50 merveilleux camions et cars anciens autour de lac de Serre-Ponçon ce week-end

Si vous aimez les vieux camions, vouas allez apprécier la sortie sur Briançon qu'organise le PTRA (un club de vieux bahuts - tél. : 06 71 54 82 65) durant ce week-end. Le programme est éloquent : samedi les participants (plus de 40 véhicules) font le tour du lac, et dimanche ils se lancent à l'assaut du col du Mont-Genève. Dans la soirée, les 50 vieux camions, utilitaires et bus et leurs accompagnateurs seront en expo au parc des Sports de Briançon, ainsi que le dimanche (21 juin) à l'heure du déjeuner. Parmi les splendeurs qu'on pourra admirer au fil de cette ballade, il y aura le Berliet TBO de JM Perrier, superbe réplique du camion de 100 000 dollars au soleil, les Berliet de Jean-François Girin ainsi que son Stradair vert pomme et son super GLM12 4x4 totalement restauré en « ponts et chaussées ». Ce véhicule fera sa première sortie après une restauration totale. Il y aura aussi des utilitaires et des bus avec le Setra S80 des transports André Faure et notamment le très bel autocar Berliet PLD 8 arrivé de Sisteron


La TV d'EQUIP AUTO, sur un plateau

A l'occasion de sa prochaine édition (13 au 17 octobre 2015 - Parc des Expositions de Paris Nord Villepinte), Equip Auto, lance son plateau TV, plateforme d'expression unique où le public assiste en direct aux émissions.

A travers ce plateau TV, Equip Auto se donne un double objectif. Tout d'abord, informer visiteurs et exposants sur les grands enjeux de la filière après-vente. Mais également offrir aux exposants une visibilité et une promotion amplifiées et inédites.

Chaque jour, sur le plateau TV, de 10h30 à 18h, les enjeux et tendances de l’après-vente sont décryptés et l’actualité du marché est développée à travers différents rendez-vous, qui tous, bénéficient d’une traduction simultanée français – anglais.

Chaque jour, vont s’enchaîner des JT, des interviews de chefs d’entreprises et acteurs incontournables du marché, des émissions dédiées aux innovations des exposants, mais aussi aux sujets phares du secteur et du salon, au cours desquels la parole est donnée à tous : exposants, institutionnels, fédérations, organismes de formation…

Le Plateau TV propose également de découvrir les opportunités de business offertes par 4 pays mis à l’honneur à l’occasion d'Equip Auto 2015 avec les interventions d’institutionnels de ces pays Algérie, Tunisie, Maroc et Pologne. Animés par GIPA (spécialiste des études sur l’après-vente) qui donnera les tendances et chiffres clés de ces 4 marchés, les focus pays seront étayés par les témoignages de leaders d’opinion : constructeurs, équipementiers, pétroliers, réseaux d’après-vente… Visiteurs et exposants ont également l’occasion d’assister sur le Plateau TV, dans un format plus court et dynamique aux conférences, organisées par Equip Auto, et dont le programme est à consulter sur le site de la manifestation.


La lente érosion du marché VI

La Chambre Syndicale Internationale de l'Automobile et du Motocycle (CSIAM), vient de présenter les résultats du marché poids lourds, bus et car, pour le début de l'année 2015. Avec des fortunes diverses, selon les secteurs...

C’est en présence du CCFA, de la FFC, du président du COFIT et des principaux constructeurs de poids lourds, de Bus et de Cars, que la CSIAM a voulu présenter les chiffres du marché, comme pour montrer l’unité indéfectible de la filière du véhicule industriel.

