BCA Expertise présente EXPERVEO

"Avec Experveo, les leaders de l'assurance apportent aux particuliers une solution simple et économique pour racheter un véhicule d'occasion en toute sécurité". BCA Expertise, leader de l'expertise automobile, proposent la solution économique et simple EXPERVEO à leurs clients pour qu'ils puissent acheter leur nouveau véhicule en toute sécurité.

Contexte

En cas de vol ou de sinistre induisant la mise en épave du véhicule, l'assuré doit bien souvent le remplacer rapidement. Cet achat inattendu est alors souvent fait dans l'urgence. Or la fraude dans la vente entre particuliers de véhicules d'occasions sur Internet se porte très bien car les consommateurs ignorent que leurs droits juridiques disparaissent complètement dès qu'ils passent par des sites d'annonces entre particuliers, d'où tous ces soucis, désaccords et… fraudes.

La solution des assureurs : EXPERVEO

Les plus grands assureurs français - Allianz, Aviva, Axa France, Avanssur (Direct Assurance), Generali, COVEA (MAAF, MMA, GMF), PACIFIA (Crédit Agricole, LCL), SOGESSUR (Société générale) et THELEM, membres du conseil d’administration de BCA Expertise, leader de l'expertise automobile, proposent la solution économique et simple EXPERVEO à leurs clients pour qu'ils puissent acheter leur nouveau véhicule en toute sécurité.

Le principe : un expert en automobile de BCA Expertise valide que le véhicule pressenti pour l'achat correspond bien à l'annonce et est en bon état de fonctionnement

L'expert est un des 600 experts en automobile de BCA Expertise, société leader de l'expertise en automobile en France. Il est agréé par le Ministère de l'Intérieur.

Il engage sa responsabilité dans le rapport qu'il dépose dans l'espace client sur le site www.experveo.fr sous 24 heures ouvrables. L’expert débriefera le client par téléphone le soir même du rendez-vous.

Le particulier assuré par l'une des compagnies d'assurance pré-citées indique son téléphone sur le site www.experveo.fr pour qu'un rendez-vous soit pris entre l'expert et le vendeur.

L'expert vérifie la conformité du véhicule par rapport à l'annonce : vérification des papiers et de l'historique de la voiture, de la cohérence du kilométrage, multiples vérifications de la carrosserie, du moteur, des organes de sécurité et test routier.

Il donne également une estimation de la valeur du véhicule qu'il expertise, si le client le désire.

Les bénéfices pour le client

  • Le client est certain que le véhicule qu'il achète correspond à l'annonce qu'il a sélectionnée sur le site de ventes entre particuliers
  • L'expert valide tous les aspects du véhicule : documents administratifs, aspects mécanique et carrosserie, test sur route.
  • Autre avantage : il n'a pas à poser un congé pour venir voir un véhicule sans être certain de l'acheter. Grâce à l’implantation nationale de BCA Expertise, c’est l’expert de proximité qui se déplace, le client peut sélectionner un véhicule partout sur le territoire (et pas seulement à côté de chez lui).
  • L'acheteur est certain d'acheter au juste prix son véhicule

Pour l'acheteur, ce système proposé par son assurance est la garantie d'acheter en toute sécurité son nouveau véhicule, même dans une situation d'urgence.


La contrefaçon, une plaie pour les industriels

La notion de guerre économique correspond bien aux problèmes posés par les contrefaçons de toutes sortes. L’univers de la mécanique en souffre comme les autres industries. Il y a deux aspects principaux, la concurrence déloyale et la notion de sécurité qui n’est pas toujours mise en avant. Pourtant, elle est particulièrement présente lorsqu’il s’agit de pièces mécaniques. ARTEMA, le syndicat des industriels de la mécatronique compte 122 adhérents dans les secteurs des électrovannes, éléments de transmission, étanchéité, fixations, mécatronique, pneumatiques, réducteurs et engrenages, transmissions hydrauliques et enfin roulements et guidages linéaires. La conférence de presse qui s’est tenue à Paris avait pour but de sensibiliser l’opinion et les utilisateurs sur les dangers de la contrefaçon des roulements.

