Affiche Solutrans 2015.jpeg

SOLUTRANS : les initiatives de la FFC pour la formation

SOLUTRANS 2015 (du 17 au 21 novembre – Lyon Eurexpo) mettra à l’honneur les métiers de la carrosserie à travers un espace formation de 300 m² conçu et animé par la Fédération Française de Carrosserie (FFC) et de nombreux partenaires (le rectorat de Lyon, l’AFTRAL – anciennement AFT-IFTIM, la Sécurité Routière, les Compagnons du Devoir…).  Au programme, un accueil spécial pour les collégiens, un concours destiné aux lycéens et aux étudiants et de multiples animations qui ont pour but de faire découvrir toutes les opportunités proposées par la filière qui comme beaucoup d’industries doit se faire connaitre … et apprécier.

Voici quelques initiatives :

Des animations pour séduire jeunes et familles

La FFC mettra en avant l’ouverture à l’apprentissage de son BTS Carrosserie Construction, via son CFA et son lycée de Villeneuve-la-Garenne.

Ce dernier profitera de l’événement pour exposer un ancien J5, totalement refait par les élèves et étudiants en Construction et les apprentis en Réparation. L’objectif : faire connaître « en live » l’ensemble des métiers de la Carrosserie, puisque les jeunes sont intervenus aussi bien en mécanique et carrosserie qu’en peinture ou sellerie.

Un accueil pour les collégiens

En partenariat avec le Rectorat, l’Espace Formation accueillera chaque jour des élèves de 4ème et de 3ème en cours de choix d’orientation professionnelle. Après une présentation des métiers et une rencontre avec les différents organismes de formation, ils visiteront le Salon pour découvrir les produits exposés sur les stands.

Un concours pour entrer dans le vif du sujet

En outre, les élèves de Bac Pro et les étudiants de BTS Construction participeront au « Concours Innovation », organisé par la FFC et SOLUTRANS. Chaque groupe aura en charge la réalisation d’un « reportage » sur des entreprises candidates au Prix de l’Innovation des Solutions de Transport. Ils auront à étudier le dossier de candidature, connaître l’entreprise, examiner l’innovation sur le stand, analyser l’innovation présentée et en faire ressortir l’intérêt. Ce reportage fera ensuite l’objet d’une présentation devant le Jury du Prix de l’Innovation par chacun des groupes d’étudiants.

Un parcours de simulateurs à la découverte des différents métiers

Collégiens et lycéens seront accueillis par les responsables du pôle formation de la FFC, qui leur présenteront les métiers de la carrosserie avec un parcours spécifiquement conçu pour eux : le simulateur de conduite PL du stand de l’AFTRAL ; le J5 du CFA de Villeneuve, présentant la mécanique, la carrosserie, la sellerie et un simulateur de conduite ; le stand des Compagnons du Devoir avec un simulateur de mise en peinture et un simulateur de soudure.


French Tech à EQUIP AUTO !

Equip Auto annonce qu’il rejoint le mouvement French Tech en invitant 100 startups et jeunes entreprises innovantes à sa prochaine édition…

Le salon international de l’après-vente automobile et des services prend un accent numérique en invitant des entreprises évoluant dans les domaines du véhicule connecté, des objets communicants, des applications, de la gestion des données, du transport intelligent et des véhicules du futur, à participer à son édition 2015. «Avec l’#EAStartupRally (NdlR: l’espace dédié à ces entreprises innovantes), le salon ambitionne de décrypter les tendances qui préfigurent l’avenir du commerce et de la réparation et qui deviendront peut-être les standards de demain», assurent les organisateurs.
Pour cela, Equip Auto s’est positionné comme un  »dynamiseur » permettant à ces jeunes entreprises de bénéficier de l’impact international du salon. L’organisation a donc mis en place :
– Un éco-système numérique créé autour de la marque Equip Auto : site web, réseaux sociaux, site mobile, application, blog, chaîne Youtube.
– Des partenariats avec les médias, on-line et off-line, professionnels et spécialisés  »Digital ».
– Des partenariats avec les organisations professionnelles de la filière.
– Des actions de marketing direct (e-mailings, e-news) auprès de contacts qualifiés.


"Allo Mécano", ou l'offensive d'AXA sur la réparation !