Après le rebond constaté du marché fin 2013, dopé artificiellement par des ventes soutenues en Euro V, avant l’arrivée prévue d’Euro VI pour les transporteurs, l’année 2014 s’était montrée plutôt morose. Et, d’une manière générale, Thierry Archambault, président délégué de la CSIAM, et Jean-Marc Diss, directeur général de Mercedes Benz Trucks France et président de la Branche VI de la CSIAM, ont tenu à ouvrir les débats en rappelant un âpre constat. Ainsi, avant la période de crise, jusqu’en 2008, les ventes cumulées de tous les secteurs VI de plus de 5 tonnes émargeaient à environ 53 000 unités. Puis, en 2009, le marché s’effondre à 35 000 véhicules. Certes, les ventes sont remontées depuis, mais se stabilisent désormais aux alentours de 42 000 unités annuelles. “Nous ne sommes donc plus dans un contexte de crise ni même d’après crise, mais plutôt dans un nouvel état de marché”, souligne Thierry Archambault. Une nuance fondamentale, qui permet de comprendre (un peu) pourquoi l’effet de rebond n’a pas suffi à faire revenir le marché à ses plus belles heures.

Sur le premier quadrimestre 2015, le niveau atteint par le marché des VI de plus de 5 tonnes à fin avril 2015 (13 510 immatriculations) est en baisse de 2 % par rapport à celui de fin avril 2014 (13 799 immatriculations).

Dans le détail, les tracteurs progressent de 9,3 %, tandis que le marché des porteurs s’effondre de près de 15 %. Une bonne nouvelle toutefois, avec l’insolente réussite du marché des Bus et Cars, qui enregistre une hausse de 9,6 % à 1 938 immatriculations, principalement tirées à la hausse par le secteur des autocars et des châssis à carrosser. Les constructeurs de Bus et Cars prévoient d’ailleurs un marché 2015 au même niveau que celui de l’année passée, voire même en augmentation, sous l’effet notamment de l’entrée en vigueur, pour l’ensemble des cars scolaires à partir de la rentrée, de l’obligation de n’utiliser que des véhicules équipés de ceintures de sécurité.

Message aux pouvoirs publics

Face à ces résultats mitigés, la CSIAM, mais également la FFC, le CNPA, les constructeurs, bref, l’ensemble de la filière, a souhaité passer un message aux pouvoirs publics, leur demandant de “cesser la surenchère”. En ligne de mire, les normes anti-pollution qui évoluent trop souvent, et se révèlent financièrement insupportables à la fois pour les clients, mais également pour les constructeurs. “Le développement des technologies Euro VI a demandé 100 milliards d’euros d’investissements, tous constructeurs confondus. Ces technologies sont particulièrement efficaces aujourd’hui, à tel point qu’un poids lourd Diesel moderne se révèle moins polluant que la majorité des voitures !”, souligne Jean-Marc Diss. Ainsi, il est demandé aux politiques de laisser Euro VI se déployer de façon plus large, avant d’imposer d’autres normes très onéreuses en développement, et difficiles à absorber en périodes de ventes en berne.

Sensibiliser le public

Alors, pour sensibiliser le grand public et, par ricochets peut-être, le gouvernement, la CSIAM et la FFC reconduisent leur opération “Sticker”. Il s’agit d’apposer un autocollant à l’arrière de tous les véhicules Euro VI, qui explique combien ces nouveaux poids lourds sont respectueux de l’environnement. L’opération avait été lancée lors du salon Solutrans 2011, mais n’avait pas rencontré le succès. Pour une raison simple, selon Thierry Archambault. “A l’époque, nous avions demandé aux constructeurs de se charger de la pose des stickers, mais reconnaissons que cela n’a pas bien fonctionné”. Du coup, cette fois, c’est aux carrossiers que la CSIAM a demandé de se charger de l’opération, avec l’espoir qu’elle soit mieux suivie. De plus, sur Solutrans, cette année, chaque carrossier exposant disposera d’un corner pour expliquer et promotionner l’opération. “Il s’agit de montrer à tous que le véhicule industriel est bien le laboratoire technologique de l’automobile”, martèle Patrick Cholton, président de la FFC.


Edito : Egalité !

Pourquoi faut-il toujours que les pouvoirs publics dressent les uns contre les autres quand l'objectif consiste à marcher d'un même pas alerte et vivifiant pour reprendre la main sur une économie française difficile ?

