Le décret encadrant l'utilisation des pièces de réemploi est paru

Le décret définissant les conditions dans lesquelles les professionnels doivent permettre à leurs clients d’opter pour des pièces de réemploi pour la réparation de leur véhicule est paru au Journal Officiel.  

Très attendu par les professionnels, le décret encadrant l’utilisation des pièces de réemploi dans la réparation des véhicules est paru au Journal Officiel du 31 mai. Il fait suite à l’adoption de la loi sur la transition énergétique dont un article donne l’obligation aux professionnels de proposer à leurs clients ce type de pièces au risque de payer une amende pouvant aller jusqu’à 15 000 euros. 
Le décret fixe donc les conditions dans lesquelles les professionnels doivent "permettre au consommateur d’opter pour l’utilisation de pièces de rechange issues de l’économie circulaire à la place des pièces neuves".  Il ne prévoit toutefois pas d’amende pour ceux qui ne seraient pas en mesure de proposer cette offre alternative. Il indique en outre que"lorsque les pièces ne sont pas disponibles dans un délai compatible avec le délai d’immobilisation du véhicule" mentionné sur l’ordre de réparation, le professionnel n’est pas tenu de proposer de la pièce de réemploi. 
Mais si le gouvernement a retiré cette épée de Damoclès du dessus de la tête des professionnels, il est en revanche resté sourd à une autre de leur demande : appliquer cette mesure aux seuls véhicules de plus de huit ans. En effet, le décret exclut du champ d’application de cette obligation les seuls véhicules sous garantie ou les véhicules réparés dans le cadre d’une opération de rappel. 

Limitation à certaines pièces
Le décret limite également cette obligation à certaines pièces : les pièces de carrosserie, de garnissage intérieur et la sellerie, les vitrages non collés, les optiques et les pièces mécaniques à l’exception des celles faisant partie des organes de sécurité que sont les trains roulants, le freinage et les éléments de liaison au sol "soumis à usure mécanique et non démontables". Par ailleurs, le décret stipule que le professionnel n’est pas tenu de proposer des pièces de réemploi s’il estime qu’elles "sont susceptibles de présenter un risque important pour l’environnement, la santé et la sécurité routière".  
Plus qu’une obligation imposée aux professionnels, ce décret est donc davantage une façon d’encadrer l’utilisation de ces pièces alternatives – qui représentent aujourd’hui 3 % du marché – dans la réparation.


Bonne nouvelle, CHÉREAU recrute !

Le carrossier Chéreau vient de lancer une nouvelle campagne de recrutement afin de faire face à la forte demande pour ses produits. 40 postes sont à pouvoir en production sur Ducey et Avranches, dont certains directement en CDI pour les métiers nécessitant des compétences techniques très spécifiques : soudeurs, peintres, électromécaniciens. Mais l'entreprise recherche aussi des mouleurs, des carrossiers, des décorateurs et des menuisiers.


SOLUTRANS va élire un Homme de la filière

L'édition 2015 du Salon International des Solutions de Transport Routier et Urbain fait les comptes : sur cinq jours, les 900 exposants et marques (+ 13 % vs 2013) ont vu passer 36 000 visiteurs (+ 3 %).


Christophe Bazin intègre la FFC Réparateurs

Depuis début mai, Christophe Bazin occupe le poste de chargé de missions de la FFC réparateurs.


Christophe Bazin, ex-nobilas, rejoint la FFC Réparateurs

Christophe Bazin est le nouveau chargé de Missions de la FFC Réparateurs depuis début mai. De formation financière, Christophe Bazin (50 ans) a démarré sa carrière au sein d’un groupe bancaire avant d’exercer durant 17 ans chez plusieurs constructeurs automobiles.

Il a rejoint par la suite la plateforme de gestion de sinistres Nobilas (Innovation Group) en tant que consultant, puis responsable du développement réseau et responsable réseau, et enfin responsable du conseil de gestion du réseau.

« J’ai apprécié de mettre mes compétences en matière de gestion et d’organisation au service des carrossiers pour les soutenir au quotidien. Je les ai accompagné durant 10 ans côté réseau et j’y ai pris goût, d’où mon arrivée à la Fédération » souligne Christophe Bazin, fils de carrossier.

