Jean-Patrick Sauvy élu président du COFIT

PDG de Pommier et membre de la FFC, Jean-Patrick Sauvy a été élu président du Cofit (Comité d'orientation de la filière industrielle du transport) par les membres de ce groupe de travail, réunis en marge du Mondial de l'automobile. Il succède ainsi à Jean-Claude Girot qui occupait ce poste depuis janvier 2014. Tandis que la vice-présidence du comité sera désormais assurée par Jean-Marc Lange, (directeur des affaires publiques de Renault Trucks), au titre du CCFA (Comité des constructeurs français d'automobiles).

Le COFIT est un groupe de travail du Comité stratégique de la filière automobile (CSFA), lui-même rattaché au Conseil national de l'industrie (CNI). Il regroupe l'ensemble des acteurs de la filière du véhicule industriel (marchandises et voyageurs). Ses membres sont notamment le CCFA, la CFE-CGC, le CNPA, la CSIAM, la DGE, la FFC, la FNTR, la FNTV, la FGMM-CFDT, le pôle de compétitivité LUTB, l'OTRE, la PFA, etc.


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La PFA affine son action sur le développement durable

Le 6 octobre dernier, la PFA (Plateforme de la filière automobile et mobilité) a signé une seconde charte RSE (sur la responsabilité sociétale et environnementale des entreprises). Celle-ci concerne les domaines des Droits de l'homme, du Droit du travail, de la responsabilité sociétale, de l'environnement, de l'éthique de conduite des affaires et de la lutte contre la corruption... Autant de domaines dans lesquels les membres de la plateforme se sont engagés à adopter de bonnes pratiques.

Rappelons ici que la PFA regroupe 4 000 entreprises, en leur nom propre (Faurecia, Michelin, PSA, Renault, Valeo, etc.) ou au travers des organisations professionnelles (FFC, CCFA, FIEV, FIM...) et de divers pôles de compétitivité (Galia, LUTB...). Tandis que la vocation de cette organisation d'intérêt collectif est de définir, coordonner et promouvoir les actions nécessaires à l'amélioration de la compétitivité de filière automobile française. Les acteurs de cette plateforme avaient déjà mis en place une charte RSE en 2010. Au travers de cette nouvelle signature, non seulement ils réaffirment leurs engagements en matière de développement durable (objectif des démarches RSE), mais ils l'enrichissent aussi, avec l'expérience des six années passées.


Formation initiale : l'interminable course à l'avenir

Il y a le rythme du progrès technique, et celui de la formation. Alors que l’évolution technologique s’accélère, l’écart se creuse avec le temps d’adaptation de la formation initiale. La question secoue aujourd’hui toute la branche, à commencer par le secteur de la formation initiale.

«Les constructeurs sortent des véhicules plus rapidement qu’autrefois alors que les plans de formation sont actualisés tous les trois ou quatre ans. Il y a toujours un décalage», indique Catherine Rajalu, directrice de la communication du Garac, l’école nationale des professions de l’automobile. Comment compenser cet écart ? «C’est la question que toute la branche se pose, admet-elle. Sans avoir encore clairement identifié de solutions.»
En attendant, les initiatives se multiplient à différents échelons de la formation initiale. Chaque établissement développe sa propre stratégie pour actualiser son offre de formation et tenter de raccrocher les wagons avec le monde professionnel.

Depuis quelques années, émergent ainsi de nouveaux modules de formation pour tenter de répondre aux besoins des entreprises en matière de nouvelles technologies. C’est le cas notamment du lycée professionnel La Joliverie, près de Nantes, qui a lancé une Formation complémentaire d’initiative locale (FCIL) après avoir été sollicité par des professionnels cherchant à embaucher un référent en véhicule hybride ou électrique, capable de répondre aux questions techniques non maitrisées par le réseau. Cette formation destinée aux bac pro et BTS est essentiellement axée sur la mise en sécurité et le diagnostic des véhicules électriques, avec une alternance à mi-temps en entreprise pour une formation plus concrète.

