POMMIER rend les butoirs mobiles

Dans le cadre du développement de sa gamme de produits « Dock Equipement », le spécialiste de la carrosserie industrielle complète son offre de produits avec une nouvelle génération de butoirs de quai mobiles.

Le Butdock 110 mobile est un butoir de quai à absorption d’énergie, sans équivalence sur le marché, doté d’un système unique de suivi de montée et descente du véhicule grâce à une course de 100 millimètres. Ce nouveau butoir suit donc en permanence les variations de hauteur des véhicules. Il reprend une partie de l’architecture du modèle fixe Butdock 90 avec une conception en acier galvanisé et l’intégration de ressorts de compression à l’intérieur du butoir pour amortir les chocs des véhicules.

Enfin, avec son très faible encombrement, sa simplicité d’installation et sa capacité d’adaptation à tous les types de quai (neufs comme endommagés) grâce à plusieurs rehausses, cette dernière gamme de butoirs mobiles trouvera naturellement sa place dans les différents points de stockage de marchandises (entrepôts, points de ventes, plates-formes logistiques…).


Un appui de qualité chez JOST

Une fois n’est pas coutume, Jost qui habitue ses clients professionnels depuis de nombreuses années à des produits à la sophistication grandissante intègre à son catalogue une béquille réduite à sa plus simple expression.

La béquille, ou plutôt l’« appui à cliq – FS 075 », est dédiée aux véhicules d’un poids réduit et dont la remorque est rarement dételée. Fabriqué en acier robuste et ne nécessitant aucun entretien, cet équipement basique qui autorise, tout de même, une capacité de charge statique de 20 tonnes par côté correspond à une demande spécifique du marché. L’appui FS 075 est réglable sur une course de 200 millimètres par pas de 50 millimètres, et le verrouillage sur les cinq hauteurs possibles est effectué manuellement, par une simple broche sécurisée.

Cet équipement simplissime commercialisé avec patin T ou patin compensateur est disponible en plusieurs hauteurs de base pour couvrir le plus d’applications possibles.


La Fédération Française de Carrosserie lance une hotline d'aide à la gestion d'entreprise

La Fédération Française de la Carrosserie annonce avoir mis en place depuis quelques semaines le service FFC Experts, une aide exclusivement dédié aux adhérents du syndicat. Animée par une équipe d’experts, la plate-forme téléphonique a pour objectif d’apporter de précieux conseils dans le domaine du juridique, social, fiscal, comptable et notarial. Elle s’engage à apporter une réponse personnalisée sous 48 heures. Les demandes peuvent aussi s’effectuer par email.

« Depuis son entrée en vigueur, plusieurs dizaines de questions ont déjà été traitées par les experts et les premiers retours des carrossiers sont très positifs » rapporte le syndicat.


La FFC propose une expertise extra-professionnelle à ses adhérents

Depuis le début de l’année 2016, la FFC a mis à disposition de ses membres une plateforme multiexperts répondant à des questions aussi bien juridiques que financières.


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SAE SMB présente ses essieux à la Bauma

Les conditions extrêmes sur les chantiers de construction imposent des essieux particuliers pour les véhicules ! C'est la raison pour laquelle SAE SMB expose ses équipements à la Bauma. Parmi eux, on note des essieux suiveurs, oscillants, dédiés aux transports ADR, etc. Le fabricant d'essieux ardennais participe ainsi à l'un des plus importants salons du monde dans les domaines de la construction, des mines et carrières (à Munich, du 11 au 17 avril). NG


Une ligne téléphonique pour épauler les adhérents de la FFC

Membre de la Fédération française de carrosserie, j'ai besoin d'un conseil comptable, fiscal, juridique ou social ?... Désormais, « Marie et ses experts » y répond. Les adhérents de la FFC peuvent désormais appeler le 0 147 147 627 de 9h30 à 12h30 et de 14h00 à 18h00. Ils peuvent aussi envoyer leur questions par mail à : marie@ff c-carrosserie.org. Dans tous les cas, FFC Experts leur enverra une réponse personnalisée dans les 48 h.