Avec l’arrivée du service Allo Mécano, les assurés d’AXA découvrent un service inédit : des «mécaniciens-experts» de l’assureur peuvent renégocier pour eux le prix des réparations devisées par des réparateurs. Ce n’est plus de la carrosserie : cette fois, c’est la prestation mécanique qui passe par les fourches caudines d’AXA. Et de bien violente façon…

Lorsque Covéa recrutait en 2013 un “presque réseau” pour orienter vers lui ses clients automobilistes assurés pour les pannes mécaniques, nous nous étions alors interrogés : n’est-ce pas le premier signe tangible de l’arrivée des assureurs dans l’univers de la réparation mécanique, forts de leur expérience en contrôle des coûts carrosserie (voir «Covéa met-il le loup des agréments dans la bergerie mécanique ?») ?

De toute évidence, AXA vient de confirmer notre pressentiment : l’assureur qui «réinvente son métier» veut aussi révolutionner celui de réparateur. C’est un lecteur qui vient de nous l’apprendre : l’assureur a lancé un étonnant service baptisé Allo Mécano. Sa spécificité ? Il ne s’agit plus là d’une démarche dite “donnant-donnant” où l’assureur justifie au moins la remise exigée par l’apport d’une affaire à un réparateur agréé réputé consentant. Avec Allo Mécano, AXA peut maintenant s’immiscer à tout moment et sans préavis dans l’intimité de la relation entre un réparateur, quel qu’il soit, et son client automobiliste. Voilà comment s’articule la promesse en 4 étapes :

  1. Votre garagiste vous présente un devis de réparations. Vous contactez nos mécaniciens-experts, au 01 55 92 21 49, qui vous communiquent votre numéro de dossier.
  2. Vous prenez en photo ou vous scannez votre devis. Puis vous l’envoyez àtechnique@axa-assistance.com, ou par fax au 01 49 65 24 42, en précisant votre numéro de dossier. Votre demande est adressée immédiatement à un mécanicien qui étudiera votre devis sous 24 heures.
  3. Le mécanicien analyse votre devis. Il contacte votre garagiste afin de s’assurer que les réparations envisagées sont justifiées et conformes aux prix du marché. Si besoin, le mécanicien négocie votre devis à la baisse.
  4. Le mécanicien vous rappelle et vous informe de l’économie réalisée, le cas échéant.

On le voit, l’approche est sans grande ambiguïté : le réparateur est a priori suspect de surfacturer, surtout quand le texte est accompagné des images ci-dessus qui matérialisent un gain potentiel de 20% (facture de 1 000 € ramenée ainsi à 800 €). Avant même d’identifier l’offensive, c’est d’abord la brutalité de l’offense que les réparateurs vont prendre de plein fouet.

Bien sûr, AXA prend la précaution de préciser dans ses mentions légales que «les montants et réductions de ce document sont donnés à titre indicatif» et dans son texte d’accompagnement, que le mécanicien AXA n’obtient un meilleur prix que «le cas échéant».

Mais quand bien même : quel “automobiliste AXA” ne sera pas tenté d’utiliser cette prometteuse intermédiation, même avec “son” bon vieux réparateur en qui il avait jusque là toute confiance ? Que pensera-t-il et que dira-t-il autour de lui quand ce même réparateur habituel cédera à l’intervention d’AXA, ne serait-ce que d’une poignée d’euros, surtout si ce professionnel se sent par ailleurs tenu par une autre relation d’affaire avec l’assureur ? Les réparateurs concernés qui ont une double activité mécanique et carrosserie, à commencer par les RA1 et RA2, ne pourront évidemment pas ne pas au moins se poser la question. Et le consommateur ne se dira-t-il pas alors que le réparateur rappelé à l’ordre par le justicier AXA en a encore “sous le pied” ? Et que par extension, tous les réparateurs sont bien des voleurs heureusement démasqués par le merveilleux service de l’ami assureur…

Pas seulement pour les pannes…

La porte est grande ouverte sur la caricature stigmatisante. D’autant plus qu’Allo Mécano n’intervient pas dans le seul cas des pannes immobilisantes liées à une assistance déclenchée par l’assureur. Même si c’est ce que laisse entendre le site d’explication −il titre «Votre voiture est en panne et vous avez un devis de réparations ?». Car les automobilistes assurés chez AXA reçoivent actuellement le SMS suivant qui promet un champ d’intervention bien plus vaste :

«Quand votre véhicule nécessite des réparations (suite à panne, révision, contrôle technique…), avec le service Allo Mécano, faites appel à nos mécaniciens experts avant de vous engager. Ils analyseront et renégocieront si besoin le devis proposé par le garagiste.»