Les chiffres du secteur sont significatifs avec un chiffre d’affaires annuel de 1,05 milliard d’euros pour le seul marché français réparti entre l’industrie du poids lourds (35%), l’automobile (50%) et l’aéronautique (15%). Les adhérents d’Artema représentent 99% de la production nationale et 85% du marché français pour 10 000 salariés. Produits technologiques de précision, les roulements, comme beaucoup de composants produits à grande échelle, sont perpétuellement sujet à la copie ou à la contrefaçon. Si certaines peuvent être qualifiées de grossières, on assiste depuis plusieurs années à des pratiques de plus en plus trompeuses qui rendent la distinction impossible pour un œil non averti. En plus, si ces tromperies provenaient avant des pays émergents et touchaient seulement les roulements de petites tailles, on voit aujourd’hui apparaître des contrefaçons de toutes tailles, particulièrement sur le marché des pièces de rechange industrielles venant de pays industrialisés.

L’organisation syndicale rappelle que 3 500 accidents industriels par an sont dus à des produits contrefaits et que la valeur des dommages économiques dus à la contrefaçon dans l’industrie de service sont estimés à 4,5 milliards d’euros chaque année, ils sont également responsables de la destruction de 200 000 emplois dans le monde chaque année dont près de 30 000 en France selon l’OCDE. Il est bon de combattre la contrefaçon et de veiller lors d’un achat à ce qu’un produit rassemble les normes de qualité et de sécurité requises. Les organisations de lutte contre la contrefaçon ont travaillé méthodiquement. La première étape a été de mener des actions dans les pays « sources » de la contrefaçon (Chine, Inde ou Dubaï). Puis la deuxième étape fut le lancement de la campagne de sensibilisation « stopfakebearings » avec des lettres aux distributeurs et utilisateurs, en plus d’un site internet, brochure, affiches, cas, vidéo. La troisième étape a consisté à l’élargissement de l’action anti‐contrefaçon aux principaux pays consommateurs.

Où trouve-t-on les roulements :

  • Plus de 25 000 dans une machine d’étirage de film,
  • 1 500 dans une machine d’imprimerie,
  • 55 dans un robot,
  • 80 dans une voiture,
  • 2 000 dans un avion,
  • 220 dans un train…

Dans notre quotidien, on considère qu’un ménage moyen abrite chez lui 160 roulements en moyenne, répartis entre le réfrigérateur, la machine à laver, l’aspirateur, le mixer, le sèche‐cheveux….

Les peines encourues

Pour les contrefacteurs : selon la nature de l’infraction :

‐ Responsabilité civile, dommages et intérêts pouvant aller jusqu’à 150 000 €

‐ Responsabilité pénale, dommages et intérêts pouvant aller jusqu’à 150 000 €

‐ Emprisonnement de 2 à 4 ans

‐ Peines complémentaires comme la fermeture de l’établissement, confiscation des produits…

Pour les acheteurs et revendeurs :

‐ Confiscation des produits

‐ Amende pouvant aller jusqu’à deux fois la valeur totale des produits

‐ Poursuites pénales prévoyant un emprisonnement de 3 ans et 300 000 € d’amende, portées à 5 ans et 500 000 € d’amende si le délit est commis en bande organisée.


L'international et le véhicule électrique, les deux piliers stratégiques de GRUAU

Invité de l’association Team, le dirigeant du carrossier Gruau, Patrick Gruau, a dit placer son offre électrique et le développement à l’international au cœur de stratégie de croissance.

Le carrossier Gruau a démarré la production à Laval de la deuxième génération de son véhicule utilitaire électrique, baptisé Electron. Ce véhicule de 3,5t, conçu sur le châssis du Fiat Ducato, est équipé d’une chaîne de traction électrique développée en partenariat avec Actia Automotive.  Pouvant intégrer trois à cinq pack batteries, il offre une autonomie de 90 à 150 km. "Nous avons lourdement investi dans le développement de ce véhicule pour conserver une longueur d’avance sur les constructeurs dans le domaine du véhicule utilitaire électrique", a souligné Patrick Gruau, dirigeant du carrossier, lors d’une rencontre organisée par l’association Team. "L’électrique devrait rester encore quelques années un marché de niche sur le segment des véhicules utilitaires et c’est une bonne chose pour nous. Tant que les constructeurs n’auront pas les volumes suffisants pour produire des utilitaires électriques, notre offre Electron sera une solution pertinente pour la logistique urbaine et le dernier kilomètre notamment", a-t-il expliqué. Sans révéler ses objectifs de vente, Patrick Gruau a insisté sur le fait que cette offre de "solutions propres" était au cœur de sa stratégie de croissance, tout comme son développement à l’international.

