SOLUTRANS renforce sa dimension internationale en rejoignant L'OICA
Le salon SOLUTRANS, propriété de la FFC-Fédération Française de Carrosserie, vient d'être accrédité par l'OICA, Organisation Internationale des Constructeurs Automobiles, et entre ainsi dans le cercle très fermé des manifestations reconnues dans plus de 35 pays à travers le Monde.
La FFC, propriétaire et organisateur du Salon, est heureuse et fière d'annoncer la toute récente entrée de SOLUTRANS parmi les manifestations de la Filière reconnues par les institutions mondiales de la Mobilité.
SOLUTRANS entre aujourd'hui au cœur du calendrier des manifestations accréditées par l'OICA, aux côtés des plus grands évènements mondiaux de l'Automobile et du Véhicule Industriel.
Après l'édition record de SOLUTRANS 2017, qui avait vu une croissance de plus de 45 % de visiteurs étrangers dans les allées du Salon, cette annonce concrétise tous les efforts menés pour faire de SOLUTRANS un évènement toujours plus tourné vers l'international.
Depuis plusieurs éditions, SOLUTRANS multiplie les initiatives pour se développer au plan mondial, et apporter à ses exposants et visiteurs l'offre la plus globale.
En 2019, la surface réservée par les exposants internationaux augmente de près de 50 %. Les 35 organisations professionnelles qui composent l'OICA à travers le monde ont su voir la performance de SOLUTRANS et accompagneront désormais la FFC dans le rayonnement à l'International du Salon.
A propos de l'OICA:
L'OICA, Organisation Internationale des Constructeurs Automobiles, a été fondée en 1919 à Paris et est présidée par Christian PEUGEOT. Ses missions consistent à défendre les intérêts des constructeurs et importateurs de véhicules légers et lourds, regroupés au sein de leur fédération nationale. L'OICA représente l'industrie automobile et du véhicule industriel au niveau international, notamment auprès d'organismes intergouvernementaux et internationaux, diffuse et promeut les politiques et positions de l'industrie, auprès des organismes internationaux et du grand public.
GTFM Véhicules industriels électriques, la 7ème réunion
Le livre blanc portant sur les conditions de développement d'une filière véhicules industriels et urbains électriques prend forme. Le projet, confié par la PFA à la FFC, élaboré par un groupe de travail filière métiers (GTFM), regroupe tous les acteurs les plus impliqués dans le développement de cet écosystème.
Patrick CHOLTON Président de la FFC et de SOLUTRANS, en compagnie de Jean-Marc LANGE Président du COFIT a ouvert cette 7ème réunion du GTFM Véhicules Industriels Electriques.
Patrick CHOLTON a débuté par un point d’étape sur le salon SOLUTRANS qui aura lieu du 19 au 23 novembre 2019. Puis il a rappelé que la réalisation du Livre Blanc est d’autant plus importante que nous espérons maintenant fortement pouvoir le remettre en mains propres au Président de la République Française lors de l’inauguration de SOLUTRANS le 19 novembre prochain. En effet, le salon vient d'être placé sous le haut patronage de Monsieur Emmanuel MACRON.
Jean-Marc LANGE a pris la parole à son tour pour rappeler que la PFA pilote le CSFA (Contrat Stratégique de la Filière Automobile) dont le COFIT (Comité d’Orientation de la Filière Industrielle du Transport) qu’il préside, est issu depuis des années. A la demande de la PFA en accord avec le COFIT, le GTFM Véhicules Electriques Industriels et Urbains a été lancé en septembre 2018. Le livre blanc qui en sera l’issue sera remis aux pouvoirs publics lors de l’inauguration du salon SOLUTRANS le 19 novembre et se tiendra ce même jour, une conférence plénière qui permettra de le présenter au grand public.
Didier DUGRAND, délégué Général de la FFC a ajouté que loin d’être la fin, SOLUTRANS représente au contraire le début de carrière du livre blanc qui sera ensuite présenté aux collectivités, notamment en vue des municipales de 2020, car il sera porteur des préconisations de la filière, pour favoriser les conditions du développement des véhicules industriels et urbains électriques.
