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Le marché européen des VUL neufs en hausse de 10,3 %

Le marché européen du VUL neuf (moins 3,5 T) poursuit sa croissance en ce début d’année avec une nouvelle progression de 10,3% des immatriculations à 134 411 unités. 

Après avoir progressé de plus de 12% en 2015, le marché européen du VUL (moins de 3,5T) est à nouveau en hausse en janvier 2016. Sur un périmètre de 30 pays (UE des 28, hors Malte, avec l’Islande, la Norvège et la Suisse), les immatriculations ont progressé de 10,3%, avec 134 411 unités (soit 12 600 de plus qu’en janvier 2015).

Le Royaume-Uni moins dynamique
Parmi les cinq premiers marchés, le Royaume-Uni est le moins dynamique avec un volume en baisse de 4,3% (21 102 unités). La France reste le premier marché du VUL en Europe, avec une progression de 12,3%, à 27 962 unités. L’Allemagne, troisième marché, affiche une croissance de 11,8% (26 969 unités). L’Italie et l’Espagne enregistrent une progression de 28,8% pour le premier et 17,1% pour le second. 

Le VI et le VU en forte hausse
Le marché européen du VU (plus de 3,5 T) affiche une très forte hausse de 18,7% avec 27 517 unités. Sur le segment, la France et l’Allemagne restent en retrait par rapport à la moyenne du marché, avec une progression respective de 11,4% et 8,6%. Le Royaume-Uni, troisième marché, affiche pour sa part une forte croissance de 31,1%, à 3 055 unités. 
Le marché des véhicules industriels (plus de 16 tonnes) confirme son dynamisme de 2015, avec un gain de 18,2%, à 22 622 unités en janvier. Le marché leader, l’Allemagne enregistre une hausse en deçà de la moyenne du marché de 12,6%. Même constat pour la France, deuxième marché, avec un volume de 3 093 unités, soit une progression de 10,8% en janvier. C’est de nouveau le Royaume-Uni (+33%, 2 307 unités) et l’Espagne (+40%, à 1 949 unités) qui sont les plus dynamiques dans cette catégorie pour ce premier mois de l’année 2016. Enfin, les Pays-Bas (+23%, à 1 463 unités) et la Pologne (+34,3%, à 1 328 unités) devancent l’Italie qui est en retrait de 1,3%, avec 1 173 unités.


EQUIP AUTO : bilan détaillé et perspectives 2017

En même temps qu'il annonce très en avance les dates et les thèmes majeurs de sa prochaine édition 2017, Equip Auto publie les chiffres détaillés ?et encourageants? de son dernier millésime...


Profession Carrossier revient !

Le magazine des carrossiers réparateurs, "Profession Carrossier", est de retour avec une nouvelle formule.

Le trimestriel gratuit, créé en février 1995 par Jean Graudens, qui en reste le rédacteur en chef, se destine exclusivement aux professions de la filière carrosserie, et aborde, dans chacune de ses éditions, des sujets techniques et des expériences. Le tout, relayé par une version numérique accessible sur www.profession-carrossier.com et une newsletter hebdomadaire.

Dans ce premier numéro, C'est Patrick Nardou, président de la FFC Réparateurs, qui s'exprime sur les enjeux de la profession et de son mandat. Au plan technique, on retrouve un large rappel des technologies de rivetage-collage, qui constituent des défis pour les professionnels de terrain. Sans oublier des reportages, ainsi qu'un vaste tableau de bord regroupant les chiffres du métier. 


Patrick Nardou, réélu Président de la FFC Réparateurs

Patrick Nardou (60 ans) est renouvelé à la fonction de président de la FFC Réparateurs et vice-président de la FFC pour les trois prochaines années. Il avait succédé fin 2012 à Jean Ravier qui était resté 9 ans président.


Tableau de bord carrosserie

Cette étude est la deuxième du nom. Accessible gratuitement pour tous les adhérents de la FFC, il a été décidé d'en accorder des extraits à l'ensemble des professionnels de la carrosserie à travers la presse spécialisée qui continuera à la recevoir et à vous la communiquer trimestriellement.


Les Compagnons du devoir ouvrent leurs portes

Depuis ce matin et jusqu'au 24 janvier prochain, les Compagnons du Devoir organisent leurs journées portes ouvertes à travers toutes la France - à l'exception de Strasbourg (où ces journées se dérouleront du 29 au 31 janvier). Leurs maisons sont ouvertes de 9 h 30 à 18 h. Une occasion pour toutes les personnes intéressées - à commencer par les collégiens, lycéens et étudiants - de découvrir cet organisme d'apprentissage. Souvenons-nous que les Compagnons du Devoir forment chaque année 10 000 apprentis, dans six filières professionnelles (industrie et métallurgie, métiers du vivant, métiers du goût, aménagement et finition, bâtiment et matériaux souples), parmi lesquelles on trouve la carrosserie (réparation et industrielle).


