L'assurance automobile fait encore trop d'insatisfaits

Le comparateur d’assurances automobile minute-auto.fr dévoile les résultats d’une enquête menée en décembre 2016 sur un panel de 1 500 Français. Elle concerne leur vision de l’assurance mais aussi le rapport qu’ils entretiennent avec les compagnies en charge de les protéger eux et leurs biens.
Avec 40 millions de véhicules en circulation, l’assurance automobile en France représente un marché important qui affiche plus de 16 milliards d’euros de chiffre d’affaires. En hausse constante depuis 2010, ce marché qui a su s’adapter au contexte actuel ne fait pourtant pas que des satisfaits…

L’assurance corporelle et le bris de glace plébiscités

Selon l’étude menée par le comparateur minute-auto.fr, 83 % des assurés considèrent que les tarifs sont encore trop élevés, là où trois quarts des sondés regrettent le manque de transparence de leurs contrats. On apprend aussi que la majorité a souscrit à l’assurance corporelle du conducteur ainsi qu’à l’assurance bris de glace (plus de 75 % dans les deux cas). L’assistance zéro kilomètre a également attiré l’attention de plus d’un assuré sur deux (59 %). En revanche, la garantie panne mécanique concerne moins d’un quart des sondés.

La loi Hamon encore peu appliquée

Reste que, si leur assurance ne leur convient pas, les automobilistes peuvent très bien la résilier au bout d’un an de cotisation sans justification. C’est ce que permet la loi Hamondepuis mars 2014, comme le savent 63 % des assurés interrogés. Toutefois, si 81 % d’entre eux ont changé d’assurance cette année, 24 % seulement l’ont fait grâce à cette loi.

Recours au comparateur : surtout chez les jeunes

Pour changer d’assurance, les comparateurs en ligne sont des outils très bien médiatisés et désormais couramment utilisés : 76 % des assurés s’en servent pour trouver leur assurance. On note d’ailleurs que l’outil concerne davantage les jeunes conducteurs que les conducteurs expérimentés : 45 % des 18-29 ans s’en servent contre 22 % seulement des plus de 30 ans.

Les réticences face aux assurances en ligne perdurent

L’étude laisse apparaître que l’assurance en ligne inspire la méfiance pour beaucoup. Cela s’est vérifié au cours de l’enquête. Ainsi, 73 % des sondés préfèrent s’adresser aux assureurs ayant pignon sur rue plutôt que de confier leur voiture aux assureurs en ligne. De même, 58 % des personnes interrogées avouent avoir peur pour leur vie privée, d’où leurs réticences à s’engager en ligne. Néanmoins, sur les 9 % qui ont accordé leur confiance à l’assurance en ligne on enregistre une écrasante majorité d’assurés positifs : 87 % ont fait des économies et 85 % sont satisfaits.

Selon certaines projections, d’ici à 2020, l’assurance automobile connectée en Europe devrait dépasser les 15 milliards d’euros, soit 17 % du marché.

Retrouvez l’intégralité des résultats de cette enquête sur http://minute-auto.fr/pages/presse/etude-assurance-auto


Renault révolutionne la conception des moteurs avec l'impression 3D

Le bureau d'études moteur lyonnais de Renault Trucks est en train de révolutionner la conception des moteurs grâce la fabrication « additive » via l'impression 3D métal. Ce procédé permet la fabrication des moteurs de demain en réduisant le poids et le nombre des pièces de 25 %. Cela permet de passer d'un poids de 525 à 450 kg (soit 25 % en moins), et de 84O à 640 pièces ! Grâce à cette nouvelle technique, les ingénieurs de la marque française ont conçu un prototype DTI 5 Euro 6 step C de quatre cylindres de 5 l de cylindrée, exclusivement avec l'impression 3D. Si le moteur complet a déjà été conçu de manière virtuelle, des culbuteurs et supports de culbuteurs ont été fabriqués par impression 3D métal. Ces pièces ont été testées avec succès au cœur d'un moteur Euro 6, sur banc, durant 600 heures. « Le but de ce projet est de démontrer l'impact positif de la fabrication additive métallique sur la taille et la masse du moteur », explique Damien Lemasson, chef de projet chez Renault Trucks. À court terme, ce procédé de fabrication pourrait être utilisé pour des applications très spécifiques ou pour des petites séries. Après ces premiers essais concluants, les ingénieurs Renault continuent de travailler sur ce procédé de fabrication afin d'augmenter la fonctionnalité des pièces et leurs performances.