Par ailleurs, les équipes d’enseignants de la Joliverie bénéficient d’une marge de manœuvre pour adapter les référentiels édités par le ministère. Mais cette évolution est rapide, voire trop rapide, selon Yvonnick Malary, directeur délégué aux formations professionnelles et techniques. «Chaque nouveau plan de formation met environ deux à trois ans à se mettre en place. À peine l’a-t-on stabilisé que déjà, il faut recommencer. C’est beaucoup de remises en question et d’énergie pour parvenir à rattraper le temps du progrès technique ; il serait parfois préférable de poser un peu la formation.»

Accéder à la technologie de pointe

En parallèle, des partenariats ont été mis en place avec certains constructeurs français pour permettre aux formateurs d’avoir un accès direct aux technologies dès leur sortie sur le marché. Six enseignants ont par exemple accès aux données PSA dans les mêmes conditions qu’un salarié du groupe. Les enseignants sont également formés en continu chez les constructeurs partenaires ou via le GNFA. Pour les constructeurs étrangers, avec lesquels aucun partenariat n’a pu être mis en place, les enseignants s’en réfèrent aux outils de diagnostic multimarque et au rétro-engineering.

Enfin, l’établissement reçoit des véhicules récents moins de six mois après leur sortie sur le marché. Mais ces délais diffèrent grandement selon les établissements et les constructeurs. «Aux constructeurs français et importateurs étrangers de jouer le jeu en proposant les derniers modèles de véhicules et les outils diagnostics aux centres de formation», suggère Catherine Rajalu. Or, ces pratiques ont plutôt tendance à disparaître.
Au Garac, les véhicules arrivent dans l’année qui suit leur mise sur le marché, contrairement à l’AFORPA qui attend trois à quatre ans. En cause, d’une part, un renouvellement de plus en plus rapide du parc automobile par les constructeurs. De l’autre, des financements qui malgré les aides de l’ANFA ne permettent pas d’investir sur des véhicules neufs.

«Avant, les constructeurs nous faisaient don de véhicules, mais depuis quelques années ce n’est plus le cas. La faute à la crise ? Les restrictions budgétaires ? Difficile à dire», s’interroge Benoît Lemaire, coordonnateur technique de l’AFORPA. Selon Catherine Rajalu, la politique «zéro défaut» menée par les constructeurs a considérablement réduit le nombre de véhicules disponibles pour les établissements.

Le rôle des équipementiers

Pour permettre aux apprentis d’appréhender la mise en sécurité des véhicules électriques, l’AFORPA a contourné le problème budgétaire en investissant dans des voiturettes de golf. «Les conditions d’intervention sont les mêmes, mais les véhicules sont beaucoup plus accessibles», explique Benoît Lemaire.

Au Garac, on mise sur un rapprochement école – entreprises pour que l’un compense ce que l’autre ne peut pas apporter. La coopération a aussi été renforcée avec les équipementiers, qui proposent des conférences techniques et technologiques au sein de l’établissement. «Même si les constructeurs et importateurs ont compris l’enjeu des besoins en information et outils de diagnostic, les équipementiers nous font plus facilement part des dernières avancées technologiques», admet Catherine Rajalu.

Les enseignants du Garac sont également encouragés à rejoindre des formations constructeurs destinées aux professionnels de la branche pour entretenir une proximité avec la réalité du terrain. Enfin, l’établissement a la volonté de développer la formation supérieure, avec des formations dédiées aux véhicules hybrides et électriques. «C’est une petite révolution», reconnaît la directrice de la communication.

Anticiper les métiers de demain

Malgré ces efforts, «les connaissances des jeunes diplômés en matière de nouvelles technologies restent assez théoriques ; il leur manque la répétition du geste», admet Yvonnick Malary. Un constat partagé par Jacques de Leissègues, président DAF Conseil. «Les jeunes diplômés ont une culture générale supérieure à celle des anciens qui n’ont jamais été formés sur les nouvelles technologies pendant leur cursus initial. Mais souvent, cette formation est encore insuffisante, notamment en hybride, électrique et même en matière de diagnostic», remarque le président DAF Conseil.