Sauf à de très rares exceptions près, la révision comme le contrôle technique n’ont rien d’un sinistre immobilisant justifiant un dépannage sous assistance. A eux seuls, ces deux motifs pèsent plus du tiers des entrées-atelier en France quand la panne pure et dure n’en représente que 5%. Sans oublier les trois petits points de suspension qui suivent cette énumération dans le SMS et encouragent un peu plus l’automobiliste à appeler Allo Mécano à l’occasion de tout devis de réparation. Surtout s’il n’a pas regardé, là encore, les discrètes mentions légales précisant que la prestation de l’ange gardien AXA ne s’applique pas «pour des réparations de carrosserie et/ou pneumatiques»(*).

Plus de doute : hormis le pneu donc, Allo Mécano peut et veut aussi superviser toute autre facturation mécanique.

Un succès annoncé

Le service Allo Mécano d’AXA aura-t-il du succès ? Probablement, puisqu’il est gratuit pour l’assuré et que l’entretien et la réparation d’une voiture sont toujours ressentis comme trop chers. Fera-t-il école auprès des autres compagnies et mutuelles ? Tout aussi probablement tant il est vrai que, depuis la possibilité qu’ont les consommateurs de résilier à tout moment leur contrat d’assurance grâce à la loi Hamon, tout service à valeur ajoutée pécuniaire est réputé stratégique car fidélisant. Maintenant que le parc stagne et que les parts de marché assurantiel ne peuvent progresser qu’au détriment des concurrents, les assureurs auront encore moins de raisons de laisser un tel avantage concurrentiel entre les seules mains d’AXA…

AXA a donc toutes les bonnes raisons de “pousser” ce service et ses concurrents assureurs, de le cloner. D’autant qu’il va aussi permettre, en passant, d’avoir une idée plus claire des besoins des automobilistes en réparation mécanique. Et du pouvoir de négociation des assureurs en ce domaine potentiellement porteur pour eux.

Si AXA maintient son service pour l’essentiel des interventions atelier et que les autres assureurs lui emboîtent le pas, l’onde de choc sera violente, en nombre de clients concernés comme en impact marché. AXA à lui seul revendiquait presque 4 millions de primes automobiles en portefeuille en 2010, dernière année où ces chiffres étaient accessibles. A la même époque, ses 4 principaux concurrents multipliaient alors le nombre de clients captifs par presque 4 : la Macif ajoutait 5 autres millions d’assurés auto, Groupama 4, la Maaf et la Maif chacun 3 millions. Ces seuls 19 millions d’automobilistes assurés par les seuls 5 premiers acteurs représentent plus de la moitié du parc VP roulant. Soit, arithmétiquement et une fois les pneus déduits, une petite moitié des quelque 38 millions d’entrées-atelier VP annuelles en entretien-réparation mécanique.

plus de 15 millions de devis par an sont donc susceptibles d’être demain, même en partie, « revisités » par des mécaniciens-experts assurantiels façon Allo Mécano. Le panier moyen de l’entrée-atelier en France va vite commencer à dévisser. On entend déjà les réseaux sociaux bruisser plus ou moins spontanément de témoignages encourageants du type : «grâce à mon assureur, j’ai fait baisser ma réparation de X%»…

Une arme anti-libre choix ?

Évidemment, on nous opposera que si un simple coup de fil suffit à faire baisser un devis de réparateur, c’est qu’il a tendance à abuser naturellement. C’est d’ailleurs là toute la malignité de l’offre. Mais ce serait alors mal connaître la vieille et efficace pratique du quasi-chantage de l’enchère inversée. Les assureurs ont bien rodé le concept dans la réparation-collision sur le thème du «si tu restes plus cher que ton voisin carrossier, c’est donc lui qui profitera à l’avenir de mes belles autos cassées qui te font pourtant vivre». Et comme Allo Mécano intervient dès le devis, une réorientation vers un pro plus conciliant est toujours envisageable.

D’accord encore, il y a le libre choix du réparateur qui interdit en théorie une telle pratique. Mais en théorie seulement. En cas de résistance du réparateur, l’assureur peut très bien décider de lancer, au nom de son client automobiliste et dans son environnement géographique, un véritable appel d’offres. Une vue de l’esprit ? En carrosserie, nos lecteurs le savent bien : c’est l’expert qui est maintenant sommé par l’assureur de faire des comparatifs tarifaires entre carrossiers en dépit du libre choix, au grand dam des fédérations professionnelles qui travaillent activement à contrer ce détournement de la loi Hamon. Un détournement initié par la Matmut début 2014 et largement copié depuis.