Les Compagnons du Devoir ouvrent leurs portes du 27 au 29 janvier

Du 27 au 29 janvier 2017, de 9h30 à 17h30, 42 Maisons de Compagnons du Devoir réparties sur la France, ainsi que la Maison de Bruxelles, ouvriront leurs portes au grand public. Le but : faire découvrir aux jeunes collégiens, lycéens et étudiants en quête d'orientation professionnelle, mais aussi à leur famille, les 29 métiers enseignés au sein de l'association. Résolument tournés vers l'avenir, les Compagnons du Devoir profiteront de ces trois journées pour informer le public sur l'évolution des métiers et les nouvelles compétences requises. Conscients que le système d'apprentissage doit en permanence évoluer et se conformer aux besoins des entreprises, les Compagnons du Devoir adaptent en continu leurs formations et modernisent leurs ateliers par l'acquisition régulière d'outils de plus en plus performants. L'association fait ainsi le pari de mettre l'innovation au service de la tradition en formant la jeune génération aux savoir-faire ancestraux et à la maîtrise des dernières technologies qui viennent bousculer les métiers.-


CHEREAU PLENIERE 01 2017 (165).JPG

Damien Destremau nommé directeur général de CHEREAU

A 48 ans, Damien Destremau quitte Michelin pour succéder à Alain Guermeur à la direction générale de Chéreau, le fabricant de semi-remorques frigorifiques. 

Damien Destremau, 48 ans, a pris officiellement le 1er janvier dernier le poste de directeur général du fabricant de semi-remorques frigorifiques Chéreau. Il lui est également confié le poste de CEO de The Reefer Group (TRG), entité constituée début 2016 par le rapprochement du français Chéreau et de l’espagnol Sor, dans le cadre d’une prise de contrôle par le fonds d’investissement catalan Miura Private Equity. 
Damien Destremau succède à Alain Guermeur qui conserve le poste de président du conseil d’administration de TRG. A ce titre, Alain Guermeur aura pour mission d’étudier les opportunités de rachat d’entreprises en Europe dans le secteur du transport frigorifique.
Fort d’un parcours de 20 ans chez Michelin dans différentes fonctions commerciales, industrielles puis de direction générale de business unit, Damien Destremau va apporter son expérience et sa vision internationale. Au cours de sa carrière, il a notamment travaillé en Amérique du Sud et en Europe centrale. Il occupait depuis novembre 2014, la présidence de la structure Passenger Car Budget Tyres Division de Michelin en Hongrie. 
Comme 16 autres cadres dirigeants du groupe, il en devient actionnaire minoritaire.

CHEREAU veut devenir leader européen du marché de semi-remorque frigorifique

Le fabricant français de semi-remorques frigorifiques envisage de se développer par acquisition en Europe pour en devenir le leader. Il est actuellement en troisième position derrière les allemands Schmitz et Krone. 