Pourquoi salir le transport routier auprès des particuliers en laissant entendre qu’il est la source de tous les maux : la pollution, les trous sur la route, l’encombrement des villes, les accidents de la circulation, etc. Pourtant qui a fait échouer le ferroutage ? Qui n’a pas protégé les entreprises de transport en ne faisant pas régner la loi sur les camions qui traversent notre pays, ceux qui refusent de se plier aux normes françaises en termes de sécurité, d’emploi, de prix, de ramassage ou d’environnement ? Qui a laissé entendre que le Diesel tuait les petits enfants quand les véhicules industriels sont les premiers à avoir bénéficié des normes environnementales les plus strictes ? Qui a laissé les compagnies autoroutières gérer à sa place les bénéfices qui auraient pu servir à soutenir les collectivités locales déjà endettées, à réparer les routes et les infrastructures de tous acabits ? La réponse est simple et engage les acteurs de la filière Poids Lourd à parler d’une seule voix. Déjà, le président de la Fédération Française de la Carrosserie, Patrick Cholton s’est jeté dans la bataille en créant au sein du salon Solutrans, la rencontre des professionnels du secteur et en réclamant aux pouvoirs publics une tribune distincte des acteurs du VL. Il est absurde de croire que les intérêts des uns puissent être défendus avec la ferveur attendue par ceux qui ne sont pas directement concernés. Ne pas être en opposition mais revendiquer de disposer du même droit à la parole, c’est ce que réclament les professionnels du VI, rien de plus, rien de moins. Seront-ils entendus ? On veut le croire, mais si déjà l’on arrêtait de communiquer contre, ce serait déjà une victoire.
 


Face à la crise, les Français ont changé leur façon de dépenser

L'habillement, l'automobile et les loisirs souffrent. Les dépenses contraintes (loyers, eau, etc.) progressent.


Initiative PME : un exemple au sein de la filière automobile

Le succès de l’appel à projet réservé aux PME va permettre à 28 entreprises de la filière automobile d’amorcer des projets de R&D grâce à une subvention de 200 000 euros par entreprise, soit au total 5,6 millions d’euros. Une deuxième vague sur le même modèle est prévue mi-septembre.

A ceux qui pensent que les services de l’Etat sont sourds aux critiques, ce succès apporte un démenti et montre que les choses peuvent bouger dans le bon sens. 

Nommé commissaire général à l’investissement en 2014, Louis Schweitzer a tenu compte des critiques sur les appels à projets inaccessibles aux PME. 
Cela a donné en décembre 2014 l’appel à projet Initiative PME à la construction duquel ont participé la PFA et les pôles de compétitivités.
"Le projet Initiative PME est très nouveau par rapport au programme d’investissements d’avenir. Nous n’avons pas l’habitude de nous adresser directement aux PME et nos appels à projets sont plutôt adaptés à des grands groupes ou à des consortiums emmenés par des grands groupes pour des investissements de plusieurs millions d’euros",admet Jean-Luc Moullet, directeur de programme au commissariat général à l’investissement (CGI).
Les recommandations de la PFA et des pôles de compétitivités ont ainsi abouti à la mise en place d’une procédure simplifiée (avec un dossier de 5 pages seulement), la possibilité pour les PME de concourir seules, un seuil d’éligibilité des investissements abaissé à  400 000 euros, une procédure de sélection rapide en 6 semaines (entre la date de relevé des réponses à l’appel à projets et la date de prise de décision), avec passage devant un jury, sur le mode "20 mn pour convaincre", comme l’a souligné Louis Schweitzer, lors de la convention Mov’eo.

28 PME automobiles sélectionnées
Publié mi-janvier, cet appel à projet s’adressait à toutes les entreprises du secteur routier (y compris ferroviaire et maritime) dans le cadre du programme "Véhicules et transports du futur" du CGI.
Au total 89 projets ont été déposés (dont 64 dossiers automobile) et 40 sélectionnés dont 28 issus du secteur routier, 7 du secteur ferroviaire et 5 projets du secteur maritime.
"L’apport des pôles a été important dans la sélection et sur ces 28 projets routiers, 22 ont été labellisés", nous a précisé Marc Charlet, directeur général de Mov'eo qui en a labellisé 7, les autres l’ayant été par ID4car, Véhicule du futur, LUTB et I-Trans. Cette labellisation a constitué une forme de présélection et les projets passés par l’analyse d’un pôle étaient directement qualifiés pour passer une audition.
Le montant total des subventions accordées (200 000 euros par projet) représente dont 5,6 millions pour la filière automobile (sur un total de 8 millions d’euros pour tous les dossiers) et les investissements qui seront portés par ces PME automobiles sont de 15 millions d’euros. L'aide financière apportée par le CGI est sous forme de subvention dont 70% sont versés à la signature de la convention et 30% au résultat du projet (soit entre 12 et 18 mois plus tard).

