SOLUTRANS : TRANSMANUT, la meilleure façon de livrer

le tissu industriel français est composé d'une multitude d'entreprises aux parcours exemplaires. Voici une belle histoire pour Christian Savignard, chaudronnier de formation, qui crée son entreprise en 1983. Depuis plus de 30 ans, Transmanut ne cesse de se développer en proposant d'ambitieuses solutions sur mesure pour la livraison en vrac et la manutention.


Huit créations récompensées à SOLUTRANS

Organisé par la Chambre de Commerce et d'Industrie (CCI) de Lyon, le prix de l'Innovation des solutions de transport a distingué, cette année, parmi les matériels exposés, quatre nouveautés dans la catégorie carrossiers-constructeurs, et quatre dans la catégorie Equipementiers.


Cession de créance : une bonne fois pour toutes

Comme le révèle notre confrère apres-vente-auto.com, la Cour de cassation vient d’émettre un arrêt définitif qui pourrait bien redonner de l’allant à la cession de créance.

Pour rappel, la cession de créance est une procédure qui doit permettre à une carrosserie non agréée d’une compagnie de se faire régler directement par l’assureur les frais de remise en état d’un véhicule, sans que l’assuré ait à avancer cette somme.

Pour être valide dans la pratique, cette signification de cession de créance auprès de la compagnie doit être accompagnée d’un acte d’huissier valant une centaine d’euros. Ce qui évidemment freine considérablement son application. C’est ce qui a aussi conduit la FNAA à plutôt favoriser la subrogation conventionnelle.

Mais depuis le 12 novembre, cet arrêt n° 1261 F-D de la plus haute juridiction de l’ordre judiciaire français valide, pour faire simple, le fait qu’il suffise de signifier une fois pour toutes auprès d’un assureur son intention de pratiquer cette cession de créance pour que les demandes qui s’ensuivent auprès de la même compagnie puissent être faites sans voie d’huissier, simplement par un courrier envoyé en recommandé.

Cette simplification de la procédure découle d’une bataille juridique menée par Jean Païs,président de la région Rhône-Alpes de la FFC-Réparateurs et vice-président national. Il envisage des points de formation sur cette évolution de la cession de créance au sein de sa fédération.

 

P.Cholton 12.03.2014 ©J.Y.Kerbrat IMG_0102.JPG

Patrick Cholton : "il faut valoriser le savoir-faire spécifique de notre profession"

Patrick Cholton est président de la Fédération Française de Carrosserie depuis mars 2014. A quelques jours de l'ouverture de SOLUTRANS, il dresse un portrait de la carrosserie française, confrontée à des difficultés mais riche de grandes potentialités grâce à un savoir-faire historique.


En pointe sur l'utilitaire électrique, GRUAU poursuit son internationalisation

Son positionnement de "multispécialiste" a largement contribué à faire de Gruau le leader européen de la carrosserie sur véhicules utilitaires. Référencé auprès de 34 marques de constructeurs, le groupe mayennais propose plus de 20 lignes de produits : véhicules de distribution (fourgons et isothermes), utilitaires pour le BTP, voitures sociétés et véhicules spécifiques (médiacux, culturels, bureaux mobiles...), véhicules sécurité (police, gendarmerie, douane...), ambulances, pompiers et funéraires.


L'auto climato compatible arrive

Moteurs dépollués, connectivité et allègement grâce aux nouveaux matériaux, l'automobile tire parti des technologies pour concilier mobilité et protection de l'environnement.


La vente de pièces de rechange sur internet "perd en dynamisme"

Le e-commerce représente 12 % du marché de la distribution de pièces de rechange. C’est l’une des conclusions de l’étude menée par l’association allemande Verein Freier Ersatzteilemarkt e.V. (VREI), à la demande de Schaeffler Automotive Aftermarketet du cabinet d’études de marché 2hm & Associates GmbH. Déjà réalisée en 2012, cette enquête a pour objectif d’analyser l’évolution du marché du commerce en ligne des pièces détachées automobiles (ses acteurs, ses flux principaux développements, les variations de prix, etc.) dans les six plus grands pays européens. Ses résultats ont fait ressortir cinq grandes tendances.

Premier enseignement : si le commerce en ligne continue à croître, il perd toutefois en dynamisme. En progression à deux chiffres entre 2012 et 2015, les derniers taux de croissance annuels de la vente de pièces sur Internet devraient diminuer pour passer au-dessous du seuil de 10 % d’ici 2018. Un ralentissement dû, selon l’étude, à la baisse du nombre de clients potentiels, en particulier des adeptes du « do-it », en raison de la complexité technique des véhicules.

