resize-Essieu-ADR.jpg

SAE SMB présente ses essieux à la Bauma

Les conditions extrêmes sur les chantiers de construction imposent des essieux particuliers pour les véhicules ! C'est la raison pour laquelle SAE SMB expose ses équipements à la Bauma. Parmi eux, on note des essieux suiveurs, oscillants, dédiés aux transports ADR, etc. Le fabricant d'essieux ardennais participe ainsi à l'un des plus importants salons du monde dans les domaines de la construction, des mines et carrières (à Munich, du 11 au 17 avril). NG


FNTR : Nicolas Paulissen remplacé par Florence Berthelot

Suite à la démission de Nicolas Paulissen de ses fonctions de délégué général de la FNTR, c'est très logiquement celle qui fut sa déléguée adjointe depuis 2010, Florence Berthelot, qui prend cette fonction. Mme Bethelot sera en charge des dossiers juridiques et réglementaires, de la politique sociale et des affaires européennes


Une ligne téléphonique pour épauler les adhérents de la FFC

Membre de la Fédération française de carrosserie, j'ai besoin d'un conseil comptable, fiscal, juridique ou social ?... Désormais, « Marie et ses experts » y répond. Les adhérents de la FFC peuvent désormais appeler le 0 147 147 627 de 9h30 à 12h30 et de 14h00 à 18h00. Ils peuvent aussi envoyer leur questions par mail à : marie@ff c-carrosserie.org. Dans tous les cas, FFC Experts leur enverra une réponse personnalisée dans les 48 h.

C'est au début de l'année, que la FFC a mis en place cette plateforme d'experts pour répondre aux questions de ses adhérents des trois branches (constructeurs, équipementiers et réparateurs). Cette assistance porte sur les questions des professionnels dans les domaines notarial (droit de la famille, transmission d'immeubles...), fiscal et comptable (tenue et révision comptable, évaluation de l'entreprise, conseil fiscal pour l'entreprise et son dirigeant...), juridique (droit du travail, contrats, droit de la responsabilité, droit de la fiscalité de l'entreprise...) et social (conseil et assistance en matière sociale, assistance aux entreprises en difficulté, protection sociale et patrimoniale...). A coté de ces services, les interlocuteurs habituels de la FFC restent aussi à la disposition de ses adhérents.


DURISOTTI propose une version grand volume des nouveaux Citroën Jumpy et Peugeot Expert

Le carrossier Durisotti est le premier a avoir été sollicité par PSA pour réaliser une adaptation des nouveaux utilitaires de ses deux marques, Peugeot et Citroën. L'Expert et le Jumpy avaient été présentés pour la première fois au dernier salon de Genève, puis à la presse, le 6 avril dernier. A cette occasion, les journalistes ont pu découvrir un prototype de fourgon grand volume sur base Jumpy, carrossé par Durisotti. Cette version précède une gamme spécifique (sur les bases Peugeot et Citroën), que le carrossier produira sur son site de Sallaumines (62), à 45 km de l'usine PSA de Sevelnord. Le fourgon présenté offre un volume de 8,5 m3 (contre 6,6 m3 en version usine). Leurs panneaux sont réalisés en fibre de lin recyclable (innovation récompensée lors de la dernière édition de Solutrans), avec une structure allégée en aluminium.


Le prix moyen des réparations augmente de 1,6 % en 2015

Icare, spécialiste des contrats d’entretien et des garanties pannes mécaniques, élabore depuis cinq ans un indice du prix de la main-d’œuvre relatif aux réparations mécaniques (I2RA). Celui-ci s’appuie sur ses propres bases statistiques annuelles (207 000 dossiers techniques gérés et 140 000 factures atelier payées en 2015).

En 2015, l’indice I2RA s’établit à 118,38, et le tarif horaire constaté de la main-d’œuvre affiche un prix moyen de 78,12 euros TTC. Ce chiffre est en progression de 18,4 % par rapport à 2010, le tarif horaire était alors de 65,90 euros TTC.

«  Il semble cependant que l’année 2015 marque une stabilisation avec une croissance de 1 point de l’indice I2RA par rapport à l’année 2014 », souligne Icare.

Entre 2014 et 2015, le prix moyen des réparations mécaniques (pièces et main-d’œuvre) a relativement marqué le pas avec une progression de 1,6 % en passant de 517 à 524 euros.


Patrick Cleris, nouveau président de la FRCI

Au début de l’année, Patrick Cleris a été nommé à la tête de la FRCI, la Fédération des réseaux de carrosseries indépendantes. Il succède ainsi àPhilippe Gervasoni.

Âgé de 59 ans, Patrick Cleris a été le dirigeant de Cleris & Triverio de 1984 à 2010, une carrosserie industrielle de 24 salariés. Jusqu’en 2015, il a occupé le poste de directeur du groupe Alvarez, carrossier à Pau.

« Je suis fortement convaincu de la nécessité d’une Fédération des réseaux de carrossiers. Nous ne pouvons plus travailler chacun de notre côté, au moment où nos partenaires constructeurs, assureurs, experts, se regroupent et s’organisent. Le partage d’expériences doit être un atout. N’ayons plus peur d’échanger, de confronter nos idées, d’optimiser nos moyens techniques, d’inventer d’autres concepts, voire de bousculer nos principes pour préparer les défis de demain. Optimiste pour l’avenir, je veux donner un élan supplémentaire à la FRCI avec mes convictions et ma sensibilité » s’enthousiasme Patrick Cleris.

