Commandes de pièces : 1 % seulement des réparateurs se déplacent !

Cette toute nouvelle enquête d'ICDP constate que la commande en ligne domine chez les réparateurs agréés et arrive seconde chez les MRA (respectivement 60 % et 42 %). et dans les deux cas, derrière le bon vieux téléphone (27 % chez les RA et 52 % chez les indépendants). Mais surtout, elle montre définitivement que très peu de réparateurs vont encore physiquement chez leurs distributeurs !


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FFC Réparateurs : Christophe Bazin, Chargé de Missions

Christophe Bazin, 50 ans cette année, est avant tout un homme de terrain. De formation financière, il a démarré sa carrière au sein d’un groupe bancaire mais sa passion pour l’automobile prend le dessus. Cela l’amène à travailler chez différents constructeurs. Durant 17 ans, il a occupé différents postes chez Volkswagen, Suzuki, Mitsubishi ou encore Volvo. Ainsi, il sera chef de région vente et après-vente, conseiller de gestion et responsable du développement réseau.

Après cette expérience, il a rejoint une plateforme de gestion de sinistres, où là encore, il a été au contact d’un réseau de professionnels en tant que consultant, puis responsable du développement réseau et responsable réseau, et enfin responsable du conseil de gestion du réseau. « En les accompagnant durant 10 ans, j’ai apprécié de mettre mes compétences en matière de gestion et d’organisation au service des carrossiers pour les soutenir au quotidien » explique Christophe Bazin, dont le père a été carrossier mécanicien durant 30 ans. En plus, je pratique la mécanique au quotidien à travers ma passion pour les cyclomoteurs anciens. J’en retape et j’organise des courses sur circuit. C’est cette passion qui m’a fait quitter la région parisienne, où je suis né, pour la Picardie. Il me fallait de l’espace pour entreposer ma centaine de deux-roues ».

Comme Chargé de Missions à la FFC Réparateurs, Christophe Bazin accompagne des carrossiers qu’il connaît déjà bien. « Pour le moment, je travaille sur les dossiers de fond comme le projet du nouvel arrêté sur le Libre Choix, le dossier sur la médiation avec les représentants des experts, les véhicules électriques… Mais je compte bien aller rapidement sur le terrain rencontrer les adhérents FFC, anciens, actuels mais aussi les futurs membres. Il faut que la FFC Réparateurs soit représentée dans tous les départements et territoires ».

Pour contacter Christophe Bazin : christophe.bazin@ffc-reparateurs.org ou 01 44 29 71 28


DURISOTTI à la rencontre de ses clients

Durisotti, constructeur carrossier depuis 60 ans, réalise chaque année plus de 25 000 transformations de véhicules utilitaires ou de véhicules d’entreprise. Minibus, minicars, TPMR (transport de personnes à mobilité réduite), grands volumes, bâtiment & BTP, aménagements spéciaux pour les forces de l’ordre, patrouilleurs autoroutiers, ambulances, n’ont plus aucun secret pour le constructeur du Nord.

Présent au salon des Maires et des Collectivités locales du 31 mai au 2 juin, à Paris Porte de Versailles, il sera le seul carrossier exposant et présentera au pavillon 2.1, stand n°C53, l’une de ses solutions de véhicules aménagés pour répondre à l’ensemble des besoins spécifiques des collectivités.

Vous pourrez également retrouver Durisotti les 8, 9 et 10 juin au salon Autonomic, Hall 4 stand n° G14, à Paris Porte de Versailles et du 14 au 16 juin au salon Transports Publics Expo 2016, Hall 1, stand numéro B29 à porte de Versailles.

Un Peugeot Partner et un Fiat Doblo, aménagés pour les besoins individuels des Personnes à Mobilité Réduite, un Nissan NV400 et un Peugeot Boxer, dédiés aux transports collectifs de personnes seront présentés. 

D’autres nouveautés attendent le public comme un Mercedes Sprinter CITYLINE, minibus urbain de 22 places, une navette urbaine NOVIBUS sur Renault Master avec la nouvelle motorisation Euro 6 ainsi qu’un Opel Combo aménagé pour les besoins individuels des Personnes à Mobilité Réduite.