PRESENTATION DE L’OFFRE « VEHICULES ELECTRIQUES » (ALSTOM)
Monsieur Patrick DUPRAT a présenté l’offre d’Alstom concernant son e-bus APTIS, qui est une création et non la modification d’un véhicule existant, même s'il a toutefois bénéficié de l’expérience d’Alstom issue des tramways. 4 prototypes existent depuis 2 ans et le e-bus APTIS a déjà été vendu notamment à Strasbourg et Paris. Alstom a apporté de nombreuses innovations en termes de design et d’accessibilité à son véhicule. Ses particularités sont les 2 essieux directeurs, des roues aux extrémités du véhicule, permettant une meilleure exploitation de l'espace intérieur, les batteries positionnées sur le toit, un module de traction ainsi que le moteur, dérivés des technologies développées par Alstom sur le tramway… Enfin, la recharge se fait soit par prise "classique" (Combo2) ou par le sol (les batteries et le système câbles venant d’autres fournisseurs).
Puis les participants ont échangé sur le titre du futur livre blanc. La formule retenue est donc "L’Electricité pour la filière des véhicules industriels".
Quant au contenu de l'ouvrage, les orientations du livre blanc devraient comporter des développements sur les grandes thématiques suivantes. Le contexte et les objectifs de l'électrification, l'autonomie, la chaine de valeurs, les impacts, des témoignages, les perspectives long terme (à partir de 2030), ainsi que des réflexions sur la filière (expérimentation en France, aides à l'usage, suramortissement, aides à l’investissement sur les infrastructures..)
Le Scarabée d’Or enfin dévoilé…
C’est au Musée des Arts et Métiers que le Scarabée d’Or a été dévoilé dans toute sa splendeur. C’est grâce au travail acharné des étudiants et des lycéens, soutenus par les partenaires de l’Association "Des Voitures et des Hommes" que ce véhicule a pu être reconstruit à l’identique.
La Citroën B2 10 HP modèle K1 fut la première voiture à traverser le Sahara en décembre 1922. Voici, en quelques chiffres, le résumé de ces quatre dernières années de travail :
- · 160 étudiants et lycées
- · 40 professeurs et « encadrants »
- · 50 000 heures de travail
- · 71 500 kg de métaux
- · 130 000 € de budget
- · 25 000 € de frais
- · 55 000 € de temps offert par les mécènes
- · 5 000 km parcourus
- · 11 sites de productions français.
C’est devant un parterre de personnalités et de journalistes que le Scarabée d’Or a été dévoilé. Et parmi les partenaires du projet était présent Glasurit (Marque premium du groupe BASF) grâce à qui le Scarabée d’Or a retrouvé sa superbe robe d’antan. Etaient également présents : Le Musée des Arts et Métiers, Ensam, Le Lycée Château Epluches, Citroën, Silveo…
Glasurit, un partenaire clé dans la restauration de cette merveille !
La technologie de Glasurit a en effet permis de retrouver la peinture et la teinte d’origine du véhicule à partir de traces trouvées sur des éléments cachés et préservés de la carrosserie du Scarabée d’Or de 1922. Le véhicule était d’un blanc qui tirait légèrement sur un vert d’eau. Glasurit a recréé la teinte et les élèves du lycée professionnel Château d’Epluches l’ont appliquée. Il s’agit d’un système de peinture composé de deux couches. La sous couche est réalisée dans le coloris de finition sur une base chimique de type "ester d’époxy, acrylique uréthane", ce qui permet d’obtenir les caractéristiques suivantes :
- · Une excellente adhérence directe sur les supports en acier
- · Un fort pouvoir garnissant pour combler les marques de grenaille
- · Une très bonne protection anticorrosion
- · Une protection anti-gravillonnage - nécessaire pour le châssis
Cette sous-couche a ensuite été recouverte d’une couche de finition de type acrylique uréthane, qui apporte :
- · Une couleur et un brillant conformes aux valeurs d’origine
- · Une uniformité d’aspect avec les autres éléments de carrosserie
- · Une protection contre les UV et les intempéries durables
Glasurit a également "formé" certains étudiants de l’Ecole d’Art Mural de Versailles aux techniques les plus élaborées de mise en peinture au Refinish Competence Center de Montataire. Tandis que d’autres se sont entrainés pour réaliser à main levée le logo du Scarabée d’Or, un exercice très difficile quand on sait, qu’in fine, ils n’auront droit qu’à un seul essai sur le véhicule.