Déjà implanté en Pologne, en Algérie, en Espagne et aux Etats-Unis à travers des partenariats commerciaux ou des coentreprises, Gruau réalise aujourd’hui 22 % de son chiffre d’affaires à l’international (sur un chiffre d’affaires 2014 de 204 millions d’euros). D’ici 2022, Patrick Gruau s’est fixé pour objectif de passer la part de l’international dans son activité à 40 % voire 50 %. "Nous espérons pouvoir réaliser des opérations de croissance externe dans les pays que nous avons ciblés comme ceux de la péninsule ibérique, à condition que les rachats portent sur des entreprises spécialisées comme nous sur le véhicule utilitaire. Mais nous continuerons de privilégier les alliances", a-t-il dit. La création d’une coentreprise en Allemagne serait d’ailleurs en cours.  Le dirigeant a indiqué également "regarder de près" le marché britannique.  


Les consommateurs préfèrent toujours le blanc selon une étude de PPG

Une étude de la société PPG montre que la couleur blanche domine toujours le monde de l'automobile, en équipant 35% des modèles fabriqués cette année, alors que le choix de la teinte demeure un facteur majeur dans l'acte d'achat.

Comme il le fait chaque année, le spécialiste des solutions de peinture a publié son rapport annuel, censé donner les grandes tendances en la matière et permettre au marché de la réparation de s'adapter à la demande. Alors que cette étude démontre que près de 60% des consommateurs considèrent la couleur comme un facteur déterminant dans leur décision d'achat, les constructeurs quant à eux continuent de vendre des teintes traditionnelles; puisque 75% des modèles fabriqués cette année arborent du blanc, du noir, du gris ou de l'argent.

D'après PPG Industries, le blanc continue de dominer les débats et ce pour la cinquième année consécutive en habillant 35% des véhicules à l'échelle du monde (+ 7%), suivi du noir (17%) et de l'argent (12%). A l'échelle européenne, le blanc s'octroie 31% du marché, contre 18% pour le noir, 16% pour le gris, 12% pour l'argent et 9% pour le bleu. Sur les cinq plus grands marchés automobile d'Europe de l'Ouest, il n'y a qu'en Allemagne que la couleur blanche (27%) ne domine pas, étant devancée par le noir (28%) alors que les britanniques s'avèrent les plus excentriques, le bleu (19%) et le rouge (10%) s'emparant des 2è et 4è place.

Côté modèles, enfin, cette étude démontre que, sur le vieux Continent, plus de la moitié des minivans et des utilitaires légers sont teintés de blanc (à hauteur de 52% et 57%) alors que le noir domine le segment des véhicules Premium (39%). Les compacts, sportives et SUV quant à eux s'avèrent les modèles les plus porteurs pour les tons rouges ou bleus. Deux couleurs amenées à être de plus en plus tendance en 2016, alors que les finitions orangées et cuivrées devraient animer le prochain exercice.


Colère de la FFC Réparateurs contre les experts auvergnats

Suite à une série de litiges entre des adhérents de la FFC et des experts, dans la région, Benjamin Labonne, président de la Chambre syndicale Auvergne de la FFC réparateurs, dénonce « les abus » des experts, « plus intéressés par [les]statistiques de coût moyen de réparation que par la bonne foi de l'assuré ou les besoins techniques de la réparation ». A cet effet, il a envoyé une lettre ouverte (Téléchargeable ci-dessous) à Lionel Namin, secrétaire général de l'ANEA (Alliance nationale des experts en automobile).

Après y avoir rappelé la présence nécessaire du réparateur, de l'expert et de l'assureur, pour régler les problèmes de réparation de véhicule après collision, il y défend notamment les principes de la Charte de bonnes pratiques des experts en automobile, « bafouée par les experts et leurs instances représentatives ». Si l'ANEA ne parvient pas à faire respecter les principes de cette Charte à ses adhérents - notamment en refusant la tenue d'une commission paritaire de médiation (composée de représentants des deux professions) - Benjamin Labonne menace de porter chaque dossier litigieux au chargé de mission responsable des experts en automobile du ministère des Transports. Pour lui, il s'agit d'éviter un futur « scandale d'ampleur nationale » de la généralisation des réparations à bas coût, en dehors des règles de l'art, avec remise en circulation « d'épaves roulantes ».


