L'ensemble de l'offre ETAI exposé de manière inédite à EQUIP AUTO

Cette édition 2015 du Salon Equip Auto restera pour l’éditeur ETAI un millésime particulier. Pour la première fois, la société, qui vient de rénover son image et son logo, y expose l’exhaustivité de ses multiples solutions informatiques et digitales destinées à l’ensemble de la filière du SAV automobile.

Une offre riche, issue des nombreuses acquisitions opérées ces dernières années par la société, composée aujourd’hui de 25 produits personnalisables et complémentaires que les visiteurs peuvent découvrir sur un impressionnant stand aux allures de centre- auto.

Garagistes, experts, carrossiers, techniciens PL, distributeurs, recycleurs, pneumaticiens, vitriers… ETAI a développé une solution pour chacun des acteurs dans le domaine du devis, du chiffrage, de la commande de pièces, de la donnée technique, de la réception active, de l’aide à la vente, de la gestion sans oublier la fidélisation et la conquête clients.

Difficile ici de détailler l’offre dans son ensemble tant elle est complète. Quelques chiffres toutefois pour la dimensionner : 
-  40 000 sites équipés en Europe dans 18 pays d’au moins une solution de la société ;
-  250 salariés en production ;
-  11 bases de données qui renseignent sur l’offre de 260 équipementiers et les données de 80 000 versions de véhicules.


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EQUIP AUTO : 95 000 visiteurs répondent présent

Environ 90 000 visiteurs en 2013, 95 000 cette année, le Salon Equip Auto « a confirmé sa position de rendez-vous international, indispensable en France » se félicitent ses organisateurs. Le visitorat reste toutefois inférieur à celui des années passées, qui ont connu des fréquentations de l’ordre de 125 000 visiteurs.

En cause, les Salons régionaux de distributeurs toujours plus puissants qui se multiplient et des équipementiers qui peinent à financer leur omniprésence. Toutefois, le nombre d’exposants a grossi cette année, passant de 1 300 en 2014 à 1 400 pour cette édition. Mais la surface d’exposition est elle passée de 125 000 à 100 000 m2, perdant au passage un hall.

Malgré ces chiffres qui peinent à progresser, Equip Auto reste incontestablement un rendez-vous fort du secteur. Pour preuve, comme de coutume, bon nombre d’exposants attachés et fidèles au Salon ont attendu l’événement pour dévoiler leurs innovations, dont certaines ont été annoncées dans nos cinq éditions spéciales. Les organisateurs du rendez-vous bisannuel de l’après-vente automobile ont su également ouvrir leurs portes à de nouveaux acteurs du marché, avec des espaces dédiés aux start-up ou au véhicule d’occasion.

Pour assurer une large couverture du Salon, un plateau TV a permis d’offrir une exposition supplémentaire aux exposants tout en informant les visiteurs sur les grands enjeux de leurs métiers.


Le Libre Choix du réparateur entre dans les moeurs

GT Motive, entreprise notamment active dans la mise en place de solutions de gestion des sinistres, a révélé les résultats de son étude 2015 portant sur la satisfaction des assurés dans la gestion de sinistres automobiles en France.
Dans le cadre de cette étude, 7 002 personnes ont été interrogées, dont 1 105 ont subi un sinistre. Ces derniers ont ainsi répondu à une série de questions destinées à connaître leur opinion et leur réaction en cas de sinistre. Sur ces 1 105 personnes ayant déclaré un sinistre, 85,3 % ont emmené leur véhicule chez un réparateur, immédiatement ou quelques jours après. Si une majorité (53,1 %) de ces répondants s’est certes laissée conseiller par l’assurance dans le choix du réparateur, ils ne sont cependant que 37,7 % à avoir finalement confié leur véhicule au réparateur conseillé par leur assureur. 15,4 % ont décidé d’emmener leur véhicule à un réparateur de confiance, tandis que 43,7 % ont choisi d’effectuer les réparations chez le réparateur de leur choix.

La qualité et la rapidité de la réparation primordiale

Pour ceux qui ne connaissaient pas le réparateur chez qui ils ont emmené leur véhicule, 61,3 % ont eu une très bonne ou bonne impression. 20,8 % ont eu une impression neutre, 8 % une mauvaise ou très mauvaise impression. Critère le plus important des sondés dans le choix d’un réparateur : la qualité de la réparation pour 17,6 % d’entre eux, suivi de la rapidité de la réparation à 16,7 %. En troisième position, a été cité le prix, suivi du bon accueil. Le top cinq est complété par la possibilité d’un prêt d’un véhicule de courtoisie.