Lors de son intervention, Erwan Baudimant, Responsable du département des Ventes Peintures de Réparations Automobiles France et Afrique du Nord – BASF France Division Coatings, a déclaré : "Glasurit est fière d’avoir pu participer à ce projet d’une envergure exceptionnelle. Grâce à l’association ‟Des voitures et des Hommes”, nous avons pu contribuer à la sauvegarde du patrimoine français, au côté de partenaires prestigieux. Ce projet a fédéré un grand nombre de professionnels, dont nous partageons les valeurs. Et puis, c’est aussi grâce à Scarabée d’Or que nous avons pu intégrer un nouveau coloris dans notre base de données Classic Car Colors, le ‟Blanc Sahara”".
40 000 emplois à pourvoir dans la Filière VI-VU
Parmi les secteurs qui affichent un fort développement, le Véhicule Industriel et Urbain tient une place de premier choix. Tous les acteurs de la Filière lancent des campagnes massives de recrutement, à tous les niveaux de leurs activités.
La FFC, fidèle à sa mission et forte de ses travaux et partenariats avec les Chambres de Commerce et d'Industrie, les régions de France, Pôle Emploi et Monster, soutient toutes les initiatives destinées à assurer la pérennité des entreprises.
Au cœur de la filière VI-VU, près de 4 000 entreprises regroupent plus de 23 000 collaborateurs, pour environ 5 000 jeunes en formation chaque année, tant dans le secteur du commerce que de la réparation des véhicules. Ce vaste secteur rassemble les entreprises qui conçoivent, vendent et entretiennent les camions, bus et cars, véhicules utilitaires légers, affiliés ou non aux constructeurs, puisque les problématiques d'emploi dépassent aujourd'hui largement les clivages concurrentiels.
Recrutements à tous les niveaux
Et la Filière ne manque pas d'ouvertures. Ses métiers peuvent s'exercer dans différents secteurs : entreprises de transport, garages spécialisés dans la maintenance de véhicules industriels, concessionnaires, constructeurs de poids lourds, d'autocars ou d'autobus. On parle même d'au moins 40 000 emplois à pourvoir chez les constructeurs VI, DAF, MAN, Iveco, Mercedes-Benz Trucks, Scania, Renault Trucks, Volvo Trucks. Mais également chez les équipementiers, carrossiers…, qui ne manquent pas non plus d'atouts pour séduire les futures forces vives de leurs métiers, en raison de l'importante croissance de la demande, trop peu anticipée en France. D'autre part, la reprise récente des ventes de véhicules s’est traduite par une croissance des entrées ateliers sur le marché de l’après-vente. On notera également un regain d'intérêt pour les métiers du service, en raison de l’évolution de la nature des interventions (pannes moins fréquentes mais plus complexes avec souvent plus d'électronique et moins de mécanique).
Des nouveaux métiers qui dépoussièrent la Filière
Contrairement à une idée très largement répandue, les innovations technologiques apparaissent bien souvent dans le Véhicule Industriel bien avant le véhicule particulier. En cause, les obligations réglementaires auxquelles doivent se soumettre les constructeurs VI. Intégrer la Filière VI-VU revient à faire carrière dans un secteur à la pointe de l'innovation.
Par exemple, les camions peuvent, dès aujourd’hui, être diagnostiqués à distance via des capteurs permettant de suivre l’évolution de certains éléments (freins, huiles, batteries, cartouche d’air, pneus, dispositifs de dépollution). Grâce à la connectivité et à la télématique, ces données techniques sont transmises aux services après-vente (SAV) via des serveurs informatiques. L’exploitation des données exige des compétences à la fois techniques, informatiques mais aussi commerciales afin de relancer ou capter le client pour indiquer les recommandations émises par le système ou juger de l’urgence de la réparation.