CARRIER adopte un réservoir intelligent

Lutter contre le vol de gazole n'est pas le combat des seuls constructeurs de camion. Le carrossier constructeur Carrier lutte aussi pour réduire la conso. C'est dans ce but qu'il vient de passer un accord avec un groupe informatique de Marseille, Avenir Développement Durable (ADD), qui a mis au point un détecteur de vol de carburant. Ce dernier jauge le niveau du gazole du groupe de réfrigération en temps réel, localise le véhicule et détecte toute conso non justifiée. Il signale aussi toute consommation non justifiée. Carrier vient de signer une licence d'exploitation avec ADD pour son dispositif dénommé tout simplement AlertGazoil, qui, d'après ADD, a déjà été commercialisé à plus de 5 000 exemplaires. Du côté de l'informaticien, on se réjouit de cette coopération avec le carrossier qui rappelle que dans les entreprises où AlertGazoil à été mis en service, il a permis des économies autour de 18 %. ADD rappelle que si aujourd'hui une coopération s'est faite avec le carrossier Carrier, qu'outre les camions, son dispositif peut bien sûr être adopté sur des Vul, des cars et des bus.


OMIA reprend son souffle

Omia, qui fêtera ses 70 ans en 2017, est une entreprise française de conception, fabrication, installation et maintenance de lignes de peinture et de traitement de surface. Implantée à Angoulême, la société est numéro un sur le marché français automobile avec 55 % de parts de marché et jouit d’une présence internationale dans près de 50 pays. Omia est structuré autour de trois activités : la réparation des automobiles et poids lourds, les équipements complexes de traitement de surface et peinture destinés à l’industrie (aéronautique, machinisme agricole, ferroviaire…) et les services associés de l’installation à l’après-vente.

Depuis fin juin, Omia a été rejoint par Naxicap Partners, son nouvel actionnaire. Appuyée par celui-ci, l’entreprise lance un plan stratégique ambitieux visant à consolider sa présence dans l’Hexagone par un élargissement de gamme sur le marché du PL et de l’industrie. Le plan ambitionne également une forte croissance à l’international, notamment par la mise sur le marché d’une inédite cabine d’entrée de gamme pour les marchés émergents de l’Europe de l’Est, du Maghreb et de l’Afrique de l’Ouest. Cette croissance s’appuie sur un investissement de 2 millions d’euros sur deux ans.

Omia vise les 30 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2015

Dans le détail le plan d’investissement concerne :
- l’achat d’une nouvelle ligne de production (poinçonnage, cisaillage et pliage) dotée des derniers perfectionnements techniques, qui sera installée à Angoulême fin 2015 ;
- la création d’un atelier de fabrication au Maroc, permettant de produire notamment la nouvelle cabine d’entrée de gamme à destination des pays émergents. Cet atelier sera équipé des anciennes machines transférées d’Angoulême ;
- la mise à disposition pour le bureau d’études d’une base informatisée de données techniques permettant d’améliorer encore la capacité de la marque à concevoir des installations complexes, telles que les gros concepts de carrosserie automobiles ou les lignes de traitement de surface industrielles.

L’entreprise, qui compte aujourd’hui 189 collaborateurs, espère atteindre un effectif de 220 à 230 personnes d’ici à deux ans. Le chiffre d’affaires 2014, qui atteignait 28 millions d’euros pour un résultat opérationnel de près de 9 %, devrait atteindre pour l’exercice 2015 les 30 millions d’euros. Omia ambitionne un doublement de son chiffre d’affaires et de ses résultats dans cinq ans.


Un grand campus de recherche et développement pour Michelin à Ladoux

Michelin a dévoilé le 2 octobre la première partie de son nouveau centre d'innovation technologique mondial chargé d'inventer les pneumatiques de demain, actuellement en construction et installé sur son site de Ladoux, près de Clermont-Ferrand. Ce campus RDI (recherche, développement et industrialisation), qui devrait être pleinement opérationnel début 2018, abritera 1 600 salariés sur les 3 300 rassemblés à Ladoux


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"Le salon intervient dans un contexte de reprise", Patrick Cholton, SOLUTRANS

SOLUTRANS se tiendra du 17 au 21 novembre 2015 à Lyon. En avant-première, Patrick Cholton nous en dévoile les temps forts.


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CFA de la carrosserie de la FFC sur internet

Après le site de la Fédération Française de Carrosserie (FFC), c'est au tour du site de son CFA, situé à Villeneuve-la-Garenne (92), de faire totalement peau neuve.