Le nouveau président consacre ces premiers mois de l’année à rencontrer les directeurs des sept réseaux de la FRCI, les fédérations et quelques sociétés partenaires de la profession. Parmi ses prochaines actions : se positionner sur les sujets d’actualité (norme carrosserie, libre choix, textes sur la négociation avec les assureurs, pièce de réemploi…), s’investir dans la formation, aider au recrutement, à la création d’un observatoire de la carrosserie et collaborer avec les associations de consommateurs. La communication de la FRCI sera aussi à l’ordre du jour avec la mise en ligne d’un site internet et la création d’une newsletter diffusée à l’ensemble des partenaires.

La FRCI fédère les enseignes AD Carrosserie, Five Star, Axial, Autoneo, Précisium Carrosserie, Top Carrosserie, Acoat Selected. L’ensemble représente plus de 2 000 carrosseries pour un chiffre d’affaires avoisinant 1,5 milliard d’euros selon nos estimations.


L'automobile et ses nouvelles technologies embarquées

Différentes études estimaient qu’à la fin de l’année 2015, 70 % des véhicules neufs européens seraient équipés de systèmes à gestion d’énergie évoluée, notamment en Stop and Start.

Un chiffre parlant qui met en évidence la tendance actuelle : la quasi-totalité des constructeurs l’ont adopté aujourd’hui. Réduction de la consommation de carburant, limitation des émissions de CO2 en ville (jusqu’à 15 %), diminution de la pollution sonore… Il est compréhensible que les consommateurs adhèrent au système et que les constructeurs s’impliquent dans ces types de technologies.

Cependant, l’évolution rapide et permanente des véhicules implique de nouveaux systèmes électriques/électroniques qui entraînent :

• Des modifications des mesures électriques les plus courantes comme le contrôle d’un circuit de charge/démarrage, qui peuvent déboucher sur le remplacement d’une batterie nécessitant un appairage au véhicule.

• L’arrivée de nouvelles stratégies de fonctionnement liées aux nombreux équipements qu’il faut appréhender pour réaliser des diagnostics efficients.

• La présence d’équipements et réseaux multiplexés. Ceux-ci suivent de nouveaux protocoles de communications impliquant une démarche de diagnostic et une connaissance du système en détail.

Il est dès lors nécessaire pour les techniciens d’être en mesure d’appréhender toutes ces nouvelles technologies, tant sur le point de la maintenance que du diagnostic (sur des équipements où les interactions, le multiplexage et la gestion sont complexes).

Le GNFA propose un cursus de 14 jours vous permettant de prendre en compte toute la dimension de ces nouvelles méthodes et outils et ainsi perfectionner vos travaux électriques et électroniques. Il est composé de nombreuses applications pratiques qui sont le quotidien du technicien et d’apports technologiques ciblés. Il permet aussi de comprendre les contraintes liées à la documentation (recherche et exploitation des schémas électriques multimarques notamment), et fournit un regard tout particulier sur la méthode de diagnostic, réel fil conducteur de cette formation.


Nicolas Paulissen démissionne de la FNTR

Le délégué général de la FNTR, Nicolas Paulissen, a démissionné « pour des raisons personnelles ». L'annonce en a été faite lors des instances de la fédération. On ne sait pas encore qui le remplacera. Selon notre confrère L'Officiel des Transporteurs, auquel il s'est confié, Paulissen assure que son départ prochain (d'ici la fin de l'été) est sans rapport avec des divergences d'appréciation sur le cabotage ou la directive du travailleur détaché avec sa direction (le président Jean-Christophe Pic et Jean-Paul Deneuville, l'ex-délégué général auquel il a succédé, devenu officiellement le directeur général des services de la FNTR).


Les automobilistes n'assurent plus !

De plus en plus d'automobilistes roulent sans assurance, vient de faire savoir le Fonds de Garantie des Assurances Obligatoires (FGAO).

Rien n'y fait. Il y a de plus en plus d'automobilistes qui roulent sans assurance en France. En effet, le nombre de dossiers de non-assurance traités par le FGAO ne cesse d'augmenter d'années en années. Sur l'exercice écoulé, l'organisme d'indemnisation en a traité 28435, correspondant à une hausse de 1,09% sur 2014, de 4,55% sur 2013 et de pas moins de 40,21% sur 2009. "Sur les 3464 décès comptabilisés par la sécurité routière en 2015, près de 6% ont impliqué un conducteur non assuré, soit 194 décès", souligne le FGAO. L'organisme estime que de 370000 à 750000 automobiles circulent sans assurance en France, soit de 1% à 2% du parc de VP.

"La non-assurance reste un enjeu majeur en matière de sécurité routière", conclut le FGAO. C'est d'autant plus le cas que les non-assurés "se révèlent plus dangereux que les autres parce qu'ils cumulent les infractions". Et ce n'est pas sans incidence pour les finances des automobilistes qui roulent, eux, avec une assurance. Au travers de leurs primes d'assurances, ces derniers participent au financement du FGAO. Lan dernier, l'organisme à consacrer 92 millions d'euros à l'indemnisation des victimes et a réussi à récupérer 16 millions d'euros auprès des responsables d'accidents non assurés.


Quand RMC débat du métier d'expert

L’émission “Votre Auto”, animée par François Sorel et Jean-Luc Moreau sur RMC le dimanche matin, s’est penchée sur le métier d’expert afin de le faire découvrir aux auditeurs de la station. Le 3 avril dernier, les deux journalistes ont donc débattu avec Sylvain Girault, administrateur de l’ANEA en charge de la communication, Florian Mourgues, président du nouveau syndicat d’experts SEAI, et Benjamin Labonne, président de la FFC-Réparateurs Auvergne. Morceaux choisis…

Pour écouter l'émission, cliquez ici