Même chose concernant les nouvelles normes de dépollution, où les «formations existent, mais sont encore insuffisantes», ajoute-t-il. Et même si la formation initiale s’adapte, «le temps que tous ces jeunes soient sur le marché et remplacent l’ancienne génération, le parc automobile aura encore évolué».

La question se pose également concernant les véhicules connectés et demain, les voitures autonomes. Bien qu’elle soit déjà bien implantée dans le parc automobile, la place de l’informatique dans la formation est encore abordée du bout des lèvres par les établissements. «Demain, des clients viendront se plaindre que leur iPhone ne se connecte plus sur leurs véhicules. Ce genre de problème n’a plus rien à voir avec la mécanique de base, mais les réparateurs devront pourtant y faire face», souligne Benoît Mahoue, responsable formation chez Bosch. «Faudra-t-il embaucher un « geek » dans chaque garage pour répondre à ces problématiques ou déléguer ce volet à une boîte informatique ?» s’interroge-t-il. Doit-on former des techniciens ultra-polyvalents ou segmenter les compétences ? «Le problème, c’est qu’en matière de maintenance réparation, on est incapable de dire à quoi ressemblera le métier de demain», souligne Catherine Rajalu.

Face à ces exigences croissantes du réseau, de nombreux jeunes diplômés de lycées professionnels et CFA cherchent à se spécialiser, se sentant parfois insuffisamment préparés à affronter le monde du travail avec un seul diplôme en poche.


Hydraulev devient DALBY Ile-de-France

Cette fois, c'est officiel : Hydraulev, carrossier spécialisé dans les bennes, grues et bras, à Maurepas (78) a été acquis par Dalby, comme nous l'avions alors évoqué en septembre dernier. Ce site de 3 000 m2 constituera d'abord un centre de montage pour les grues spéciales ou de forts tonnages. Il deviendra aussi un point de distribution pour les filiales Bennes Dalby et Techmat (exportateur des grues PM et Kesla), dans la région. Le groupe Dalby compte ainsi présenter une offre complète à ses clients, lorsqu'ils souhaitent commander un véhicule doté à la fois d'un bras et d'une grue (dans la construction, le recyclage...). Au travers de cette acquisition et de ces décisions, il vise non seulement à progresser sur le marché national, mais aussi à l'international.


Peinture : une armoire qui assure le chaud et le froid

Fillon Technologies présente les Care + Kit, des armoires de chauffage haute performance polyvalentes...


Un nouveau site pour le carrossier ANCY en Moselle

Demain jeudi, le carrossier Ancy de Moselle inaugurera son nouveau site à Ennery, éloigné de 20 km de son berceau historique d'Ancy-sur-Moselle, avec une journée portes ouvertes. L'investissement de ce carrossier dans une toute nouvelle usine devrait améliorer la qualité de productivité et intensifier l'activité à l'export. Certifié VanPartner par Mercedes en 2015, il entretient avec le constructeur un partenariat trentenaire. La nouvelle usine d'Ennery coïncide avec un changement de nom : Ancy Poids Lourds se nomme depuis l'été dernier Ancy Groupe


MIRKA poursuit sa course à l'efficacité

Le grand rassemblement de la profession, Automechanika, était l’occasion pour l’industriel finlandais de présenter plusieurs innovations dont il a le secret, avec comme dénominateurs communs la productivité et l’efficacité au service de la préparation des surfaces.

Une fois encore, l’innovation était de mise sur l’espace Mirka avec l’Abranet Ace HD, le dernier-né de la gamme des abrasifs Net. Fort d’une solide structure maillée propre à cette famille d’abrasifs et de l’apport de grains spécifiques en céramique, l’Ace HD peut s’atteler au ponçage intensif des métaux. Son support à maille tissée augmente sa durée de vie et accélère le processus de ponçage en s’appuyant sur une rugosité adaptée (P40, P60, P80) d’une part et sur une évacuation optimale des poussières d’autre part.