Rejoindre la Filière du Véhicule Industriel et Urbain, c'est aussi la promesse d'embrasser une carrière excitante, au sein d'entreprises prestigieuses, dynamiques, puissantes et en prise avec les grands enjeux sociétaux actuels. L'avènement des nouvelles technologies, leur développement, mais également l'avenir du mix énergétique et la place que prendront l'électricité, le gaz, le diesel, l'hydrogène…, l'impact des réglementations et les moyens d'y répondre de la meilleure manière, l'échiquier concurrentiel, la mise en place des ZFE (Zones à Faibles Emissions) …, autant de sujets à appréhender pour les futures forces vives de de la Filière, qui devront faire preuve d'ouverture et de polyvalence.
Nombreux débouchés
Choisir la Filière du Véhicule Industriel et Urbain, c'est choisir une Filière sans chômage ! 75% des apprentis de la Filière Véhicules Industriels trouvent un emploi moins de sept mois après la fin de leur formation. Les besoins en recrutement portent particulièrement sur les profils de techniciens car le développement exponentiel des technologies sur les camions accroît la nécessité de disposer de leurs compétences en matière de diagnostic et d’électronique. En conséquence, pour attirer ou fidéliser la main d’œuvre, les entreprises n'hésitent pas à pratiquer des rémunérations supérieures au prix du marché, parfois de près de 25 %. Certaines choisissent également, dans une logique d’anticipation, de développer des actions de formation destinées aux jeunes, à des publics en reconversion ou aux salariés en poste (requalification au niveau CQP Technicien Confirmé).
Evolution des métiers
Alors qu'il y a quelques années, les métiers du Véhicule Industriel étaient plutôt cloisonnés, les barrières ont peu à peu disparu, au rythme des évolutions du marché. Par exemple, les professionnels de l’entretien et de la réparation de VI ont réorganisé leurs activités et réintègrent des activités auparavant sous-traitées comme la préparation au contrôle technique, la prestation pneus, la carrosserie, le vitrage, etc.). Mais également en diversifiant leurs activités (VUL, location, prestation de formation à l’écoconduite hors vente de véhicule, etc.). La réception active ou dynamique, qui consiste à réaliser un premier état des lieux du véhicule en présence du client et avec une tablette, afin d’optimiser le flux d’entrées atelier (automatisation de l’édition d’ordres de réparation, de factures et de la commande de pièces) fait aussi partie de ces nouvelles activités qui démontrent la technicité des métiers, mais également le dynamisme des acteurs et surtout l'attrait de toute une Filière.
Parce que l'emploi et la pérennité de la Filière constituent des enjeux majeurs pour la FFC, nous travaillons au quotidien à offrir les meilleurs outils de formation et de recherche d'emploi. Nous vous invitons à venir consulter l'ensemble des offres de la Filière en direct sur SOLUTRANS, sur notre Forum EMPLOI.
Engie et EDF, quelles différences ?
Aujourd'hui, Opéra Energie, Partenaire FFC dans le courtage en énergie, nous explique qu'EDF n’est pas et n’a jamais été Engie, (ex GDF et GDF SUEZ). Si elles ont toujours été distinctes l’une de l’autre, Engie et EDF ont néanmoins longtemps été des entreprises complémentaires… En revanche, aujourd'hui, Engie et EDF sont deux fournisseurs concurrents de gaz et d’électricité. Les éclaircissements de Jean-Sébastien DEGOUVE, Président d'Opéra Energie.
Pourquoi confond-on Engie et EDF ?
L’amalgame est répandu et s’explique aisément : il fut une très longue période où les deux fournisseurs étaient seuls acteurs du marché de l’énergie en France, chacun dans un secteur spécifique.
A EDF, le monopole de la production, du transport et de la distribution de l’électricité, tandis qu'Engie (ex-GDF-Gaz de France -puis GDF SUEZ) exploitait le monopole du gaz.