En mécanique, c’est encore plus simple à réaliser. Pas besoin de coûteuse plateforme de gestion de sinistres qui distribue le business aux moins-disants. Les comparateurs de devis en ligne sont matures en matière d’entretien-réparation, à commencer par le puissant Reparmax.com ou son concurrent prédécesseur, VA-France. Il suffira de les solliciter en juges de paix (en “marque blanche” ou même en toute transparence) pour ensuite laisser le consommateur choisir parmi les divers retours collectés. Eh oui : du coup, le libre choix sera (presque) respecté à la lettre…

C’est bel et bien parti

En attendant la très possible contagion et systématisation du service Allo Mécano, il s’annonce déjà en l’état comme un beau terrain d’expérimentation pour l’assureur. Ses “mécaniciens-experts” vont pouvoir “suggérer” de la pièce de réemploi, forts de la menace d’amende fraîchement issue de la loi sur la transition énergétique. Ou remettre en question le temps facturé sur la foi de quelque sous-traitant de bases de données de réparation dont AXA a sûrement dû s’assurer les zélés services. Ou plus simple encore, “comparer” avec les devis que l’assureur a pu obtenir par ailleurs auprès de carrossiers, dociles qu’ils sont par obligation : dans pléthore de ces chocs avant qui dominent les entrées-atelier en carrosserie, il y a de la pure mécanique à faire…

Cette fois, le doute n’est plus guère permis : les assureurs ont bel et bien l’intention d’investir le marché de l’entretien-réparation. Et s’ils s’y prennent d’aussi agressive et offensante manière, les fédérations professionnelles vont avoir du boulot. Il ne leur sera pas simple de trouver les mots justes qui feront comprendre aux consommateurs que ce superbe service d’AXA, immédiatement lucratif pour eux, n’est pas néfaste qu’au seul réparateur. Il le sera immanquablement pour l’automobiliste lui-même.

Pourquoi ? Parce qu’une généralisation d’Allo Mécano, en forçant les réparateurs à baisser leurs tarifs, les conduira de fait à réduire leurs budgets équipement et formation, les premiers sacrifiés en cas de disette. Et à moyen terme, ils « taperont » malgré eux dans la qualité de leurs réparations pour pouvoir survivre, comme c’est de plus en plus souvent le cas chez les carrossiers.

Mais ce n’est pas grave : AXA pourra toujours assurer la réparation de la réparation…

(*)Autres exclusions : le service est disponible pour les seuls contrats auto AXA avec garantie«Assistance au véhicule souscrite, sauf contrats Clic & Go, Assurance Véhicules de collection, Camping-cars et Caravanes».

 


La filière auto soutiendra aussi la croissance

C'est ce qui ressort de la dernière étude "France Secteurs" de la banque LCL. Une hausse de production significative est attendue dans les usines françaises et le marché de la pièce de rechange va continuer de progresser.

Pour LCL, cela ne fait aucun doute : l’industrie automobile participera aussi à la croissance du PIB attendue cette année en France, à savoir +1,2%. Dans sa dernière étude "France Secteurs", la banque estime que la production automobile française enregistrera une hausse de 5% sur 2015, avec 1,578 million de VP et de VU produits. "Nous anticipons une stabilisation de la production de PSA et une poursuite de la progression chez Renault dans l’usine de Sandouville", souligne LCL.

Et le marché de la pièce de rechange sera également un contributeur à la croissance du PIB ! Les ventes y sont en effet attendues en hausse de 3%. "Le solde commercial français de l’équipement d’automobiles continuera, lui, de reculer compte tenu de la mauvaise tenue de certains marchés émergents", relève ici LCL.


SOLUTRANS 2015 : le plein de conférences

Le salon des transports SOLUTRANS qui se tiendra du 17 au 21 novembre 2015 à Eurexpo (Lyon) proposera de nombreuses conférences par le biais de son Plateau TV.

Situé à l’entrée du salon, très exactement Place des Lumières, le Plateau TV proposera un large programme de conférences sur divers sujets tels que l’environnement, la maintenance, la formation, les évolutions techniques, les matières premières.

