Matières premières, ce qu'il faut savoir

Les carrossiers et les équipementiers doivent répondre à un triple défi : économique, technologique et environnemental. La sécurité et le développement durable dictent leur choix de matières premières. SOLUTRANS y consacre une table ronde où des sujets seront abordés pour la première fois. Le point avec Patrick Cholton, président de la FFC et de SOLUTRANS.


À découvrir, le nouveau magazine Camions Actus

Editeur et rédacteur en chef du magazine Tous les camions, Loïc Fieux a choisi de le scinder en deux nouveaux titres : Camions Actus et Camions historiques. Le premier est disponible depuis le 27 octobre, le second sera en kiosque fin décembre. Camions Actus se singularise par la priorité qu’il accorde sans détour aux véhicules. Il s’adresse aux professionnels passionnés et leur apporte une information technique de qualité à propos des nouveaux camions et véhicules utilitaires.

Dans les pages de Camions Actus, la belle image est reine. Loïc Fieux est également photographe.  » Un camion, c’est gros. Alors autant lui donner toute la place qu’il mérite ! Camions Actus n’hésite donc pas à privilégier des photos en grand format puisque ses sujets le méritent !  » explique l’éditeur.

 

Dans Camions Actus N°1, le lecteur trouvera notamment un reportage grandiose sur le transport routier de l’Airbus A380 dont les tracteurs extra-lourds ont été récemment renouvelés. Toujours dans la démesure, le Ginaf HD5395TS vous prouve qu’un camion de 25 t peut en porter 70.

Les nouveaux moteurs et les transmissions pour usages sévères ne sont pas oubliés et font l’objet d’essais. « En tout, une quinzaine d’articles majeurs font déjà de Camions Actus n°1 un magazine taillé sur mesures pour les passionnés. » assure Loïc Fieux enthousiaste.

 

Avec votre code postal, trouvez le marchand de journaux qui a Camions Actus près de chez vous grâce à :

http://web2store.mlp.fr/produit.aspx?edi_code=sW0d0ypieh0%3d&tit_code=rEEJYnmxdP4%3d

Pour vous abonner ou commander le magazine :

http://www.boutique-lfm.com/magazine-camions-actus-c102x2823598


PFA_logo_couleur.jpeg

La PFA planche sur la compétitivité des PME

La Plateforme de la filière automobile (PFA) met en route son cinquième programme baptisé Usine du futur. Objectif : améliorer la compétitivité de plus de 1 000 PME et ETI de la filière automobile.
Dans le cadre de ses grands programmes, la Plateforme de la filière automobile (PFA), en partenariat avec FIM Auto, groupement de marché, et Galia (Groupement pour l’amélioration des liaisons dans l’industrie automobile), lance son cinquième chantier portant sur l’usine du futur.

Ce programme prévoit l’accompagnement de plus de 1 000 PME et ETI en quatre ans avec, à la clé, un double objectif : donner à la filière et sa supply-chain une position de pionnier aussi bien en termes de technologies que de fonctionnement mais aussi, offrir la possibilité pour les sites en retard dans la course à la performance de combler leurs lacunes.

C’est donc bien la compétitivité qui est donc au cœur de ce cinquième programme qui impliquera également les ARIA, pôle de compétitivité automobile, mais aussi les fédérations métiers. Pour mener à bien ses actions, Jean-Luc Jacquot, directeur compétitivité de la PFA a été nommé directeur de ce programme.

Un travail contributif au plan Nouvelle France industrielle

Le fruit de cette collaboration sera également partagé au sein de l’Alliance pour l’industrie du futur (AIF), association créée par la ministre de l’Économie, Emmanuel Macron. Elle se donne pour ambition, dans le cadre du plan industriel baptisé Nouvelle France industrielle, d’accompagner les entreprises françaises dans la modernisation de leur outil industriel, dans la transformation de leur organisation et de leur modèle d’affaire par le numérique.

Pour mémoire, les industriels de l’automobile ont en effet soutenu la participation à l’AIF de la PFA, laquelle est devenue membre au 1er octobre 2015.