En outre, EDF et GDF partageaient certains services : EDF GDF Distribution. Bien que n’ayant pas d’identité juridique propre, et n’ayant pas le statut de filiale, EDF GDF Distribution appartenait aussi bien au groupe EDF qu’au groupe Gaz de France qui en partageaient la direction et les équipes.
Cette mainmise sur l’énergie aura duré plus de 50 ans, de la fin de la seconde guerre mondiale à l’orée des années 2000 : aujourd’hui, il est plus que temps de mettre à bas un demi-siècle d’idées reçues et de rappeler que Engie est bien différent d’EDF !
Qu’est-ce qui distingue Engie de EDF ?
Avec l’ouverture à la concurrence des marchés de l’énergie, EDF comme Engie ont dû filialiser leurs activités de gestion de transport et de distribution pour se recentrer sur leurs seules activités de fourniture d’énergie.
Depuis le 1er janvier 2008, les activités d’EDF Gaz de France Distribution sont transférées dans deux entités : Électricité Réseau Distribution France (ERDF, devenu Enedis le 31 mai 2016, filiale du groupe Électricité de France) et Gaz Réseau Distribution France (GRDF, filiale du groupe Gaz de France devenu Engie en avril 2015).
De leurs statuts de fournisseurs historiques, il subsiste une trace : exception faite des ELD (entreprises locales de distribution), seul EDF peut commercialiser de l’électricité aux tarifs réglementés, comme seul Engie peut commercialiser du gaz aux tarifs réglementés. Rappelons que les tarifs réglementés sont des tarifs fixés par les pouvoirs publics, à la baisse comme à la hausse, au contraire des tarifs dits de marché, qui sont fixés librement par contrat.
Cependant, libéralisation du marché de l’énergie oblige, EDF propose désormais des offres d’électricité à prix marché ainsi que des offres alternatives de gaz, à combiner ou non. De même, Engie a développé ses propres contrats de fourniture de gaz comme d’électricité à prix marché.
Pour résumer, EDF ne veut plus systématiquement dire électricité et, a contrario, Engie n’implique plus forcément de fourniture de gaz.
Trois nouveaux adhérents pour la FFC Equipementiers
La FFC Equipementiers confirme son dynamisme en 2019, en accueillant trois très belles entreprises. SCHEIBER, spécialiste de l'électronique embarquée, TEXA, célèbre pour son offre dans le diagnostic Poids Lourd et enfin les établissements GAILLARD, qui œuvrent dans la location de véhicules industriels de tous ordres.
Bien entendu, chacune de ces entreprises fera l'objet d'une présentation plus large lors des prochains numéros du magazine Carrosserie, dans le cadre d'un reportage ou d'un entretien de son dirigeant. Mais voici dès maintenant les éléments les plus importants à retenir.
SCHEIBER est un équipementier spécialisé dans la conception et la fabrication de matériel électrique autonome embarqué. Créée en 1965, l'entreprise a débuté par la fabrication de transformateurs pour les grands noms de l’électroménager tels Thomson, Arthur Martin, Electrolux, …
Au cours des années 80, SCHEIBER prend le virage de l'électronique avec les premiers chargeurs de batteries, groupes de secours et convertisseurs. Les marchés adressés s'ouvrent progressivement aux véhicules de loisirs et aux carrossiers constructeurs, qui plébiscitent SCHEIBER pour la qualité de ses produits. Aujourd'hui, la société innove dans plusieurs secteurs : nautisme, véhicules de loisir, habitat et automobile. SCHEIBER intègre le process complet de sa production, et maitrise à ce titre le développement (bureau d'études), la fabrication, l’assemblage et le contrôle de ses produits. Afin d'assurer un suivi permanent de la qualité et des coûts.
De son côté, la société GAILLARD présente deux activités, la location de porteurs, camions remorques, véhicules articulés et autocars, ainsi que la transformation de véhicules. Une extension de l'activité initiale, suite à la demande des centres de formations et auto-écoles qui ont des besoins certes en location, mais également en aménagement ou achat de véhicules équipés auto-école jusqu'à 6 places assises. C'est notamment cette dernière activité qui justifie son adhésion au sein de la FFC Equipementiers.