C'est au début de l'année, que la FFC a mis en place cette plateforme d'experts pour répondre aux questions de ses adhérents des trois branches (constructeurs, équipementiers et réparateurs). Cette assistance porte sur les questions des professionnels dans les domaines notarial (droit de la famille, transmission d'immeubles...), fiscal et comptable (tenue et révision comptable, évaluation de l'entreprise, conseil fiscal pour l'entreprise et son dirigeant...), juridique (droit du travail, contrats, droit de la responsabilité, droit de la fiscalité de l'entreprise...) et social (conseil et assistance en matière sociale, assistance aux entreprises en difficulté, protection sociale et patrimoniale...). A coté de ces services, les interlocuteurs habituels de la FFC restent aussi à la disposition de ses adhérents.


Réparateurs : connaissez-vous vos équipementiers ?

La fidélisation du garagiste passe toujours par le distributeur. Mais les équipementiers multiplient les formules pour se rapprocher du client-réparateur. Tendance au retour sur le terrain. Qu’attendent les réparateurs de leurs partenaires ? Pour répondre à leurs nouvelles attentes, les fournisseurs ont dû recalibrer leur modèle. « Ne proposer que du marketing n’est plus suffisant », analyse Vincent Olivier, patron du cabinet Startengo. Et les réparateurs, de plus en plus gestionnaires, sont devenus pragmatiques : jouer le jeu, oui, mais à condition d’avoir des réponses concrètes à leurs problèmes au quotidien. « La fidélisation, c’est le contrat de confiance avec comme premier pilier la disponibilité de la pièce et le bon rapport qualité/prix. » « Le premier critère pour fidéliser le réparateur est la qualité du service, l’approvisionnement, mais aussi la simplification des procédures de commandes. Vient ensuite l’aspect économique avec les conditions et remises de fin d’année qui peuvent aller jusqu’à 15 % de la marge globale », remarque Vincent Congnet, directeur des réseaux de réparateurs VL de Groupauto, qui annonce un taux de fidélisation des enseignes à leur distributeur de 35 à 40 % avec un objectif de monter à 50 %. Approche confirmée par Hacine Chebli, Top Garage en Ille-et-Vilaine : « Nous avons un intérêt financier à être fidèle. Si nous achetons ailleurs, c’est faute de disponibilité chez notre distributeur. » 
 
La fidélité est payante 
Et c’est bien à son distributeur, qu’il considère comme son partenaire-fournisseur, que le réparateur estime avoir intérêt à être fidèle. Pour Vincent Olivier, le premier axe de fidélisation est « le plaisir », qui passe d’abord par des critères objectifs de simplification – « La fidélité me facilite la vie », confirme H. Chebli. Mais il passe aussi par des notions plus festives. « La présence de nos forces commerciales (400 commerciaux Alliance Automotive Group sur les routes) mais aussi les cadeaux, incentives-voyages, permettent de créer du lien, et c’est fondamental pour instaurer un vrai climat de confiance », insiste V. Congnet.
 
Une présence terrain indispensable
Reste que le commercial du distributeur ne peut pas être expert en tout… D’où un retour dans les garages des fournisseurs et équipementiers. Objectif : retrouver l’oreille du garagiste pour pousser sa marque. « Nous sommes touchés lorsque les équipes des équipementiers viennent chez nous. Je préfère qu’ils viennent me voir plutôt qu’ils surchargent ma boîte mail ! », raconte David Gavaini, AD Expert dans le Loiret, qui a reçu la visite des MIC Boys de Tenneco lors du roadshow de 2014. Mais « si on mobilise du temps au réparateur, il faut avoir un discours constructif » et déboucher idéalement sur un business pour lui. Le cadeau est également apprécié par le terrain comme une reconnaissance de leur engagement. « Nous privilégions la commande de pièces Bosch pour cumuler des points dans le cadre du programme Extra et avoir accès aux cadeaux de la plateforme. Mais la qualité de la pièce passe tout de même en premier », raconte Séverine Blaisius, Bosch Car Service dans le Val-d’Oise.
Caroline Ridet et Muriel Blancheton
 
  • 15 % C’est le niveau de RFA par rapport au CA d’achat PR qui peut être atteint pour les plus fidèles.
  • 50 % de documentation technique provient des grossistes MRA sans enseigne, un peu plus pour ceux avec enseigne.
  • 60 % des MRA ne vont jamais sur les sites des équipementiers pour s’informer.
  • 10 C’est le quotient multiplicateur du coût de l’acquisition d’un nouveau client par rapport à la fidélisation.