Affiche Solutrans 2015.jpeg

SOLUTRANS sous le signe de l'embellie

Le TRM est-il en train de reprendre des couleurs ? En effet quelques voyants repassent au vert. Dans la carrosserie en particulier on y croit. Pour la majorité des acteurs du secteur, 2015 est incontestablement l’année de la reprise. Certes, le caractère innovant de bien des produits n’est pas étranger à cette embellie, mais il semblerait que l’activité, en légère hausse, tire la consommation vers le haut. Schmitz, Fruehauf ou encore Fliegl parlent de chiffres d’affaires en progression de 20 % et parfois même de leur doublement. En transport frigorifique idem. Chez Lamberet par exemple, on ambitionne en 2015 de réaliser 16 % de croissance supplémentaire. Quant à l’exercice 2016, il pourrait, pour chacun des prestataires, se traduire par une nette amélioration de leur CA puisque leurs carnets de commandes se remplissent à la vitesse grand V. Autre signe avant-coureur de la reprise, le trafic PL en nette hausse sur les autoroutes. Le redémarrage autoroutier de 2014 se confirme. Sur le premier semestre 2015, les concessionnaires affichent une hausse moyenne du trafic de l’ordre de 2,4 %. Côté emploi on observe également quelques frémissements. C’est ce qu’affirme Vincent Girma, président de l’agence intérim RAS, qui, depuis début septembre, constate une accélération de + 6 % à + 7 % dans l’emploi des intérimaires. Les statistiques publiées par le Service de l’Observation et des Statistiques (SOeS) corroboreraient la tendance. Notamment durant le deuxième trimestre 2015, puisque l’activité de TRM des véhicules immatriculés en France, mesurée en tonnes-kilométriques, se redresse de 4,3%. Certes, il faut pondérer ces statistiques. Cette reprise fait suite à une chute de 7,8 % au premier trimestre 2015, qui avait conduit l’activité à son point le plus bas des années 2000. Néanmoins, même faible, il faut admettre que la reprise se matérialise. En témoigne l’excellente forme du marché des immatriculations VI de + de 5 t qui enregistrent une augmentation de 9,6 % sur les neuf premiers mois de l’année par rapport à la même période de 2014. Cette croissance devrait même s’accentuer en 2016. Solutrans, et c’est une bonne nouvelle, s’ouvrira donc sous le signe de l’embellie.


Entretien professionnel : bien plus qu'une obligation

Comme chaque fin d’année, la période des entretiens d’évaluation commence dans de nombreuses entreprises. Cette année, s’ajoute l’entretien professionnel inscrit au code du travail et donc rendu obligatoire par la réforme de la formation professionnelle. Il s’adresse à tous les salariés, quels que soit le contrat de travail et la taille de l’entreprise.
Renforcer le dialogue social entre l’employeur et ses salariés, permettre à chaque collaborateur de développer ses compétences, concevoir ensemble des projets communs pour l’entreprise… sont autant d’objectifs à atteindre. Instaurés par la loi du 5 mars 2014, les deux entretiens professionnels doivent être différenciés :
Tous les deux ans : le salarié et l’employeur doivent définir conjointement l’évolution professionnelle envisageable en termes de qualification et d’emploi.
Tous les six ans : un état des lieux récapitulatif du parcours du salarié doit être réalisé afin de vérifier s’il a suivi au moins une action de formation, acquis des éléments de certification par la formation ou par une validation des acquis de son expérience, bénéficié d’une progression salariale ou professionnelle.
Dans les entreprises de plus de 50 salariés, si, au cours de ces six années, deux de ces trois critères ne sont pas respectés, le compte personnel de formation du salarié devra alors être abondé par l’employeur d’un crédit de 100 heures supplémentaires s’il travaille à temps plein et de 130 heures s’il travaille à temps partiel.
De plus, une sanction financière de 30 euros de l’heure sera appliquée à l’entreprise. Elle devra alors verser à l’OPCA 3 000 euros pour un plein temps et 3 900 euros pour un temps partiel. L’entreprise se voit donc contrainte à une obligation de résultat et non de moyens.
Mais en dehors de toutes obligations légales, cet entretien professionnel peut être un vrai atout pour l’employeur comme pour le collaborateur. En identifiant clairement les perspectives d’évolution de chacun mais aussi les besoins de l’entreprise, il favorise une démarche de gestion prévisionnelle de l’emploi et des compétences, bénéfique pour tous.
Cependant, mener un entretien n’est pas forcément intuitif. Il est important de bien le préparer. Apprendre à clarifier les enjeux, à différencier entretien d’évaluation et entretien professionnel, à structurer sa pensée, savoir décoder les attitudes et réussir à enlever certains blocages… Autant de points qui nécessitent souvent un besoin en formation.
Pour vous accompagner le GNFA a mis en place un stage d’une journée. Des dates sont prévus prochainement partout en France. N’hésitez pas à contacter le service relation clientèle au 0 971 010 211.


Olympiades des Métiers : ça repart !

La nouvelle édition des WorldSkills Competition, ou "Olympiades des Métiers" est lancée. Les jeunes gens de moins de 23 ans peuvent s'inscrire.


Affiche Solutrans 2015.jpeg

Lancement du journal TV de SOLUTRANS avec France Routes

Pour la première fois, le salon SOLUTRANS qui se tient cette année du 17 au 21 novembre à Lyon Eurexpo, proposera (en collaboration avec France Routes) un journal TV quotidien de 30 minutes.


Affiche Solutrans 2015.jpeg

SOLUTRANS : les carrossiers se préparent

Ca bouge chez les constructeurs carrossiers. Une effervescence qui pourrait bien s'expliquer par l'imminence du salon dédié au transport routier et urbain qui se déroulera à Lyon du 17 au 21 novembre prochain.


La FFC mise sur pérennisation et fidélisation

Avec le logiciel de modélisation des ateliers Mavimplant, et son nouveau baromètre d'analyse du marché, la Fédartion Française de Carrosserie peaufine ses atouts.


La FFC mise sur pérennisation et fidélisation

Avec le logiciel de modélisation des ateliers MAVIMPLANT, et son nouveau baromètre d'analyse du marché, la Fédération Française de Carrosserie peaufine ses atouts.