GAILLARD transforme aujourd'hui toutes les marques de véhicules mis en circulation avant le 20 octobre 2007 en cabine approfondie 6 places assises (véhicule école). Ce qui comprend la réalisation et le montage d'une banquette 4 places avec ceintures de sécurité ventrales à la place de la couchette, le montage des doubles commandes accélérateur, l'embrayage, le freinage, l'accélérateur, la pose des panneaux véhicule école à l'avant et arrière du véhicule. GAILLARD peut s'enorgueillir de respecter les cahiers des charges spécifiques aux différentes formations permis, titres professionnels, FIMO, FCO.
TEXA, l'après-vente des véhicules industriels en ADN
Enfin, le dernier arrivant est la société italienne TEXA. Fondée en 1992, TEXA se positionne aujourd'hui comme l'un des leaders mondiaux dans la conception, l'industrialisation et la fabrication d'outils de diagnostic multimarques, analyseurs de gaz d'échappement, stations de climatisation et dispositifs pour le télédiagnostic, destinés aux voitures, motos, camions, embarcations et engins agricoles.
La nouvelle usine TEXA, inaugurée en 2012 et qui s'étend sur une superficie de plus de 100 000 m2, dont 30 000 m2 couverts, est un véritable monument érigé contre la délocalisation et la dépersonnalisation du travail, avec des lieux de travail ultramodernes alternant avec des espaces de rencontres et d'échanges fortement ancrés dans la tradition locale.
Le GTFM Véhicules Électriques poursuit sa route
La quatrième et la cinquième réunion du GTFM se sont tenues en décembre et janvier dernier. Au menu, les résultats […]
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3M présente ses nouveautés au CFA de la FFC
Pour la seconde année consécutive, le spécialiste du consommable pour les carrosseries 3M a choisi de délocaliser la présentation annuelle à la presse de ses innovations pour 2019. L'occasion également de proposer la prise en main de ces produits aux professionnels en alternance et de recueillir leur avis.
Le CFA de la FFC, basé à Villeneuve la Garenne (92), accueillait récemment les équipes de 3M, qui s'étaient déplacées pour présenter leurs innovations dans le domaine de la carrosserie. Une manière sympathique de mettre à l'honneur les forces vives du métier de demain, et qui utilisent au quotidien des consommables de carrosserie.
Au menu de la présentation faite aux journalistes de l'Argus, Zepros, J2R, Carrosserie, Décision Atelier, Après-Vente Automobile, Profession Carrosserie, Jérôme SUCHIER, ingénieur 3M, a commencé par présenter la dernière évolution du célèbre PPS – Système de Préparation de Peinture Simplifié, devenu une véritable référence depuis son lancement il y a près de vingt ans. "Comment améliorer un système pour lequel nous n'avons aujourd'hui quasiment aucune critique ?" Un constat plus que de l'arrogance, puisque Jérôme SUCHIER confirme que la nouvelle version du PPS parvient pourtant à amener plusieurs innovations de nature à faciliter la vie des peintres.
Tout d'abord, 3M a revu le système de fermeture du couvercle de godet. La fixation devient désormais solidaire du couvercle avec un pas de vis intégré, contre une bague réutilisable auparavant. Ainsi, terminés les dépôts de peinture qui s'accumulent et finissent par gêner la fermeture ou l'étanchéité. Le godet, lui aussi, a fait l'objet d'une réflexion approfondie. En effet, en sa qualité, là encore, d'accessoire réutilisable, il se salissait à mesure des utilisations, ce qui gênait la visibilité de la quantité de peinture restante. Les ingénieurs lui ont ajouté une découpe qui offrira une vision permanente de la peinture dans la poche jetable. D'autre part, cette "fenêtre" dans le godet, permet d'agripper plus facilement la poche afin de retirer le couvercle. Enfin, le couvercle ainsi que la connexion au pistolet ont été revus pour offrir un plus gros volume de peinture disponible, ainsi qu'une meilleure filtration.