Forte hausse du marché des véhicules utilitaires et industriels en Europe en avril

Le marché des véhicules utilitaires légers (moins 3,5 T) progresse de 13,5%, à 165 227 unités en avril. Ceux du VU (+ 5 T) et du VI (+ 16 T) sont en forte hausse de respectivement +21,1% et 21,5% ce mois-ci. 

C’est le 32e mois consécutif de hausse pour le marché des véhicules utilitaires légers en Europe, avec une croissance à deux chiffres pour l’ensemble des catégories en avril, à l’exception des Bus et Cars.
Sur un périmètre de 30 pays (UE des 28 pays, hors Malte, avec l’Islande, la Norvège et Suisse), les immatriculations des VUL ont encore progressé de 13,5% en avril, avec 165 227 unités (19 600 VUL de plus qu’en avril 2015). Avec cette nouvelle progression, le marché est en augmentation de 11,4% à fin avril, avec 647 207 immatriculations (66 400 unités de plus qu’en 2015).

L'Espagne et l'Italie en forte hausse
C’est quasiment l’ensemble des pays qui profite de la reprise du marché VUL à l’exception ce mois-ci de la Belgique (-2,9%), de la Slovaquie (-5,2%), de la Grèce (-5,8%) et de la Lettonie (-14%).
Parmi les cinq grands marchés, seuls l’Espagne et l’Italie affichent des hausses supérieures à la moyenne du marché VUL en avril. Quatrième marché européen, l’Espagne enregistre une progression de 18%, à 15 256 immatriculations VUL neufs ce mois-ci. A fin avril, les immatriculations totalisent 54 126 unités, soit une hausse de 11,3%.
Avec une progression de près de 31% (14 250 unités), l’Italie s’octroie l’une des plus fortes augmentations parmi les cinq grands marchés sur cette période. Au cumul des 4 premiers mois, la croissance du marché VUL en Italie est de 30,4%, à 53 746 immatriculations. 
Autres marchés ayant fortement contribué au dynamisme du marché des véhicules utilitaires légers et dont la progression est supérieure à celle de la moyenne du marché en avril : les Pays-Bas (+29,3%), la Pologne (31,8%), la Hongrie (+34,9%), la Finlande (+23,6%), la Roumanie (+43,7%), la Slovénie (36%), la Lituanie (+84,5%) et l’Islande (+51,1%).

Le VU et le VI maintiennent le cap
Le marché du VU (de 5 à 15,9 tonnes) reste également dynamique en avril avec une hausse de 21,1%, à 33 694 immatriculations. Au cumul, la hausse est elle aussi à deux chiffres dans cette catégorie de près de 19%, avec 123 653 unités, soit un peu plus de 19 400 véhicules de plus qu’en 2015.
C’est de nouveau l’Espagne et l’Italie qui sont les plus dynamiques sur ce segment ce mois-ci, parmi les cinq grands marchés. En Espagne, le volume a progressé de près de 37%, à 1 994 unités en avril. Quant à l’Italie, les immatriculations sont en augmentation de 61%, avec 1 724 unités.
Le marché du VI (+ 16 tonnes) poursuit sur la même tendance de ce début d’année avec une hausse en avril de 21,5%, à 27 083 unités. A fin avril, le marché enregistre aussi une forte croissance de 19 ,2%, avec 100 880 immatriculations. Les marchés porteurs de cette progression parmi les 15 premiers sont principalement : l’Italie (+70,4%), la Pologne (32,2%), la Belgique (+45,1%), la Roumanie (+53,3%) et la Hongrie (+32,4%).
Après une légère hausse de 1,5% en mars, les immatriculations des Bus et Cars neufs ont de nouveau augmenté de 3,4%, à 3 419 unités en avril. Au cumul des 4 premiers mois, c’est une progression identique au mois, avec 12 743 immatriculations.