La formation, on a tout à y gagner

Toute entreprise a des problématiques plus ou moins importantes selon sa taille, son secteur d’activité, son développement. La formation, inscrite dans une démarche globale, peut constituer une réponse.
Au fil des années, les concepts économiques et sociétaux ont évolué. Les attentes des salariés ne sont plus les mêmes, tout comme leurs conditions de travail. L’arrivée du numérique, les attentes clients plus grandes, une augmentation exponentielle du nombre de commandes… tout cela implique des changements qui ne sont pas toujours évidents à mettre en place.

Clarification du projet RH, diagnostic des activités, cartographie des emplois, évaluation des compétences, accompagnement… la GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des compétences) permet une meilleure visibilité des ressources présentes dans l’entreprise. Sans oublier la formation qui, en consolidant ou en développant les compétences des salariés, facilite leur adaptabilité et leur mobilité. Cependant, elle doit impérativement apporter une réelle plus value à l’entreprise en termes de qualité de prestation, d’organisation des activités ou de compétitivité. Se former « pour le principe » n’a que peu d’intérêt. L’émergence des formations certifiantes renforce cet aspect-là. Elle témoigne du double intérêt pour l’employeur et l’employé en permettant, au premier, de déployer sa stratégie et, au second, de s’inscrire dans un projet professionnel pérenne.

Le GNFA vous accompagne au quotidien, pour résoudre avec vous vos problématiques. En préconisant des changements et en mettant en place un plan de formation permettant un rebond.

Notre calendrier de formations pour l’année 2016 et en ligne sur notre site.


A priori, pas de prolongation de la mesure sur le suramortissement

La mesure sur le suramortissement, qui permet d’amortir les biens d’investissement productif à hauteur de 140% de leur valeur, ne sera pas prolongée, nous indique le service de presse du cabinet de Michel Sapin, ministre des Finances. Cette mesure, prévue sur un an, concerne les investissements réalisés entre le 15 avril 2015 et 14 avril 2016. A voir dans les prochaines semaines si cela peut évoluer … ou pas?!


Les constructeurs anticipent une nouvelle hausse du marché poids lourds en 2016

Le marché français du véhicule de plus de 5 tonnes a repris un peu de vigueur en 2015 et progressé de 11,1 % avec 41 722 immatriculations. Plus optimistes que l'Observatoire du Véhicule Industriel (OVI) qui table sur une stagnation des ventes cette année, les constructeurs estiment que cette tendance devrait se poursuivre en 2016. Se fondant sur les prévisions du Bipe, ils tablent sur un marché annuel de l'ordre de 44 000 unités.
Cette production devrait être la conséquence de la hausse des besoins de transport dans un contexte économique favorable à l'augmentation de la production industrielle, a expliqué le Bipe lors d'une conférence organisée par la Csiam.
A 44 000 unités, le marché du véhicule industriel serait toutefois encore très loin de son niveau d’avant-crise lorsqu’il s’immatriculait en moyenne 53 000 unités par an (entre 1999 et 2008). " Nous devons nous attendre désormais à ce que le marché soit évalué à son niveau normal à 45 000 unités ", a souligné Thierry Archambault, président délégué de la Csiam. " Par aileurs, en 2015, il s'est immatriculé 60 % de tracteurs. Il s'agit d'une nouvelle configuration du marché qui devrait se pérenniser car elle traduit la volonté des transporteurs d'avoir une plus grande flexibilité telle que le leur permettent les tracteurs ", a-t-il ajouté. 


Les tracteurs prennent définitivement le pas sur les porteurs en 2015

Les chiffres du Csiam (Chambre syndicale internationale de l'automobile et du motocycle) publiés ce matin confirment l'évolution des parts de marché entre le segment des porteurs et celui des tracteurs. Elle change profondément, pour s'établir à près de 60 % en faveur des tracteurs. Ce nouvel équilibre est considérée comme durable par le Csiam. Elle s'expliquerait par une recherche de plus grande flexibilité, dans l'utilisation des parcs des entreprises de transports. Par ailleurs, la dégradation des secteurs du BTP a handicapé le segment des porteurs en 2015... Cette tendance a été nettement ressentie par les carrossiers spécialisés dans l'aménagement de porteurs. Elle impacte aussi la filière de la maintenance, ce dernier type de véhicule ayant une durée de vie plus longue que les tracteurs, impliquant davantage de réparations et d'opérations de contrôles.

Pour 2016, le Csiam prévoit d'atteindre environ 43 000 VI immatriculés (principalement des tracteurs). Elle espère une reprise des marchés du BTP et de la voirie (de l'ordre de +4 % à +6 %). Toutefois, si ces secteurs auraient atteint le creux de la vague l'année dernière (d'après leurs estimations), il faut garder à l'esprit qu'ils ne seront aidés ni par l'approche des élections, ni par les réorganisations territoriales