Sont d’ores et déjà prévues des conférences sur les thèmes suivants :
– Transport routier et urbain : comment recycler proprement son véhicule dans le respect de l’environnement ?
– De la standardisation aux véhicules spéciaux : cette évolution est-elle une solution à la crise ?
– Transfrigoroute France fête les 45 ans de l’Accord pour le Transport de Denrées Périssables.
– Les véhicules utilitaires en milieu urbain : un marché stratégique franco-allemand en plein essor.
– Formation et emploi : faut-il repenser et faire évoluer les métiers de la filière camion ?
– Qui doit prendre en charge la maintenance des véhicules routiers et urbains et sous quelle forme ?
– Transport : qui doit payer la fiscalité écologique : les transporteurs, les chargeurs ou les consommateurs ?
– Matières premières : perspectives, nouveaux procédés en cours de développement, caractéristiques et performances des matériaux, stratégies d’approvisionnement.


Nouveau directeur général chez BOYRIVEN

Olivier Simonnet a été nommé à la tête de la direction générale de Boyriven, équipementier spécialisé dans le véhicule industriel. A ce poste, il remplace Arnaud Siraudin. Ce dernier a choisi de s'orienter vers des projets plus personnels.

Le nouveau dirigeant est diplômé de Sup de Co et du Cedep. Au départ, il a effectué une grande partie de sa carrière en occupant différents postes de direction et en siégeant comme membre du Codir, chez l'un des leaders de l'industrie cosmétique... Par la suite, Olivier Simonnet change de direction. Il intègre le groupe Todd (spécialiste de la pièce détachée pour poids lourd), où il est nommé directeur général opérationnel. Ce sont ces compétences qui intéressent Boyriven. Son principal objectif va être de poursuivre le développement de la relation client et la qualité des services. Il remplace Arnaud Sirodin, qui a choisi de s'orienter vers des projets plus personnels.

 


Capture d’écran 2015-08-17 à 15.45.26.png

2 prix de l'innovation pour HARMAND & FILS !

La société HL Solutions a permis au carrossier constructeur Harmand & Fils d'obtenir deux prix de l'innovation pour le sytème "Cloison Mécanisée" : un prix INNOV'SPACE qui sera remis au salon SPACE à Rennes qui se déroule du 15 au 18 septembre prochain et un prix SOMMETS D'OR "lauréat machinisme" qui sera remis au salon du Sommet de l'Elevage qui se déroule à Clermont- Ferrand du 7 au 9 octobre.

Cette cloison mécanisée intérieure et déplacée à distance à l'aide d'un boîtier est un nouveau progrès dans la sécurité des opérateurs en transport d'animaux vivants. Le système présente plusieurs fonctionnalités : la mécanisation du déplacement de la ou des cloisons internes sur la longueur du véhicule ; la mécanisation de l'ouverture et fermeture de la porte sectionnelle embarquée sur la ou les cloisons mobiles mécanisées ; la centralisation des commandes des cloisons et des portes sur une commande radio portative.

Le chauffeur n'a plus besoin de rentrer à l'intérieur de la bétaillère. Il se trouve dans une situation totalement sécurisée, sans contact direct avec les animaux , tout en gardant une facilité de chargement, de déchargement et de triage des animaux qui sont aussi moins perturbés.

 

Pour plus d'info : www.harmand-carrosserie.com

 


P1030501.jpeg

Carrosserie Labonne : Une carrosserie en évolution permanente

Implantée dans l'agglomération Clermontoise depuis 1973, LaBonne Carrosserie a toujours mis un point d'honneur à utiliser les techniques de réparations les plus en pointes. C'est la seule entreprise du Puy de Dôme qui possède une arche de séchage infrarouge pilotée par ordinateur pour l'étuvage. "L'utilisation des ondes courtes garantie une qualité de travail inégalée : peinture sèche à coeur en sortie de cabine, contrairement à un étuvage classique. Et n'oublions pas l'aspect écologique, un tel appareil n'utilise pas d'énergie fossile et garantie une meilleure maîtrise du poste énergétique", explique Benjamin Labonne, son dirigeant. Consciente également de l'importance de faire évoluer les comptences en interne, l'entreprise met régulièrement en place des plans de formations afin que les opérateurs soient formés au dernières techniques de pistolage et de réparation de matériaux composites et plastiques.
LaBonne Carrosserie sait aussi se diversifier. Outre les véhicules roulants... les salariés travaillent également sur des véhicules navigants ! "En Auvergne, nous n'avons pas la mer mais nous réparons des bateaux, scooter des mers et autres jet-ski !", ajoute Benjamin Labonne. "Les compétences techniques sont les mêmes avec des différences de mise en oeuvre. Une équipe réactive nous permet de nous confronter à ce genre de chantiers en toute sérénité !"