Chéreau, le fabricant normand de semi-remorques frigorifiques, a été repris il y a un an par le fonds d’investissement catalan Miura Private Equity pour être intégré dans la structure The Reefer Group (TRG) avec un autre fabricant, l’espagnol Sor. 
La volonté de ce nouvel actionnaire est d’atteindre une taille critique en Europe, par croissance organique, à travers l’augmentation des capacités de production de l’espagnol Sor, et par croissance externe, à travers l’intégration de nouveaux partenaires. "Notre succès repose sur l’innovation et nécessite des investissements élevés, trois millions d’euros rien que pour notre système d’ouverture Smart Open (*), qu’il faut pouvoir amortir sur un volume élevé de véhicules, explique Alain Guermeur, président du conseil d’administration de TRG. La taille est aussi nécessaire pour augmenter notre pouvoir de négociation vis-à-vis de nos fournisseurs, sachant que nous n’avons pas de stratégie d’intégration verticale, à la différence de nos concurrents allemands".
Spécialiste de la technologie polyester et du sur-mesure, Chéreau envisage des achats dans ce secteur du frigorifique en cherchant à se consolider géographiquement mais envisage aussi un élargissement de sa gamme, en ciblant des fabricants de petits porteurs et de VUL, lui qui commercialise 80 % de semi-remorques et 20 % de gros porteurs. "Nous avons déjà identifié quatre à cinq groupes européens qui ne demandent qu’à intégrer une structure européenne, éventuellement par échange d’actions", indique le dirigeant.

Chéreau leader français avec 46 % de parts de marché
TRG représente un chiffre d’affaires de 256 millions d’euros en 2016, en hausse de 15 %, dont près de 200 millions réalisés par Chéreau (+16 %) et 56 millions par Sor. Sa rentabilité, non communiquée, "est excellente et la meilleure du marché", affirme Alain Guermeur.
Chéreau qui a produit l’année dernière 3 897 véhicules frigorifiques en a vendu 1 571 en France l’année dernière, sur un marché de 3 408 unités (+17,6 %), s’octroyant 46 % du marché, devant Lamberet (environ 24 %) et Schmitz (environ 12 %). 
Sur le premier marché d’Europe, l’Espagne, avec 5 425 unités, TRG a pris une part de marché de 26,3 %, dont 17,9 % avec Sor et 8,4 % avec Chéreau, les deux entités ayant un positionnement et des territoires de prix différents pour ne pas se concurrencer frontalement.
En Europe, TRG représente aujourd’hui près de 13 % du marché (dont 10 % pour Chéreau), derrière les allemands Schmitz (1,75 milliard d’euros de chiffre d’affaires) et Krone (1,2 milliard d‘euros pour sa division VI). 


SIKA.jpg

SIKA, partenaire officiel du handball français

Sika apporte son soutien à la Fédération Française de Handball et s'engage à parrainer les manifestations et l'équipe de France en 2017. La marque sera notamment présente sur la manche gauche de l’équipe de France masculine.


3M propose une protection auditive active

L’industriel américain, qui dispose déjà d’une large offre en termes d’équipement de protection individuelle, annonce la disponibilité d’une nouvelle génération de casques électroniques à modulation sonore.
Particulièrement efficace sitôt qu’il est nécessaire de se protéger d’un haut niveau de bruit tout en ayant besoin de rester à l’écoute de son entourage, le casque actif à modulation sonore concilie ces deux états par définition contradictoires.

Un casque actif enfin accessible

Le casque Peltor ProTac III de 3M a pour vocation de démocratiser l’accès aux protections auditives « intelligentes » dans tous les milieux professionnels ; là où il est impératif de pouvoir communiquer sans aucun compromis concernant la préservation du capital auditif.

Les utilisateurs de protections auditives passives savent à quel point il est déconcentrant de devoir les enlever, ne serait-ce que quelques minutes, pour répondre au téléphone par exemple. L’utilisation d’un équipement actif tel que celui-ci autorise la connexion d’une radio, d’un téléphone ou d’un lecteur MP3 grâce à une prise jack 3,5 mm. Les coquilles des oreillettes protègent l’électronique du casque de l’oxydation liée à l’humidité et à la sudation. Avec deux piles AA, le Peltor ProTac affiche100 heures d’autonomie, qu’il préserve grâce à un arrêt automatique programmé passé quatre heures d’inactivité.

Deux versions disponibles

Cet équipement se distingue aussi par une grande simplicité d’utilisation puisque son fonctionnement se résume à l’emploi de trois boutons : marche, arrêt et réglage sonore.
Le casque est disponible en deux versions de – 26 et – 32 db, respectivement affichées à 95 et 105 euros HT.