Reconnue et même récompensée à plusieurs reprises depuis son lancement en 2012, la ponceuse Derosfait figure de référence sur le marché. Sûr de la qualité de son matériel mais aussi soucieux de la santé de ses clients utilisateurs, Mirka a pris le parti d’équiper ses nouveaux modèles d’un capteur de vibrations intégré. Ainsi, grâce à une application mobile spécifiquement développée pour la circonstance, il est possible de mesurer et d’enregistrer les temps d’exposition de l’utilisateur aux vibrations. Information particulièrement précieuse pour éviter une exposition prolongée que l’on sait délétère.

Toujours au chapitre des ponceuses, le finlandais étoffe son offre avec une nouvelle ponceuse électrique rectangulaire à mouvement orbital. Comme les autres machines au catalogue utilisant cette énergie, la Deos 383CV adopte un moteur sans balais (charbons), gage de fiabilité et de durée de vie prolongée. La Deos s’empare également des dernières technologies introduites sur les machines Deros. Enfin, son format rectangulaire se prête idéalement au « dressage » des mastics et au ponçage des primers.

Suite logique de la préparation de surface : le polissage est également une activité réputée très chronophage et que Mirka a souhaité revisiter. À l’origine du temps passé, le choix multiple des produits nécessaires et l’impératif respect de leur hiérarchie dans le mode opératoire. En transposant l’expérience acquise avec le système optimisé de préparation de surface (OSP), le spécialiste du ponçage propose aux professionnels le système Golden Finish ; un processus de polissage simple, rapide et économique. Chacun des produits à utiliser étant identifié à la fois par une couleur et par un numéro.


Un giga campus pour l'enseignement automobile en Ile de France

A compter du printemps 2018, l'ANFA, initiatrice du projet, l'AFORPA, l'INCM, le Garac et le GNFA se réuniront sur un même site pour regrouper l'ensemble de l'offre de services que compte la branche automobile en Ile-de-France.
Installé à Guyancourt (78), sur le site de l'ancienne Chambre d'Agriculture d'Ile-de-France, le futur campus des services de l'automobile et de la mobilité s'annonce d'ores et déjà comme un lieu unique en son genre. A quelques centaines de mètres du Technocentre de Renault, prendront place d'ici le printemps 2018 les cinq plus grands acteurs de l'enseignement francilien qui ont choisi d'unir leurs forces pour donner naissance à un site vitrine de leur savoir-faire, qui permettra de rassembler et de former aussi bien des apprentis que des étudiants ou des salariés, via de multiples diplômes (enseignements en préapprentissage, CAP, Bac professionnels, CQP, licences professionnelles, diplômes d'ingénieur, formations à destination des salariés, etc.).

Plus d'un millier de personnes attendues

A compter de la rentrée 2018 donc, un millier de personnes pourront être accueillies sur ce campus, qui comprendra 13 ateliers de mécanique et de technologie pour l'automobile, la moto et le cycle ainsi qu'un quatorzième dédié aux véhicules industriels. 1900 mètres carrés seront consacrés à l'enseignement général, tandis que deux laboratoires de recherche seront également construits. En outre, un amphithéâtre de 250 places pouvant accueillir des véhicules, un hall, un showroom et des salles de réunions permettront au site d'accueillir des évènements tels que des présentations de produits, des salons ou encore des expositions.

Le Garac y installera ses formations d'ingénieur

Chacun des cinq organismes prenant part à ce projet profitera par ailleurs d'un espace qui lui sera dédié. Numéro un de l'apprentissage en Ile-de-France, l'Aforpa s'y installera logiquement aux côtés de l'Institut National du Cycle et du Motocyle (INCM) qui bénéficiera ainsi d'un second emplacement avec celui du Bourget (93). Implanté à Argenteuil (95), le Garac déménagera quant à lui ses formations supérieures (ingénieur) tout en ambitionnant de développer à Guyancourt des licences professionnelles. Enfin, le GNFA et l'ANFA, initiatrices de ce projet, transféreront dans ces nouveaux locaux leurs sièges régionaux implantés jusqu'alors à Sèvres (92).