Partenariat avec les carrossiers autour de l'Unimog

Mercedes-Benz annonce la mise en place d'un partenariat avec les carrossiers autour de son fameux porte-outils, l'Unimog. Les industriels impliqués y sont organisés en deux niveaux, en fonction de leur réponse aux exigences du constructeur. Le partenaire de base bénéficie du statut « UnimogPartner par Mercedes », tandis que celui de « Unimog ExpertPartner » est réservé à ceux qui peuvent répondre à un certain nombre de critères dans les domaines de la vente, des services, de la qualité et de la technologie. Outre les avantages d'une coopération accrue avec Mercedes, ces certifications peuvent être mises en avant au travers de la communication des entreprises concernées.

Les trois premiers « Unimog ExpertPartner » ont été officiellement intronisés à l'occasion de la dernière édition d'Interschutz (salon dédiés à la lutte contre les incendies et aux secours). 13 autres carrossiers allemands ont adopté le même partenariat à l'occasion de Demopark (dédié aux paysagistes). Ce partenariat intéressera-t-il certains Français, parmi les 270 carrossiers équipant des Unimog à travers le monde ? Ceux-ci peuvent d'ores et déjà s'inscrire sur le portail qui leur est dédié, sur le site du groupe, afin d'être évalués


LECAPITAINE augmente ses capacités

Lecapitaine est une carrosserie industrielle créée en 1936 à Saint-Lô (Manche). A l’origine, elle produisait des bétaillères puis des carrosseries isothermes. Son rachat par le loueur, spécialiste du transport réfrigéré, Petit-Forestier en 2000 lui donne rapidement une autre dimension. Dès 2003, l’entreprise s’installe sur un nouveau site développant aujourd’hui 40 000 m² de bâtiments industriels. Poussée par le dynamisme de Petit-Forestier, la production n’a cessé de progresser passant de 2600 véhicules en 2009 à 4600 aujourd’hui avec 425 salariés.

L’entreprise l’avait annoncé, dans son plan de développement, son souhait de recruter 200 personnes entre 2001 et 2015. De ce fait, 40 embauches en CDI sont planifiées en 2015. « Nous recrutons pour tous les maillons de la chaîne : fraiseur, carrossier frigorifique, peintre automobile, menuisier, monteur, mécanicien, métallier, soudeur, manageur… » expliquait récemment François Jacqueline, directeur général de Lecapitaine à notre confrère Ouest-France.

L’entreprise devrait réaliser cette année un chiffre d’affaires de 70 millions d’euros. Les commandes ne proviennent pas seulement de l’actionnaire. Ainsi, au début de cette année, le carrossier avait livré une belle commande au britannique Brake. « Nous avons réalisé, en 2014, un chiffre d’affaires de 65 millions d’euros pour 4 026 caisses produites » annonçait François Jacqueline en fin d’année dernière ». Cela représentait une augmentation de 5,8 % du chiffre d’affaires par rapport à 2013, et de 15,5 % pour le volume de production. La production devrait encore progresser cette année.

Lecapitaine est adossé à un groupe puissant en constant développement. Petit-Forestier. Créée en 1907 par Zéphirin Forestier, l’entreprise avait commencé par transporter des animaux vivants, puis de la viande pendue. C’est à la fin des années 60, en précurseur, que Jean Forestier se lance dans la location de camions frigorifiques sans chauffeur. Fin stratège, l’entrepreneur achète des fournisseurs. Ce sera Lecapitaine puis les groupes frigorifiques Relec Froid et Pro-System Group, qui permet d’élargir l’offre aux meubles frigorifiques.

Présent en France, en Espagne, au Portugal, au Royaume-Uni, en Irlande, en Italie, en Belgique, au Luxembourg, aux Pays-Bas, en Suisse, en Pologne et au Maroc, l’entreprise emploie 2500 salariés, exploite 40663 véhicules et 1330 conteneurs dans 215 sites pour un chiffre d’affaires 2014 de 523 M€.