CHARLES CIP innove avec un set de protection intérieure du véhicule

À l’heure où les structures de réparation cherchent à développer leur activité, Charles CIP leur propose un set intégral de protection de l’habitacle du véhicule. Un tel service ne peut que satisfaire et, pourquoi pas, fidéliser davantage le client…

Spécialiste depuis plus de quarante ans de la vente de produits consommables d’atelier, de services et de matériels à destination des professionnels de l’automobile et de l’industrie, Charles CIP connaît bien les attentes des réparateurs dans ce domaine.

Set 5 en 1

Aujourd’hui, la société présente sa toute dernière nouveauté en matière de protection intérieure du véhicule avec le set complet 5 en 1. Ce produit puise son originalité dans une housse de siège qui intègre en elle-même et sous un conditionnement unique unprotège-tapis, une protection du levier de vitesses et du frein à main et enfin un couvre-volant. Conçue et développée en interne, cette protection « groupée » et à la référence unique répond idéalement aux contraintes de stockage et du temps nécessaire à sa gestion.

Marquage possible

Le set intégral 5 en 1 est fourni en rouleaux de 200 unités (réf. 21640), limitant la place nécessaire à son stockage. Disponible en neutre au prix catalogue de 87,97 euros HT, ce produit peut également être marqué aux logos du constructeur ou du garage, par exemple.


NOx : les camions deux fois plus propres que les véhicules de tourisme diesel

Dans son dernier rapport, l’organisme indépendant ICCT (International Council on Clean Transportation) révèle que les véhicules de tourisme émettent en réalité deux fois plus de d’oxyde d’azote que les poids lourds. Un résultat surprenant qui trouve son explication dans les conditions de mesure des polluants radicalement différentes entre ces deux types de véhicule.
Alors que le diesel avait déjà mauvaise presse notamment depuis l’affaire Volkswagen et la médiatisation des pics de pollution en France, le dernier rapport dirigé par l’ICCT met aujourd’hui de l’eau au moulin des anti-dieselistes. Ce dernier affirme que les émissions moyennes de NOx des véhicules de tourisme seraient deux fois plus élevées que celles des poids lourds. En effet, ces rejets moyens atteindraient 210 mg/km de NOx contre 500 mg/km pour les véhicules de tourisme. Ces résultats sont basés sur la mesure des niveaux d’émissions de 24 camions et autocar Euro IV, réalisée sur les bancs de puissance du VTT, Technical Research Center of Finland et par la KBA, organisme d’homologation allemand.

Alors que les poids lourds consomment environ cinq fois plus de carburant que les véhicules de tourisme, un tel décalage peut s’avérer surprenant mais s’explique par une réduction significative des émissions de NOx des poids lourds depuis 2011, année durant laquelle des tests de mesure de NOx beaucoup plus stricts ont été mis en place en Europe. Ces derniers sont basés sur les conditions réelles de conduite : un appareil baptisé PEMS (Portable Emissions Measurement System), branché sur la sortie d’échappement, quantifie les niveaux de pollution des poids lourds circulants sur routes ouvertes. Pour rappel, le protocole d’homologation pour les véhicules de tourisme n’implique pour le moment pas de test en conditions réelles, mais seulement en laboratoire.

Les limites des émissions de NOx explosées

Résultats, pour se conformer au niveau d’exigence instauré par les législations européennes, les camions embarquent actuellement des technologies de réduction des NOx de pointe, dont les véhicules légers ne sont pas équipés. Ces outils restent en effet soit inadaptés au gabarit des véhicules particuliers ou présentent un coût prohibitif, trop élevé pour être amorti sur un véhicule léger. Le rapport de l’ICCT souligne ainsi que les émissions de NOx des véhicules de tourisme dépassent de 6 à 7 fois les limites réglementaires de 80 mg/km imposé par la norme Euro VI, un fait déjà avéré via de nombreuses études menées par des pays d’Europe ou par des laboratoires.