"Créer des pôles de compétences spécialisés"

La pose de la première pierre de ce campus a été réalisée le 28 septembre en présence de Jérôme Chartier, premier Vice-président du Conseil Régional d'Ile-de-France en charge de l'économie et de l'emploi, deBertrand Mazeau, président de l'ANFA, de Stéphane Rivière, gérant de la SCI des services de l'automobile et de la mobilité détenue par cette dernière, ainsi que de François Deligne, Maire de Guyancourt.

Si le montant précis de ce projet n'a pas été communiqué, l'ANFA et sa SCI, financeur de ce campus avec la région Ile-de-France, ont simplement indiqué que leur contribution dépassera les 20 millions d'euros. Lors d'une courte élocution, Jérôme Chartier s'est félicité de cette initiative tout en rappelant que "ce campus s'inscrit dans un projet régional plus global avec l'ambition de créer des pôles de compétences spécialisés".


FORCH dégaine une baladeuse LED ultraplate

La baladeuse LED COB 15 watts, avec son design compact et ultra fin, se faufile aisément dans les espaces étroits. Sa zone d’éclairage resserré – seulement 9 mm – fournit tout de même une intensité de 400 Lumen. La lampe est dotée d’un variateur de luminosité, facilement accessible avec le pouce. Elle est fournie avec un socle aimanté pivotant à 360° pour travailler les mains libres et illuminer la zone voulue. Pleinement chargée, elle dispose d’une autonomie de 2h30 à pleine puissance ou 10 heures à 50 % du volume d’éclairage. Un voyant rouge indique quand la lampe doit être rechargée via son câble de charge USB ou son adaptateur 220 V inclus.

Simplification de la Cession de Créance, la FFC Réparateurs est déjà sur le pont

L’Ordonnance N°2016 – 131 portant réforme du droit des obligations publiée le 10 février dernier, modifie profondément la mise en oeuvre de la Cession de Créance. A partir du 1er octobre 2016, la signification du contrat ne sera plus nécessaire, seul le courrier recommandé suffira. Une simplification que la FFC Réparateurs a anticipé pour proposer un outil mis à jour et prêt à l’emploi.

La Cession de Créance permet au carrossier non agrée et choisi par le client de se faire payer les réparations en lieu et place de son client, qui lui aura cédé sa créance. Or jusqu’ici, la mise en oeuvre de la Cession de Créance suppose une signification par huissier auprès de l’assureur à défaut d’être opposable aux tiers débiteurs selon l’article 1690 du Code Civil.

C’est pourquoi, cette ordonnance constitue une avancée très favorable aux réparateurs. Le texte abroge toutes les dispositions édictées à l’article 1690 et suivants du Code Civil et les remplace par les articles 1321 et suivants du Code Civil. Dès le 1er octobre 2016, le carrossier pourra informer l’assureur de l’acte de Cession de Créance par une simple lettre recommandée avec accusé de réception.

La FFC Réparateurs, à l’initiative de cette procédure de la Cession de Créance applicable aux réparations des dommages aux véhicules, oeuvre depuis toujours pour cette simplification. Pour rappel, en 1999, l’objectif de la FFC Réparateurs était de rendre au réparateur la liberté de la gestion de ses affaires et de la valorisation de ses prestations au juste prix en dehors de toutes interventions extérieures.

Aujourd’hui, la FFC Réparateurs a mis à jour son logiciel TRIBU afin que celui-ci permette l’utilisation de la Cession de Créance dans sa version simplifiée. Ce logiciel est disponible uniquement sur abonnement auprès de la FFC Réparateurs.