Un fonctionnement efficace au sein de la filière
Jean-Luc Brossard, directeur programme R&D de la PFA se félicite de ce succès : "Nous avons une très bonne entente et répartition des rôles et des missions entre la PFA, les pôles et les Aria. Nous travaillons main dans la main pour améliorer et faire grandir la filière. Nous avions visé de présenter 40 dossiers sur cet appel à projet et nous en avons eu 68."
L’essentiel des projets retenus portent sur les problématiques liées aux deux grands sujets : véhicules 2l/100 km et véhicule autonome. "Ce sont les problématiques des 10/15 prochaines années et notre rôle est d’orienter les PME avec des prospectives de marché et des roadmap pour qu'elles travaillent sur les bons sujets et que les têtes de filières les supportent sur ces sujets", explique Jean-Luc Brossard.  
Dans cette optique, la PFA organise le 6 juillet une présentation de 20 de ces projets financés par le CGI devant les donneurs d’ordres de la filière, constructeurs et équipementiers. 
Alors que Louis Schweitzer a prévenu qu’une partie importante des fonds du programme d’investissements d’avenir actuellement destiné à la filière transport étaient encore disponibles, ce type d’appel à projet est peut être un moyen de relancer l’initiative.

Une logique bottom-up
"L’idée est d’accompagner les PME sur des travaux en amont qui leur permettent d’avoir des éléments tangibles à montrer à des grands groupes pour aller dans des projets plus importants avec des équipementiers de rang 2 et 1. Jusqu’à présent nous étions plutôt calés top-down, cette expérience permet de faire le chemin en sens inverse en partant de l’idée des start-up", souligne Jean-Luc Moullet, qui précise "les deux démarches n’étant pas exclusives l’une de l’autre".
Ainsi, cet appel à projet PME est également doublé d’un appel à projet classique "Véhicules et transports du futur" pour des investissements au-delà de 750 000 euros pour une petite entreprise, 1,5 million pour une moyenne et 3 millions pour une grande (en cours et jusqu'au 1er octobre 2016).
Le budget actuellement disponible dans le cadre de l'actuel programme d'investissements d'avenir est d’environ 400 millions d’euros (sur une enveloppe de départ de 1,15 milliard d’euros, selon les données publiées en décembre dernier). "Au rythme actuel des engagements nous ne consommerons pas les crédits. Nous avons besoin d’avoir un certain nombre de projets sinon les crédits seront réaffectés sur d’autres secteurs où nous avons plus de projets que de moyens d’action", nous a dit Jean-Luc Moullet. Il nous a confirmé le lancement d’un nouvel appel à projet réservé aux PME à la mi-septembre. 

Les 28 PME lauréates pour le secteur routier : http://www.presse.ademe.fr/wp-content/uploads/2015/06/projets-routiers.pdf


Comment les Suédois ont mangé Renault Trucks

Et si Renault Trucks devenait une coquille vide ? C'est actuellement la crainte des 5 000 salariés lyonnais du constructeur de camions. En pleine réorganisation, le propriétaire Volvo rapatrie ses centres de décision vers la Suède tout en supprimant des postes dans l'agglomération. En résulte une perte d'autonomie et de compétence.


Une vitrine pour les métiers de l'automobile

Avec son site PlaneteAutomobile.com, la PFA souhaite mettre à disposition des jeunes et des moins jeunes un outil d'information sur la filière tout en offrant de la visibilité à ceux qui la composent.