L’ICCT relate aussi le classement des 30 véhicules diesels Euro IV les plus polluants, réalisé par le gouvernement allemand. Dans le top 3, le Renault Kadjar 1,5 l dont le niveau de NOx s’avère en réalité 16 fois supérieur à la limite réglementaire, sa version 1,6 l dont les rejets de NOx dépassent de 15 fois la limite et le Suzuki Vitara dont les émissions réelles sont environ 11 fois plus importantes que le seuil réglementaire de 80 mg/km. Ce décalage flagrant entre les niveaux d’émissions de NOx entre les véhicules de tourisme et poids lourds pourrait bien s’atténuer dès 2017 avec l’instauration du cycle d’homologation RDE en septembre. Pour rappel, consciente des failles de l’actuel cycle d’homologation NEDC (New European Driving Cycle), la Commission européenne a entrepris de mettre au point une procédure d’essai permettant de mesurer les émissions également sur route et en conditions de conduite réelles (Real Driving Emission, ou RDE) au lieu de les mesurer uniquement en laboratoire comme c’est le cas actuellement.

Un nouveau seuil de 168 mg/km contre 128 initialement

Mais la mise en place de ce protocole RDE s’était accompagnée d’un assouplissement de la norme limité d’émissions de NOX en conditions réelles. Limite qui prend en fait la forme d’un coefficient multiplicateur. Ainsi, initialement, les véhicules ne devaient pas émettre plus de 128 mg/km de NOx, soit 1,6 fois le plafond autorisé dans l’Union européenne et matérialisé par la norme Euro6 (80 mg/km). Cette norme était à la base applicable à compter du 1er janvier 2017.

Cependant, en octobre dernier, les États européens ont voulu tempérer les ambitions de Bruxelles en proposant un coefficient multiplicateur de 2,1, soit 168 mg/km de NOx en conditions réelles de conduite. Non seulement le niveau limite d’émissions de NOx autorisé est donc devenu deux fois plus important que le niveau préconisé par la norme Euro6, mais l’échéance d’application de cette nouvelle norme a été également repoussée de deux ans, à 2019 contre 2017 initialement.

Entre 2017 et 2019, les véhicules devront respecter ce seuil de 168 mg/km lors des tests réalisés en conditions réelles. À partir de 2020, les véhicules pourront encore dépasser de 50 % le plafond fixé par la norme Euro6, avec un coefficient fixé à 1,5. Ce qui restera visiblement, malgré cet assouplissement des normes, un grand défi pour les constructeurs, compte tenu de ce dernier rapport du ICCT.


2017, l'année des bonnes résolutions !

Quand sonne les douze coups de minuit, il est d’usage de prendre de bonnes résolutions. Sport, finances, santé, les sujets sont variés. Si nous n’interviendrons pas dans vos prises de positions personnelles, permettez-nous de vous donner un conseil sur le plan professionnel.
La formation est la solution la plus pérenne pour garder la main sur votre avenir professionnel. Depuis deux ans maintenant, le Compte personnel de formation (CPF) est à la disposition de tous les salariés. Néanmoins, nombreux sont ceux qui ne l’ont pas encore ouvert malgré de nombreux avantages. Désormais détaché du contrat de travail, il est à la disposition du salarié tout au long de sa vie active. Crédité tous les ans, il permet un accès à la formation plus régulier. Si l’employeur doit donner son accord pour son utilisation pendant les heures de travail, l’employé, lui, peut en disposer comme bon lui semble sur son temps libre. Mais, le point fort du CPF est l’accès à des formations certifiantes qui permettent d’acquérir des compétences attestées dans le but d’obtenir tout ou partie d’un CQP.

Alors pour bien démarrer l’année, il suffit d’appliquer la marche à suivre.

Munissez-vous de :

  • 1) votre adresse mail ;
  • 2) votre numéro de sécurité sociale ;
  • 3) votre relevé d’heures de DIF.

Connectez-vous sur le site : http://www.moncompteformation.gouv.fr. En quelques clics, vous voilà en possession d’un compte. Lors de vos formations ou de vos visites dans l’un des centres du GNFA, n’hésitez pas à vous rapprocher de nos équipes d’accueil qui pourront vous guider dans vos démarches et répondre à vos questions.