 


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Paris la logistique urbaine revisitée

Vendredi 16 octobre, c’était journée de grand oral devant Jean-Louis Missika (urbanisme – Grand Paris) et Christophe Nadjovski (transport – voirie), deux adjoints de la maire de Paris. Les 22 porteurs des appels à projets d’expérimentation « logistique urbaine durable » ont eu chacun 90 secondes pour présenter leurs projets. C’est court, mais suffisant pour apprécier la motivation des protagonistes sur des sujets aussi variés que la collecte de surplus de denrées alimentaires, les services de voisinage pour la réception de colis, la plateforme logistique par voie d’eau ou encore des opportunités de stationnement. Parmi les 22 projets, il y a ceux dédiés au transport routier et plus précisément à la gestion du dernier kilomètre et livraison du client final.

Dans ce domaine, un certain nombre de solutions est apporté par des transporteurs. C’est le las de FM Logistic, UPS et Martin Brower qui gère les livraisons de Mc Donald. D’autres sont développés sur la base d’une mutualisation des flux jusqu’à la livraison finale. C’est le cas du projet Urbismart qui propose d’utiliser un camion pour une rue ou un quartier avec un système ambitieux de prise en charge de marchandises de la part de plusieurs chargeurs ou transporteurs vers une destination identique. « Notre projet réduit les coûts logistiques en améliorant le service rendu et d’impact sur l’environnement. De cette façon, la logistique n’est plus seulement un centre de coût mais génère des ventes supplémentaires » explique Jean-Paul Rival, directeur général de Urbismart. 

Les créateurs d’Urbismart pensent utiliser la « Base Intelligente de Logistique » ou BIL qui a été imaginée et créée par le carrossier industriel Libner à Saint-Maixent-l’Ecole (79). L’inventeur n’est autre que Joseph Libner qui a créé son entreprise il y a 50 ans et surprend toujours par son pouvoir d’innovation. BIL est l’un des 22 projets d’expérimentation retenus par Paris and Co et la ville de Paris. Il donne une belle visibilité à une idée très originale qui intéresse depuis longtemps les élus parisiens … mais pas seulement. Christophe Troubat qui porte le projet pour Libner a pris de nombreux contacts très positifs et encourageants aussi bien avec des villes importantes que des opérateurs de premier plan.

Chaque projet sera développé et expérimenté durant plusieurs mois, un an maximum, avant d’être évalué puis mis en action de façon effective. En ce qui concerne Bil Station et Bil Lift, l’ensemble est rassemblé sur un porteur qui transporte un petit camion électrique modulaire baptisé Bil Truck sur lequel se positionnent automatiquement une ou plusieurs Bil Box. Bil Truck vient se réapprovisionner sur la base située à proximité immédiate. « Ce concept permet parfaitement de mutualiser les livraisons sur un secteur donné. Il s’agit vraiment d’une méthode révolutionnaire dans l’idée d’une logistique urbaine repensée » explique Christophe Troubat qui a présenté Bil devant les élus parisiens.


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TOUTENKAMION : une récompense méritée

Spécialiste du très spécial, le constructeur carrossier implanté à Ladon (45) vient d’être récompensé d’un prix parfaitement mérité. Les 7ème Trophées de l’entreprise, organisés par La République du Centre, récompensent des entreprises implantées dans le Loiret. Cette année, vingt entreprises étaient réparties en 7 catégories. Parmi elles, il y avait un transporteur routier, Deret. Mais dans sa catégorie, c’est Thélem, un assureur qui a reçu la récompense. Toutenkamion concourait dans la catégorie  « International » avec comme compétiteurs EMA Pharmaceuticals (emballages) et Zefal (accessoires vélo). Les efforts d’une société exportatrice sont récompensés. C’est Stéphane Girerd, le président, qui est monté sur la scène du Zénith d’Orléans, le jeudi 15 octobre, pour recevoir le prix au nom de l’entreprise.