3M lance aussi en 2019 un nouveau liquide de polissage spécialement dédié aux vernis frais, (moins de 2 jours), des interventions qui représentent près de 80 % des interventions actuelles. Perfect-it III Famous Finish permet de remplacer à lui seul les trois produits précédents (bouchons vert, jaune, bleu), en offrant le même résultat sur vernis frais. Un véritable gain de temps pour un résultat similaire, même si le système actuel, reste disponible pour les vernis secs, nécessitant un niveau supérieur d'abrasion.
Pour terminer, les professionnels ainsi que les journalistes ont pu tester les performances du tout nouveau disque abrasif flexible à support mousse de 3M. ce produit peut être utilisé aussi bien à sec qu'à l'eau, à la machine ou à la main. Sa principael caractéristique est la durabilité. Démonstration à l'appui, il faut trois fois plus d'abrasifs standards pour le dépolissage équivalent d'un capot, par exemple.
GRDF et la FFC engagés dans la promotion du GNV
GRDF et la FFC mènent une démarche commune destinée à accompagner la transition énergétique, prenant la forme de deux livres […]
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La FFC Equipementiers accueille deux nouveaux adhérents
Decmo, spécialiste de la diffusion d'équipements pour constructions mobiles, ainsi que Mercura, leader français des équipements de signalisation lumineuse et sonore pour véhicules prioritaires et de service, ont rejoint la FFC Equipementiers et bénéficient dès aujourd'hui des nombreux services apportés par la FFC.
Depuis 110 ans, Decmo s'est spécialisé dans la fourniture d'équipements et les produits pour la fabrication et réparation de véhicules aménagés (camping-car, caravane, bateau, camion-magasin, véhicule atelier, ambulance, remorque) en France et en Europe. La force de Decmo réside dans son équipe de 30 personnes, au service de cette clientèle trés spécialisée, ainsi que dans un stock de 10 000 références environ. La gamme de Decmo se segment en trois domaines, que sont:
La quincaillerie ameublement pour aménagement intérieur
En complément des produits courants stockés, nous faisons réaliser des produits spécifiques sur PLAN, particulièrement dans le domaine de l'injection plastique du décolletage des métaux.
La quincaillerie et fixation technique pour carrosserie industrielle
Point de départ de l'activité de la société, la fourniture de quincaillerie poids lourds reste aujourd'hui un objectif important , particulièrement dans le domaine la fixation en constante évolution.
Les produits d'étanchéité, collage, peinture pour carrosserie
Un laboratoire peinture permet à Decmo de réaliser toutes teintes à la demande, en bidon ou aérosol. Plus de renseignements sur http://www.decmo.com
Mercura, au plus près des attentes clients
La seconde entreprise qui vient rejoindre la FFC Equipementiers, Mercura, est une société française de 57 personnes située dans le Val de Loire. En tant que leader français des équipements de signalisation lumineuse et sonore pour véhicules prioritaires et de service, l’entreprise assure elle-même la conception, la fabrication et la commercialisation de toute sa gamme de produits pour la France et l’Etranger.
De la gestion électrique des véhicules d’intervention à leur signalisation lumineuse et sonore, ainsi que dans le domaine du contrôle de vitesse, l’innovation est au cœur de la culture d’entreprise.
Partenaire du Ministère de l’Intérieur, de la Gendarmerie Nationale, des Directions Départementales de l’Equipement, des Collectivités Locales, des Sociétés d’Autoroutes, depuis plus de 20 ans, MERCURA dispose d’une expertise et d’un savoir-faire unique autour d’un axe : la sécurité.
MERCURA collabore avec de nombreux carrossiers constructeurs eux-mêmes adhérents de la FFC Constructeurs : TIB, PROCAR, GRUAU, VEHIXEL, les établissements JOCQUIN…
Leurs produits (rampes, panneaux à messages variables, triangles, feux et gyrophares, sirènes, flèches lumineuses, gestion électrique, radar…) sont développés selon les besoins du marché et conformes à la réglementation.
Plus de renseignements sur https://www.mercura.fr/