Après Volvo et Renault Trucks, Girot part au Mondial

Le Comité des Salons (Mondial de l'Automobile, Salon de la Moto, Salon du Cycle) annonce la nomination de Jean-Claude Girot au poste de commissaire général du Mondial de l'Automobile. Il remplace Etienne Cochet à compter du 1er juin 2016, apportant sa grande connaissance de la filière automobile. Membre du Comité des Salons depuis 2009, il connait parfaitement l'événement et travaille déjà avec l'équipe organisatrice. Sa mission ne sera pas évidente dans la période difficile que vit en ce moment l'automobile. Mais en homme des situations délicates, il devrait savoir manœuvrer pour que le Mondial redevienne une grande manif véritablement mondiale.

Né le 2 août 1952, après des études d'expertise comptable et de commerce, Girot a commencé sa carrière chez Chrysler Europe dans les services financiers. Il a accompli une longue carrière commerciale d'abord chez Volvo France (camions et bus) à partir de 1981, puis chez Renault Trucks (Groupe AB Volvo depuis 2001) à partir de 1986. Il a été ensuite directeur des relations extérieures de Renault Trucks de 2010 à 2014, puis directeur des affaires publiques de Volvo Group France jusqu'au 31 mars 2016. Jean-Claude Girot est par ailleurs président de l'AFGNV (Association française du gaz naturel pour véhicules) et du Cofit (Comité d'orientation de la filière industrielle du transport).

Si Jean-Claude Girot est un incontournable du monde de l'automobile et du camion, c'est aussi une personne très connue dans le secteur sportif, où il a excellé : 7e Dan de kendo, ex-capitaine de l'Equipe de France (de kendo), puis coach des Equipes de France, il a été 6 fois champion d'Europe et 9 fois champion de France. D'autre part, il est aussi colonel de réserve de l'armée de Terre, Chevalier de l'Ordre national de la légion d'honneur et de l'Ordre national du mérite.


Les experts demandent la reconnaissance par l'Etat d'un Code de déontologie

Au-delà du Code de la route qui cadre le rôle de l’Expert, la profession vient d’accoucher d’un nouveau Code de déontologie qu’ils souhaitent voir reconnu par l’État. Certains s’en inquiètent.
Le 5 avril dernier, dans le cadre de son assemblée générale, la Confédération Française des Experts en Automobile* a adopté un nouveau et très attendu Code de déontologie. « Cette étape marque la reconnaissance du Code de déontologie par l’ensemble de profession des experts en automobile » se félicite le monde de l’expertise.
Structuré en 5 parties (principes généraux, relation avec les clients, relation des experts en entre eux, relation avec les autres professionnels de l’automobile, règles particulières aux différents types d’exercice), ce Code de 64 articles, constitue « une référence et une aide dans l’exercice quotidien de la profession » selon le CFEA. Il a pour objectif d’intervenir sur toutes les valeurs de la profession : indépendance, objectivité, impartialité et contradictoire. Le texte contient aussi quelques innovations, tel l’article 7 relatif aux conflits d’intérêts. Le texte met aussi en avant le rôle de l’expert dans la protection des personnes et des biens, notamment du fait de son obligation de signalement d’un véhicule défectueux.

Ce Code et sa bonne application seront appuyer par la mise en place prochainement d’un comité de déontologie disciplinaire. Ce dernier aura entre autre comme mission de contrôler en cas de doute les contrats passés entre les experts et leurs clients. Voilà les assureurs prévenus de toutes formes de dérives ou de pressions !

La CFEA vient de solliciter un rendez-vous auprès d’Emmanuel Barbe, Délégué Interministériel, afin de lui présenter ce texte et d’évoquer sa reconnaissance par l’Etat. Ce Code pourrait alors être au centre de la Commission Nationale des Experts en Automobile annoncée par le Délégué Interministériel.

Si ce Code fait l’unanimité au sein du CFEA, le Syndicat des Experts Automobiles Indépendants (SEAI), très minoritaire au sein de la profession, s’en étonne. « Qu’elle légitimité pour imposer à l’ensemble de la profession un tel Code ? » s’interroge-t-il. Pour le SEAI, un seul Code doit être suivi, celui du Code de la route et particulièrement les articles L. 326-1 à L. 326-4 qui traitent du régime disciplinaire. « Le SEAI, s’inquiète de la teneur de telles propositions qui remettent insidieusement en cause l’intégrité de la profession » signale Florian Mourgues, président du SEAI.