 


La GPEC mode d'emploi

Le secteur de la distribution automobile assiste depuis plusieurs années à une sophistication de l’offre et de la demande. Les clients sont de plus en plus exigeants et les nouvelles technologies impliquent une montée en compétences.
Pour rester compétitif, les groupes de distribution automobile doivent pouvoir se remettre en question mais surtout posséder une connaissance parfaite de leurs forces et faiblesses.

De plus, la nouvelle réforme de la formation professionnelle et la mise en place de formations à visée certifiante, s’inscrit en tout point dans une démarche prévisionnelle de gestion des compétences. Anticiper le turn over, faire évoluer ses salariés, les accompagner dans des projets à moyen ou long terme…

Pour mener à bien un bon diagnostic il faut :

  • • Définir les objectifs de développement des emplois et des compétences
  • • Sensibiliser et outiller l’encadrement,
  • • Identifier les moyens humains, matériels et financiers à mettre en œuvre,
  • • Identifier les écarts entre les emplois et les compétences requis et l’existant,
  • • Concevoir valider et mettre en œuvre le plan d’action
  • • Vérifier périodiquement l’atteinte des objectifs et mesurer l’efficacité du plan d’action
  • • Pérenniser la démarche en l’inscrivant dans la stratégie de l’entreprise.

Toutes ces étapes permettent notamment d’identifier l’évolution nécessaire des emplois et des compétences, de repérer les écarts entre ce qui existe et ce qui est requis, d’améliorer les pratiques RH et de favoriser une culture d’entreprise partagée. Il peut se concentrer sur les activités de l’entreprise et/ou sur ses emplois et ses compétences.

Cette démarche a aussi pour intérêt de renforcer le dialogue entre employeur et salarié autour d’intérêts communs. L’implication de l’ensemble des acteurs de la direction aux collaborateurs créée une synergie, moteur de motivation. La double expertise RH et automobile des consultants du GNFA offre un décryptage et une analyse adaptées aux entreprises du secteur.


Christophe Bazin est nommé chargé de missions de la FFC Réparateurs

Christophe Bazin vient de rejoindre les rangs de la Fédération française de la carrosserie au sein de sa branche dédiée aux réparateurs (FFC réparateurs). De formation financière, le responsable a débuté sa carrière dans un groupe bancaire. Il a rapidement changé de voie pour s’orienter vers l’automobile et a passé 17 ans chez plusieurs constructeurs comme Volkswagen,Suzuki, Mitsubishi et Volvo. Il a occupé divers postes dont celui de chef de région vente et après-vente, de conseiller de gestion et responsable du développement réseau. Après cette expérience, il a rejoint les rangs d’une plateforme de gestion de sinistres en tant que consultant puis responsable du développement réseau et responsable réseau. Fils de carrossiers et passionné de deux-roues, Christophe Bazin n’a pas peur de se salir les mains pour entretenir ses nombreuses motos et cyclomoteurs anciens. Le nouveau chargé de missions a déjà pris en main des dossiers comme le projet d’arrêté sur le libre choix, la médiation avec les représentants des experts ou les véhicules électriques.


FFC : Christophe Bazin, nouveau chargé de mission

La branche Réparateurs de la Fédération Française de la Carrosserie (FFC) annonce la nomination de Christophe Bazin en tant que chargé de mission…


Quand TF1 se penche sur les nouvelles façons d'entretenir son véhicule

L’émission Sept à Huit diffusée dimanche 22 mai s’est penchée sur les nouvelles façons d’entretenir son véhicule au meilleur coût. Un véritable memento à l’usage des «réparateurophobes»…


Le poids de la pièce internet chez les réparateurs !

Quelle relation les réparateurs français ont-ils avec Internet ? Combien sont-ils à acheter leurs pièces et pneus en ligne ? Auprès de quels sites ? Combien d'entre eux montent les pièces apportées par les consommateurs ? Internet a-t-il déstabilisé la distribution traditionnelle des pièces, indépendante comme constructeur ? Les réponses apportées par la partie française de cette nouvelle étude européenne d'ICDP(*) sont passionnantes...