Parmi les autres tendances notables, l’association VREI constate le déclin des activités du groupe eBay Motors, autrefois acteur important de ce marché. Une perte de vitesse que le spécialiste des enchères accuse au profit de nouveaux géants du e-commerce, notamment Amazon, dont le chiffre d’affaires réalisé avec sa famille de produits pièces de rechange est estimé entre 80 et 120 millions d’euros.

Parallèlement à leur développement, ces spécialistes de la vente en ligne ont d’ailleurs dépassé le stade de start-up. Plus matures, les pure players ont su structurer leur offre autour de nouveaux services. « Cette évolution se caractérise par une internationalisation croissante, la diversification des stratégies d’approvisionnement, des stratégies de tarification professionnelles et l’orientation de l’activité principale vers les clients professionnels comme les garagistes », précise l’étude.

Dans un dernier point, l’association VREI estime que l’impact des pure players sur les prix va progressivement s’estomper. Si la différence de tarification entre les modes de distribution classique et web n’a cessé de grimper ces trois dernières années, pour atteindre une moyenne de 21 %, de nombreux experts considèrent que ce phénomène touche à sa fin. « À la lumière de la consolidation du marché et de la fusion croissante des mondes online et offline, il est improbable que les prix continuent à baisser », conclut le rapport.


Les Français minimisent l'impact de leur véhicule dans les émissions de CO2

Dans le cadre de la COP21, Mobivia Group publie les résultats d’une enquête sur les Français, la voiture et l’environnement, réalisée par TNS Sofres. Si les Français se sentent effectivement concernés par les défis environnementaux liés à l’automobile, ils ne sont en revanche pas prêts à renoncer à leur véhicule.
Les chiffres sont éloquents : 66 % des 1 068 conducteurs français interrogés estiment que l’automobile nuit gravement à l’environnement et pour 70 % d’entre eux, les rejets de polluants et CO2 générés par la circulation sont extrêmement ou très importants. Mais paradoxalement, les automobilistes ne se sentent pas impliqués personnellement : 56 % jugent leur comportement personnel en tant qu’automobiliste moyennement, peu, voire pas du tout important. Moins de deux Français sur dix reconnaissent leur responsabilité dans les émissions de CO2. Pourtant, à l’heure actuelle, 25 % des émissions mondiales de CO2 sont générées par les transports, dont 40 % par l’automobile.

Parallèlement, 86 % d’entre eux ne sont pas prêts à renoncer à leur véhicule, sachant que 93 % y voient un signe de liberté et d’indépendance. 83 % des Français privilégient toujours la voiture comme mode de transport. Rien d’immuable cependant puisque 73 % des personnes interrogées souhaiteraient pouvoir combiner plusieurs modes de transport, tandis que 64 % se disent prêts à utiliser leur voiture différemment grâce aux nouveaux types de mobilités comme l’auto-partage ou le co-voiturage.

De l’importance de l’entretien

Si les Français ne font pas toujours le lien entre l’usage personnel de leur véhicule et les émissions de CO2 générées, une autre problématique vient complexifier cette perception. En effet, 85 % des sondés cherchent avant tout à faire des économies concernant leur véhicule. Cette contrainte économique induit un vieillissement du parc existant avec, in fine, un impact sur l’environnement plus important. Quelques chiffres pour illustrer ce fait : l’âge moyen du véhicule principal en France s’établit ainsi à 8 ans, 78 % du 18-24 ans possèdent un véhicule d’occasion. 32 millions de véhicules roulent en France avec un renouvellement de 5 % de ce parc par an.

À la lumière de ces chiffres, l’étude met en relief l’importance de l’entretien, levier clé pour agir en faveur de l’environnement. Et ceci, à l’heure où les Français ne respectent pas toujours les rythmes d’entretien préconisés. À titre d’exemple, 60 % des automobilistes vérifient la pression de leurs pneus trois fois par an, alors qu’il est couramment recommandé de la vérifier tous les mois.


SOLUTRANS : Comment recycler son véhicule industriel ?

On parle moins de la fin de vie des véhicules industriels que de celle des véhicules particuliers. Pourtant, alors que développement durable, écologie et recyclage s'invitent partout, il n'est pas inutile de se pencher sur ce sujet qui a fait d'ailleurs l'objet d'une table ronde lors du récent salon SOLUTRANS de Lyon.


36 000 visiteurs venus entrevoir les solutions de demain

SOLUTRANS, le salon international des solutions de transport routier et urbain, vient de fermer ses portes sur une note rassurante et satifaisante. Cette 13e édition a enregistré près de 36 000 visiteurs professionnels venus découvrir des véhicules et des équipements à la pointe des technologies et entretenir des contacts directs toujours primordiaux.