Comment rendre plus attractif le secteur automobile vis-à-vis des jeunes et du grand public? Telle la question qui anime chaque jour la Plateforme de la Filière automobile (PFA) et à laquelle cette dernière a souhaité répondre en lançant l'an dernier son site internet PlanèteAutomobile.com. Imaginé par l'agence Com CI Com CA, celui-ci a été conçu telle une vitrine au carrefour de l'éducation, de l'information et de la communication, plongeant l'utilisateur dans un espace d'exposition et l'invitant à se mouvoir de stand en stand.

"Les internautes peuvent naviguer dans un univers proche d'un salon de l'automobile international et, en quelques clics, découvrir les métiers, les formations, les offres d'emplois et de stages de l'ensemble de la filière automobile, les informations clés de notre activité – histoire, outils éducatifs et étapes de production – à travers des modules ludiques et attractifs. Le format proposé par Com CI Com CA nous a semblé le mieux adapté. Nous sommes persuadés qu'un outil innovant et ludique permet de toucher un large public", développe ainsi Philippe Cortale, le directeur compétences et emploi de la PFA.

Derrière cela, le but consiste à donner des réponses aux interrogations des jeunes quant à leur orientation future, mais aussi à donner des arguments au monde éducatif sur les atouts de ce secteur d'activité et, enfin, à donner de la visibilité à tous les professionnels qui le composent. En constante évolution depuis son lancement, le site sera prochainement enrichi d'une newsletter, proposera aux utilisateurs de devenir des ambassadeurs du secteur via un module dédié et offrira également une visibilité optimale aux écoles désireuses de promouvoir leur enseignement.

Pour plus d'infos : www.planeteautomobile.com


La CSIAM et la FFC renouvellent leur opération stickers

On se souvient des grands autocollants apposés à l'arrière des camions qui rappelaient que 87 % des marchandises prennent la route, que 75 % des transports se font sur moins de 150 km ou encore que les émissions polluantes des poids lourds ont diminué de 80 % en vingt ans. Malheureusement, cette campagne procamions lancée à Solutrans 2011 n'avait trouvé un écho suffisant chez les constructeurs, qui étaient censés apposer eux-mêmes l'affiche avant la livraison des camions.

Un point sur lequel Philippe Canetti, le patron de Daf Trucks France, revient toutefois en précisant : « Les constructeurs sont toujours partie prenante dans ce genre d'opération dès lors qu'elles sont initiées par la Csiam (même si Renault Trucks n'y est toujours pas adhérent). C'était le cas en 2011, où il nous a malheureusement manqué le soutien des organisations professionnelles de transporteurs. Qui manquent encore une fois à l'appel cette année... ».

La Csiam et la FFC ne se laissent pas décourager pour autant, axant cette fois leur campagne sur une sensibilisation du grand public à l'empreinte écologique des poids lourds Euro 6. Et surtout, cette fois ce sont les carrossiers qui seront chargés d'apposer les nouveaux autocollants, d'une taille beaucoup plus réduite (tout en restant lisibles). Ceux-ci annoncent « 97 % de pollution en moins avec Euro 6 ». Patrick Cholton, le président de la FFC, lancera ces « stickers » au prochain Solutrans, en novembre prochain. « Il faut rappeler que le poids lourd est le laboratoire de l'automobile, et non l'inverse », précise-t-il.


Les utilitaires d'antan au Rallye Belle Epoque les 3 et 4 juillet à Montrond-les-Bains

Le premier week-end de juillet (les 3 et 4), le Rallye Belle Epoque prendra un nouveau virage en proposant sa première édition du concours de présentation d'utilitaires légers datant d'avant 1970. Plus de 100 utilitaires légers sont attendus : Delahaye de 1922, Autocar de 1935, Citroën 2CV camionnette, Estafette Renault... Pour participer à ce grand rassemblement, ils viendront de toute la France, voire de pays voisins comme la Suisse. La 22e édition du Rallye Belle Epoque (traditionnellement organisé dans des villes d'eau) profitera des routes des Monts du Forez qui entourent Montrond-les-Bains (42). Les organisateurs attendent plus d'une centaine de véhicules qui participeront pour la première fois en France à un concours d'utilitaires anciens.