Equipementiers : il faut recréer du lien sur le terrain

Face aux groupements « qui ont fait un gros travail avec leurs enseignes pour développer des atouts à même de capter leur intérêt », remarque Roland Mensa, directeur marketing TRW France, les équipementiers sont un peu sortis des radars. Ils retrouvent donc depuis deux ans le chemin des ateliers « pour se faire connaître, voire redécouvrir » par le MRA. « Le besoin de proximité va dans les deux sens. Les réparateurs ont besoin d’une présence pour les accompagner commercialement et techniquement, et nous de remontées terrain », assure Jean-Claude Roques, DG de Valeo Service, n°1 de la présence terrain avec 27 commerciaux auxquels s’ajoutent 5 promoteurs techniques sur les routes, « car le marché évolue. Les véhicules nécessitent de plus en plus d’explications techniques », poursuit-il.
 
Personnaliser les relations
Même logique chez bilstein group France qui a doublé l’animation terrain avec deux animateurs supplémentaires et un référant technique qui assure le relais entre le distributeur et le réparateur. « Nous devons être présents et nos outils d’identification servent à ce que notre marque devienne un réflexe. » Chez Schaeffler, le terrain a toujours été une religion, avec 10 promoteurs techniques sur le terrain toute l’année qui visitent en moyenne 1 000 garages par an. Et c’est sans compter les soirées techniques, soit 1 500 garages supplémentaires, toujours avec le distributeur. « Donner de la matière technique au réparateur crée de la fidélité entre le garage et son distributeur pour sécuriser les volumes et resserrer notre lien avec ce dernier. »
L’étape suivante est clairement identifiée : pousser plus loin vers la personnalisation de la relation. « Nous travaillons actuellement sur une offre affinée correspondant au comportement de chacun des inscrits à notre programme de fidélisation Extra », explique Caroline Ugarte, responsable marketing du programme de Bosch. Nécessaire pour que ces lourds investissements soient réellement un argument fort de différenciation.

Fidélisation : demandez le programme !

Qu’ils s’appellent First Class (2007), Automotive Diamonds (2011) ou Extra (2011), les programmes de fidélité servent de trait d’union avec le réparateur. Au cœur de ces clubs d’équipementiers qui invitent les réparateurs : des points acquis par le MRA selon son volume d’achat chez les fournisseurs avec à la clé des cadeaux attractifs (équipements d’atelier, loisirs, voyages…). Et cette formule simple est un succès. Ainsi, First Class (rassemblant NGK, NTN-SNR, Exide, Mann-Filter et Philips Automotive) annonce 4000 adhérents, Diamonds (TRW, Gates, Philips Automotive et Sogefi) 2 300 pros et enfin l’Extra de Bosch (Michelin et Shell) fait carton plein avec 7 500 inscrits, « soit un réparateur sur deux », précise Caroline Ugarte, responsable marketing du programme Bosch. « Le programme est la pierre angulaire de notre stratégie de fidélisation. Il nous permet d’établir une relation de fond avec les réparateurs. Plus qu’un programme de fidélisation, Extra est un programme relationnel qui crée du lien grâce aux animations mais aussi à la hotline », explique-t-elle.
Caroline Ridet et Muriel Blancheton
 
INFOS TECHNIQUES
Le Web s’impose
Si le papier reste un support utilisé par plus de la moitié des garagistes, 9 sur 10 ont adopté les bases de données techniques en ligne. Et ce sont les outils fournis par les distributeurs qui sont très majoritairement plébiscités par les réparateurs. En revanche, 3 réparateurs sur 5 (RA1, RA2 et MRA) boudent très largement les sites des équipementiers, plutôt utilisés par les équipes des centres autos. D’où l’importance pour les industriels de multiplier les opérations pour pousser ces outils qu’ils ont largement enrichis.

Le prochain SOLUTRANS élira l' "Homme de la filière 2017"

Malgré la crise, l'édition 2015 de Solutrans a vu sa fréquentation augmenter de 3 % par rapport à l'édition 2013, bien que deux constructeurs aient été absents : Volvo Trucks et Renault Trucks, la défection de ce dernier ayant été particulièrement regrettée. Solutrans 2017 (14e édition) se tiendra du 21 au 25 novembre 2017, à Lyon Eurexpo comme c'est dorénavant l'habitude. Une nouveauté est annoncée par l'organisateur, la FCC : le prix « Véhicules industriels et urbains, l'Homme de la filière 2017 ». Cela devrait largement compenser le fait que l'année prochaine, Solutrans a de grandes chances de ne pas être choisi comme cadre pour la remise des trophées.