*La CFEA réunit les principales entités de l’expertise : Alliance Nationale des Experts en Automobile, BCA Expertise, Union Professionnelle des Experts en Automobile Salariés et le Syndicat des Experts Indépendants


La Fédération des carrossiers à la rencontre de ses adhérents

La Fédération française des carrossiers constructeurs a rencontré ses adhérents mardi à Joué-lès-Tours.


Rampe manuelle et légère chez DHOLLANDIA

Le célèbre fabricant de hayons élévateurs Dhollandia continue à développer de nouveaux produits afin de mieux répondre aux demandes les plus spécifiques des professionnels.

Il le prouve une fois encore avec cette rampe manuelle légère et robuste offrant une capacité de 2 500 kg. La DH-AM est une plate-forme entièrement faite d’aluminium qui se révèle à la fois légère – à partir de 120 kg – et robuste. Cette rampe, qui peut parfaitement remplacer les portes arrière du véhicule, permet ainsi à l’utilisateur de conserver une capacité de chargement maximale. L’ouverture et la fermeture du plateau sont assistées par de puissants ressorts de torsion intégrés et invisibles dans les pointes de l’articulation.

L’ouverture en position de travail et la fermeture en position route sont donc simplifiées, ne nécessitant pas d’effort particulier pour l’utilisateur. La rampe DH-AM se veut fonctionnelle. La taille de son plateau est adaptable, offrant un large choix de positionnements sur le véhicule. Dhollandia France propose de monter cet équipement à l’arrière ou sur les portes latérales d’un grand nombre de modèles de véhicules utilitaires. Toute autre demande, plus spécifique, peut également être étudiée par le bureau d’études de l’entreprise.

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Exemple du montage sur fourgon Renault Master :
– 74 kg grâce au démontage des portes arrière.
+ 135 kg environ avec l’installation du kit de carrossage et du plateau.
= 56 kg : poids net approximatif à compter pour le système de rampe monté et opérationnel.


Besoin en formation : faire le point pour avancer

Plus que jamais, avec la nouvelle réforme de la formation et la mise en place de parcours certifiants, élaborer un plan de formation à court ou moyen terme est essentiel.
Il est alors important de se poser trois questions :

  • Comment identifier les besoins individuels en formation ?
  • Comment consolider simplement l’ensemble des besoins en formation ?
  • Comment repérer les axes prioritaires de développement des compétences ?

Les évaluations en ligne offrent une multitude de possibilités pour mesurer la maîtrise des connaissances et savoir-faire métiers, les acquis mais aussi établir une cartographie des compétences.

L’analyse des résultats doit se faire sous forme d’un rapport pertinent et clair permettant aux personnes concernées de percevoir rapidement le champ de compétences déjà maîtrisé et ceux à développer. Pour répondre à ce besoin, le GNFA a créé eProfil GNFA, solution d’évaluation de la formation et des compétences au service des métiers de la branche des services de l’automobile (VL, PL, bus & car, vul, moto). À l’issue du questionnaire, les besoins en formation sont formalisés dans un rapport d’évaluation individuel ainsi que dans un tableau de synthèse destiné au responsable de formation. Les résultats sont présentés selon trois niveaux de besoin en formation : éventuel, sensible et recommandé. Les thèmes d’excellence du collaborateur sont également révélés afin d’identifier les potentiels.


Experts : le SEAI opposé à la reconnaissance d'Etat du "Code de déontologie" de la CFEA

Suite à la récente demande de la CFEA (Confédération française des experts en automobile) de voir reconnu par l’État le “code de déontologie des experts” adopté par ses membres en avril dernier, le SEAI (Syndicat des experts en automobile indépendants) dénonce le manque de légitimité du texte, qui n’a pas été souscrit par l’ensemble de la profession d’expert et qui ne saurait se substituer aux dispositions qui encadrent déjà la profession tel qu’elles apparaissent dans le Code de la route.