Les camions qui sortent des ateliers de Toutenkamion sont uniques et permettent à chaque fois à l’entreprise, qui fêtera ses 80 ans l’an prochain, de repousser un peu plus loin les limites technologiques. Les 80 salariés se répartissent sur une vingtaine de métiers, certains traditionnels dans cette industrie, compagnons métalliers, serruriers, hydrauliciens, plombiers, frigoristes, électriciens, menuisiers bois et alu, selliers-garnisseurs, peintres ou qualiticiens; d’autres plus originaux comme les designers, plasticiens, stratifieurs ou informaticiens encadrés par dix chefs de métier garants de la méthode.

La clientèle de Toutenkamion est très diversifiée, ce qui est une chance par ces temps de crises. La base est le plus souvent une semi-remorque et plus rarement un porteur qui devient une régie vidéo pour des chaînes de télévision, des podiums d’animation pour les armées, les conseils régionaux ou quelques entreprises et même des salles itinérantes de formation professionnelle ou d’animation. Cela peut être plus spectaculaire encore, comme ces salles mobiles de cinéma qui se déploient pour accueillir jusqu’à cent spectateurs. Chaque unité peut coûter de 100 000 euros jusqu’à plus d’un million d’euros pour certains motor-homes réalisés pour des écuries de compétition qui réclament jusqu’à 15 000 heures de travail.

Le bureau d’étude dispose de 11 postes de dessins assistés par ordinateur (DAO) en réseau et de nombreux autres logiciels, calcul de structure, gestion de la documentation fournisseur ou des achats. La table de traçage trois dimensions reçoit les piges à l’échelle 1 qui permet de suivre une construction centimètre par centimètre. Toutenkamion exporte depuis toujours et sur tous les continents. Cela va du cabinet dentaire ambulant pour les pays du Golfe, aux camions cinéma qui partent sur les champs d’opération lointains, jusqu’en Afghanistan, pour détendre les soldats. En Afrique également a été livré récemment un camion podium destiné à des organisations de spectacles.


En direct d'EQUIP AUTO : la FFC lance son baromètre

La Fédération Française de Carrosserie (FFC) s'est rapprochée du GIPA pour réaliser un baromètre trimestriel, qui livre des tendances sur le secteur et les orientations du marché.


LAMBERET.Investissement de 5M dans l'Ain

"Ma feuille de route en 2009 était claire : ramener l'entreprise à la profitabilité". Six ans plus tard, Erick Méjean, directeur général de Lamberet SAS spécialisée dans la production de véhicules réfrigérés a gagné le pari.


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Turbo sur l'innovation du 17 au 21 novembre à Lyon

SOLUTRANS, le salon international des professionnels du transport routier et urbain, qui se déroulera du 17 au 21 novembre à Lyon-Eurexpo, met toujours le turbo sur l'innovation, sa force et sa différenciation.


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La FFC prend la température de ses adhérents

La Fédération Française de Carrosserie (FFC) a lancé avec le soutien du GIPA un baromètre trimestriel destiné à apporter un éclairage quantitatif et statistique sur la santé du secteur de la carrosserie.


Serices de l'automobile : 87 % des jeunes formés en alternance ont un emploi dans les six mois

Selon les chiffres publiés par l’ANFA, 87 % des jeunes formés en alternance aux métiers des services automobiles dans le cadre d’un certificat de qualification professionnelle trouvent un emploi dans les six mois.  

Alors que le taux d’emploi des 15-24 ans est retombé à 28  % en décembre, son plus bas historique, l’emploi des jeunes dans la branche des services automobiles est en progression. Et cela notamment pour les titulaires d’un certificat de qualification professionnelle (CQP), obtenu à la suite d’une formation en alternance.
Selon l’Anfa, l’organisme en charge de la formation de la branche des services de l’automobile, en 2015, 87 % des jeunes titulaires d’un CQP ont trouvé un emploi dans les six mois suivant leur formation (dont 86 % en CDI). Cela représente une hausse de 1 point par rapport à 2014. Surtout, 90 % ont trouvé un emploi dans la branche automobile.
Ce taux d’insertion est de 89 % pour les vendeurs automobiles confirmés et les attachés commerciaux automobiles (+4 points par rapport à 2009). Pour les CQP technicien expert après-vente automobile (TEAVA) et technicien électricien électronicien automobile (TEEA), le taux d’insertion est de 87,5 %. Enfin, pour les techniciens experts après-vente véhicules utilitaires et industriels (TEAVUI), le taux d’emploi est de 100 %.