depuis le début de l’année en France, le Club R-M Premium Partners compte à ce stade 65 adhérents qui se sont déjà rencontrés lors d’une première convention en octobre dernier à Clermont-de-l’Oise, Siège de R-M en France. Constantino Blanco a été nommée responsable de ce Club inédit sur ce marché.


Carrosserie : EURECAR, le salon métier et détente

L’édition 2016 du salon Eurêcar, organisé par la FFC-Réparateurs au Palais des Congrès de Bordeaux, se tiendra le 3 décembre prochain. L’occasion pour les professionnels de la carrosserie d’évoquer les perspectives de croissance dans leur métier, les évolutions technologiques majeures qui s’annoncent, et de profiter d’événements plus légers mais non moins signifiants, comme le témoignage de femmes pilotes automobile, symboles d’une mixité croissante dans la profession.


Eclairage : VIGNAL a doublé son CA en 3 ans !

Vignal Lighting Group, dont les feux équipent sept camions sur dix en Europe, doit trouver de nouveaux relais de croissance et, fort de l'appui de son actionnaire Eurazeo, a décidé d'investir pour produire aux Etats-Unis et en Chine.

"Une telle part du marché du poids lourd en Europe, ce n'est pas tenable", reconnaît le président du directoire Jean-Louis Coutin, à l'occasion de l'inauguration de la nouvelle usine de l'entreprise, à Corbas (banlieue lyonnaise). "Il nous faut offrir à nos clients d'autres lignes de produits que la seule signalisation et les accompagner dans leur mondialisation", ajoute le dirigeant, aux manettes de la PME lyonnaise depuis 2003. Vignal réalise 85 % de son chiffre d'affaires en Europe, 11 % dans les Amériques et seulement 3 % en Asie... "alors que c'est 50 % du marché mondial", relève M. Coutin.

Il a souligné que son groupe voulait produire localement pour être plus réactif et plus proche des attentes de ses clients. "Une fois la commande passée, on peut la livrer en trois jours. Alors que si vous exportez, il faut compter de cinq à dix semaines". Les usines de Mosinee (Wisconsin) et de Changzhou (près de Shanghai) seront dotées des mêmes équipements ultra-modernes que l'usine de Corbas. Mais sur une surface trois fois moindre (3.000 m2 contre 10.000 m2).

Outre sa diversification géographique, Vignal a élargi sa palette d'activités en reprenant ces deux dernières années les sociétés caennaise ABL (feux de travail) et suisse CEA (gyrophares et phares pour engins agricoles). Si Volvo reste son premier client, le constructeur allemand de chariots élévateurs Kion (Linde, Fenwick) est le deuxième, mais pourrait être prochainement détrôné par le fabricant américains d'engins de chantier Caterpillar. Vignal dispose de ses propres bureaux d'études et près de 10 % de ses 400 salariés travaillent en recherche et développement.

Fondé en 1919 par Léon Vignal, la société fabriquait initialement des systèmes électriques. Ce n'est que dans les années soixante qu'elle s'est lancée dans la fabrication de feux arrière de poids lourd, après la demande de l'industriel local Berliet de concevoir un feu réunissant les fonctions "stop" et "clignotant". Reprise en 1975 par le savoyard Cartier, lui-même racheté quatorze ans plus tard par Valeo, Vignal reprend son indépendance et son nom d'origine en 2003, à la faveur d'un LBO mené par M. Coutin avec l'aide du fonds 3I. En 2014, Eurazeo PME devient l'actionnaire majoritaire, avec 77 % du capital, contre 23 % pour le management.

Le chiffre d'affaires, de 50 millions d'euros avant l'arrivée du nouvel actionnaire, devrait atteindre 85 millions cette année. "Le doublement du chiffre d'affaires, ce n'est plus une question, c'est fait", relève Olivier Millet, le président du directoire d'Eurazeo PME, qui ambitionne un triplement durant les cinq à dix ans de son investissement. "Vignal est une multinationale de poche, avec un profil mondial", se félicite-t-il . La société dégage des résultats "honorables", mais non chiffrés, qui lui permettent "très largement d'investir en R&D et dans l'outil industriel", précise M. Coutin.

Devenu trop petit, le site historique de Venissieux a été abandonné pour la nouvelle usine de Corbas, située à quelques kilomètres. Ce site, qui abrite le siège social, le site de production et les laboratoires, a nécessité un investissement total de 15 millions d'euros.


Artisanat : l'UPA devient l'UP2… et la 1ère force patronale

C’est un moment historique. Le 17 novembre 2016, l’UPA et l’UNAPL ont respectivement réuni leurs assemblées générales extraordinaires. L’UPA a modifié ses statuts afin d’accueillir une quatrième composante. L’UNAPL de son côté a décidé d’adhérer à l’UPA qui devient l’Union des entreprises de proximité -U2P-.

L’U2P est désormais la première force patronale du pays puisqu’elle rassemble 2,3 millions d’entreprises des secteurs de l’artisanat, du commerce et des professions libérales, soit les deux tiers des entreprises françaises. Elle est constituée de quatre composantes (CAPEB, CNAMS, CGAD, UNAPL) et fédère plus de 120 organisations professionnelles nationales.

La priorité de cette union est de placer les TPE-PME  au centre de la scène économique et sociale nationale et de mettre fin à des décennies de décisions publiques orientées vers les plus grandes entreprises.

Les entreprises de proximité créent de la richesse en tous points du territoire. Elles détiennent les clés du retour à une croissance pérenne et sont en mesure de gagner le combat contre le chômage de masse, à la condition que des mesures phares, pragmatiques et garanties dans la durée, viennent libérer leur potentiel.

C’est dans cet esprit de conquête et avec la ferme volonté d’améliorer l’environnement des entreprises françaises que l’U2P participera à la concertation avec les pouvoirs publics, à la négociation interprofessionnelle et à la gestion paritaire.

Les présidents de l’U2P et de ses quatre composantes tiendront une conférence de presse le jeudi 24 novembre à 11h30 au siège de l’U2P, 53 rue Ampère, 75017.